Selon le texte, cette cotation marque d’une pierre blanche le lancement du premier emprunt obligataire de la Banque africaine de développement (Bad) à la Bourse de Londres.
Il souligne que l’opération, qui a été sursouscrite, a suscité un vif intérêt à l’enregistrement avec un carnet d’ordres totalisant 4,6 milliards de dollars, ce qui a rendu possible la levée de 3 milliards de dollars. Ce montant exceptionnel servira à atténuer l’impact du Covid-19 sur les activités économiques et les moyens de subsistance en Afrique.
L’emprunt obligataire, dont l’échéance est de trois ans, a recueilli de l’intérêt de la part des banques centrales et des institutions officielles, des trésoriers des institutions bancaires et des gestionnaires d’actifs, et notamment des investisseurs dans les domaines de l’environnement, du social et de la gouvernance (ESG).
Le président Akinwumi Adesina de la Bad a déclaré : «Nous sommes fiers d’annoncer que notre premier produit coté à la Bourse de Londres est un emprunt obligataire social. Ce n’est que le commencement d’un partenariat plus solide entre la Banque africaine de développement et la Bourse de Londres. Nous mobiliserons tout ce qui est possible sur le marché des capitaux pour lutter contre le coronavirus en Afrique.»
Le communiqué soutient que plusieurs investisseurs ESG de grande qualité ont activement soutenu cette opération remarquable. Parmi ceux-ci, il a relevé Affirmative Investment Management (R-U), Breckinridge, Columbia Threadneedle (USA), le Government Pension Investment Fund (Fonds d’investissement des pensions du gouvernement), le Fonds international de développement agricole– (FIDA), les Pension Boards (Conseils de gestion des fonds de pension) – United Church of Christ, PineBridge Investments, Praxis Impact Bond Fund, TIAA/Nuveen - et le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD).
«La communauté internationale doit travailler de concert pour lutter contre la pandémie du coronavirus. Le Royaume-Uni, en collaboration avec des partenaires tels que la Banque africaine de développement et le London Stock Exchange Group (Groupe de la Bourse de Londres), soutient les pays les plus vulnérables dans leurs investissements dans leurs systèmes de santé propres, afin qu’ils puissent faire face à leurs difficultés économiques», a déclaré Anne-Marie Trevelyan, secrétaire britannique au développement international, à propos de l’émission.
«Bien que nous investissons dans des domaines tels que la recherche sur les vaccins, qui aideront à mettre fin à la pandémie plus tôt, cet investissement privé à travers la BAD, et notre soutien aux prêts d’urgence à travers le FMI, permettront également de limiter son impact sur l’économie mondiale», a ajouté Mme Trevelyan.
La Bourse de Londres, située au cœur du centre financier dynamique de Londres, se fait la championne d’initiatives d’avant-garde visant à approfondir et à diversifier les marchés. Son marché des obligations durables (Sustainable Bond Market - SBM) attire les institutions émettrices d’obligations innovantes et améliore l’accès, la flexibilité et la transparence au bénéfice des investisseurs.
Les obligations sociales ou durables dont l’utilisation des fonds cadre avec les objectifs d’atténuation des effets du COVID-19, pourront être échangées en bourse. Les frais d’admission ne seront pas perçus dans leur cas pendant une période initiale de trois mois, ont annoncé les représentants de la Bourse de Londres.
Ces obligations sociales et de durabilité financent des services essentiels tels que les soins de santé, l’eau et l’assainissement, le soutien à l’emploi, et ceux ayant un rapport avec les Objectifs de développement durable des Nations Unies.
Nikhil Rathi, directeur général de la Bourse de Londres et directeur du groupe du développement international du gouvernement britannique, a déclaré : «Nous accueillons avec grand plaisir le premier emprunt obligataire de la Banque africaine de développement pour des cotations sur notre marché, et nous la soutenons dans ses efforts vitaux pour l’atténuation des effets du COVID-19 partout en Afrique. Cet emprunt met en lumière le rôle important que les obligations sociales et de durabilité peuvent jouer dans la canalisation du financement vers les pays, les secteurs et les personnes à travers le monde qui sont fortement touchés par cette pandémie.»
La Banque a créé son propre cadre d’obligations sociales en 2017 et a déjà levé l’équivalent de 5 milliards de dollars à travers des émissions libellées en dollars américains, en euros et en couronnes norvégiennes.
