La présidente du Conseil d'administration de l'Initiative pour la Transparence des Industries Extractives (ITIE), Helen Clark, craint pour l'avenir du secteur extractif guinée suite au coup d'Etat. Dans une récente déclaration, elle soutient que ces récents évènements peuvent avoir des conséquences sur la mise en œuvre de l'ITIE.
"Les récents évènements peuvent avoir des conséquences sur la mise en œuvre de l'ITIE. La Guinée a renforcé la transparence des conditions relatives aux contrats extractifs et a apporté des améliorations à son cadre règlementaire. L'évaluation des progrès à travers la Validation de la Norme ITIE devait débuter en Guinée le 1er octobre. L'ITIE dépend de l'engagement du gouvernement ainsi que de celui de la société civile et des entreprises pour être efficace. Ces facteurs déterminants sont à présent menacés", a-t-elle souligné.
"Aux côtés d'autres gouvernements de la région, le Gouvernement de Guinée s'est engagé à mettre en œuvre la Norme ITIE en vue d'améliorer la gestion des ressources naturelles du pays. Les ressources naturelles dont est dotée la Guinée, si elles sont régies de manière appropriée, peuvent contribuer de manière significative au développement humain", a-t-elle ajouté.
En tant que présidente du Conseil d'administration de l'Initiative pour la Transparence des Industries Extractives, Helen Clark s'est joint aux dirigeants régionaux et internationaux pour condamner le coup d'Etat militaire survenu le 5 septembre en Guinée.
Pour cette ancienne première ministre de la Nouvelle-Zélande de 1999 à 2008, et membre du Parlement néo-zélandais de 1981 à 2009, cette prise de pouvoir par les militaires en Guinée, qui fait suite à des développements similaires dans la région, risque de déstabiliser davantage la région et de saper les progrès en matière de gouvernance démocratique et responsable.
Aussi, exhorte-t-elle toutes les parties prenantes à faire preuve de retenue dans les circonstances actuelles. Elle demande également la restauration d'un régime civil soutenu par une gouvernance inclusive, et la préservation de l'espace civique.
"Les récents évènements peuvent avoir des conséquences sur la mise en œuvre de l'ITIE. La Guinée a renforcé la transparence des conditions relatives aux contrats extractifs et a apporté des améliorations à son cadre règlementaire. L'évaluation des progrès à travers la Validation de la Norme ITIE devait débuter en Guinée le 1er octobre. L'ITIE dépend de l'engagement du gouvernement ainsi que de celui de la société civile et des entreprises pour être efficace. Ces facteurs déterminants sont à présent menacés", a-t-elle souligné.
"Aux côtés d'autres gouvernements de la région, le Gouvernement de Guinée s'est engagé à mettre en œuvre la Norme ITIE en vue d'améliorer la gestion des ressources naturelles du pays. Les ressources naturelles dont est dotée la Guinée, si elles sont régies de manière appropriée, peuvent contribuer de manière significative au développement humain", a-t-elle ajouté.
En tant que présidente du Conseil d'administration de l'Initiative pour la Transparence des Industries Extractives, Helen Clark s'est joint aux dirigeants régionaux et internationaux pour condamner le coup d'Etat militaire survenu le 5 septembre en Guinée.
Pour cette ancienne première ministre de la Nouvelle-Zélande de 1999 à 2008, et membre du Parlement néo-zélandais de 1981 à 2009, cette prise de pouvoir par les militaires en Guinée, qui fait suite à des développements similaires dans la région, risque de déstabiliser davantage la région et de saper les progrès en matière de gouvernance démocratique et responsable.
Aussi, exhorte-t-elle toutes les parties prenantes à faire preuve de retenue dans les circonstances actuelles. Elle demande également la restauration d'un régime civil soutenu par une gouvernance inclusive, et la préservation de l'espace civique.