Les petits producteurs des départements de Kanel (Matam), de Podor (Saint Louis) et de Goudiry (Tambacounda) peuvent s’attendre à une consolidation ou amélioration de leurs moyens d’existence dans le cours terme. En effet, une convention de financement d’un montant de 3,74 milliards Fcfa vient d’être signée par Amadou Hott, ministre sénégalais de l’Economie, du Plan et de la Coopération et Benoit Thierry, représentant du Fonds international de développement agricole (Fida) au Sénégal et directeur du Bureau sous régional Afrique de l’ouest, ce mardi 09 février 2021, à Dakar.
Ce financement concerne le Programme conjoint Sahel en réponse aux défis covid19, conflits et changements climatiques (SD3C)- Fao/Fida/Pam/ G5 sahel + Sénégal. Selon un communiqué de presse transmis à equonet, il interviendra, pour sa première phase de trois (3) ans (2021-2023), dans les départements de Kanel (Matam), de Podor (Saint Louis) et de Goudiry (Tambacounda).
A terme, ce programme touchera 11 000 ménages, soit 110 000 personnes dont 50 pour cent de femmes adultes, 30 pour cent de jeunes filles et garçons.
L’objectif de ce programme est de consolider les moyens d’existence des petits producteurs, en particulier les femmes et les jeunes vivant en zones transfrontalières, par l'adoption de pratiques de production durables et d'approches de cohésion sociale et de transformation du genre.
La réalisation de cet objectif sera axée sur trois (03) composantes :(i) Augmentation de la productivité et de la production ; (ii) Intégration économique, et (iii) Dialogue politique, coordination et gestion.
Ce financement concerne le Programme conjoint Sahel en réponse aux défis covid19, conflits et changements climatiques (SD3C)- Fao/Fida/Pam/ G5 sahel + Sénégal. Selon un communiqué de presse transmis à equonet, il interviendra, pour sa première phase de trois (3) ans (2021-2023), dans les départements de Kanel (Matam), de Podor (Saint Louis) et de Goudiry (Tambacounda).
A terme, ce programme touchera 11 000 ménages, soit 110 000 personnes dont 50 pour cent de femmes adultes, 30 pour cent de jeunes filles et garçons.
L’objectif de ce programme est de consolider les moyens d’existence des petits producteurs, en particulier les femmes et les jeunes vivant en zones transfrontalières, par l'adoption de pratiques de production durables et d'approches de cohésion sociale et de transformation du genre.
La réalisation de cet objectif sera axée sur trois (03) composantes :(i) Augmentation de la productivité et de la production ; (ii) Intégration économique, et (iii) Dialogue politique, coordination et gestion.