Il souligne que l’opération, qui a été sursouscrite, a suscité un vif intérêt à l’enregistrement avec un carnet d’ordres totalisant 4,6 milliards de dollars, ce qui a rendu possible la levée de 3 milliards de dollars. Ce montant exceptionnel servira à atténuer l’impact du Covid-19 sur les activités économiques et les moyens de subsistance en Afrique.
L’emprunt obligataire, dont l’échéance est de trois ans, a recueilli de l’intérêt de la part des banques centrales et des institutions officielles, des trésoriers des institutions bancaires et des gestionnaires d’actifs, et notamment des investisseurs dans les domaines de l’environnement, du social et de la gouvernance (ESG).
Le président Akinwumi Adesina de la Bad a déclaré : «Nous sommes fiers d’annoncer que notre premier produit coté à la Bourse de Londres est un emprunt obligataire social. Ce n’est que le commencement d’un partenariat plus solide entre la Banque africaine de développement et la Bourse de Londres. Nous mobiliserons tout ce qui est possible sur le marché des capitaux pour lutter contre le coronavirus en Afrique.»
Le communiqué soutient que plusieurs investisseurs ESG de grande qualité ont activement soutenu cette opération remarquable. Parmi ceux-ci, il a relevé Affirmative Investment Management (R-U), Breckinridge, Columbia Threadneedle (USA), le Government Pension Investment Fund (Fonds d’investissement des pensions du gouvernement), le Fonds international de développement agricole– (FIDA), les Pension Boards (Conseils de gestion des fonds de pension) – United Church of Christ, PineBridge Investments, Praxis Impact Bond Fund, TIAA/Nuveen - et le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD).
«La communauté internationale doit travailler de concert pour lutter contre la pandémie du coronavirus. Le Royaume-Uni, en collaboration avec des partenaires tels que la Banque africaine de développement et le London Stock Exchange Group (Groupe de la Bourse de Londres), soutient les pays les plus vulnérables dans leurs investissements dans leurs systèmes de santé propres, afin qu’ils puissent faire face à leurs difficultés économiques», a déclaré Anne-Marie Trevelyan, secrétaire britannique au développement international, à propos de l’émission.
«Bien que nous investissons dans des domaines tels que la recherche sur les vaccins, qui aideront à mettre fin à la pandémie plus tôt, cet investissement privé à travers la BAD, et notre soutien aux prêts d’urgence à travers le FMI, permettront également de limiter son impact sur l’économie mondiale», a ajouté Mme Trevelyan.
La Bourse de Londres, située au cœur du centre financier dynamique de Londres, se fait la championne d’initiatives d’avant-garde visant à approfondir et à diversifier les marchés. Son marché des obligations durables (Sustainable Bond Market - SBM) attire les institutions émettrices d’obligations innovantes et améliore l’accès, la flexibilité et la transparence au bénéfice des investisseurs.
Les obligations sociales ou durables dont l’utilisation des fonds cadre avec les objectifs d’atténuation des effets du COVID-19, pourront être échangées en bourse. Les frais d’admission ne seront pas perçus dans leur cas pendant une période initiale de trois mois, ont annoncé les représentants de la Bourse de Londres.
Ces obligations sociales et de durabilité financent des services essentiels tels que les soins de santé, l’eau et l’assainissement, le soutien à l’emploi, et ceux ayant un rapport avec les Objectifs de développement durable des Nations Unies.
Nikhil Rathi, directeur général de la Bourse de Londres et directeur du groupe du développement international du gouvernement britannique, a déclaré : «Nous accueillons avec grand plaisir le premier emprunt obligataire de la Banque africaine de développement pour des cotations sur notre marché, et nous la soutenons dans ses efforts vitaux pour l’atténuation des effets du COVID-19 partout en Afrique. Cet emprunt met en lumière le rôle important que les obligations sociales et de durabilité peuvent jouer dans la canalisation du financement vers les pays, les secteurs et les personnes à travers le monde qui sont fortement touchés par cette pandémie.»
La Banque a créé son propre cadre d’obligations sociales en 2017 et a déjà levé l’équivalent de 5 milliards de dollars à travers des émissions libellées en dollars américains, en euros et en couronnes norvégiennes.