Le Comité national de l’Initiative pour la Transparence dans les Industries extractives (CN-ITIE) reste constant dans son esprit de dialogue. Suite aux manifestations contre la modification de l’arrêté préfectoral dans le département de Saraya relatif au recrutement de la main d’œuvre locale non qualifiée pour le compte des entreprises minières opérant dans la zone, il appelle les autorités au niveau central et local et les citoyens à entretenir un dialogue permanent pour éviter toute situation susceptible de conduire à la violence.
Dans un communiqué de presse publié hier, il annonce sa décision de dépêcher une délégation dans la zone pour la préservation du débat public afin de favoriser la participation citoyenne dans la gestion des ressources extractives. Une mission à l'issue de laquelle un rapport sera présenté aux autorités pour veiller à une plus grande implication des acteurs locaux dans la création d’emploi, le développement de la sous-traitance, et la fourniture de biens et services, qui pourrait constituer un bon levier pour pallier à l’insuffisance des emplois directs, et augmenter la contribution du secteur extractif au produit intérieur brut (PIB).
"A travers ses campagnes communautaires tenues chaque année après la publication des rapports, le CN-ITIE a toujours promu l’importance d’instaurer un dialogue ouvert et permanent entre acteurs par la mise à disposition du rapport ITIE qui fournit des informations relatives à la chaine de valeur des industries extractives", rappelle-t-il.
"Ce document très important met en lumière, entre autres, des chiffres clés sur le Contenu local, les détails par fournisseurs ainsi que les obligations qui incombent aux entreprises extractives en termes d’emplois. Plusieurs rencontres dédiées à l’analyse et à la réflexion sur les résultats et conclusions des Rapports ITIE, et de manière plus spécifique, sur celles relatives au Contenu local ont été organisées, en présence des parties prenantes élargies", poursuit-il.
"C’est donc dire que le CN-ITIE accorde une place importante aux retombées des activités du secteur extractif pour les populations locales, et à la création d’emplois à leur profit. Il en est de même du rôle très important de la société civile sur le terrain pour renforcer la participation citoyenne constructive dans la gestion des ressources extractives", ajoute-t-il.
En référence à la Constitution du Sénégal en son Article 25.1, le CN-ITIE rappelle aussi que "les ressources naturelles appartiennent au peuple. Elles sont utilisées pour l’amélioration de ses conditions de vie. L’exploitation et la gestion des ressources naturelles doivent se faire dans la transparence et de façon à générer une croissance économique, à promouvoir le bien-être de la population en général et à être écologiquement durables. L’Etat et les collectivités territoriales ont l’obligation de veiller à la préservation du patrimoine foncier."
Dans un communiqué de presse publié hier, il annonce sa décision de dépêcher une délégation dans la zone pour la préservation du débat public afin de favoriser la participation citoyenne dans la gestion des ressources extractives. Une mission à l'issue de laquelle un rapport sera présenté aux autorités pour veiller à une plus grande implication des acteurs locaux dans la création d’emploi, le développement de la sous-traitance, et la fourniture de biens et services, qui pourrait constituer un bon levier pour pallier à l’insuffisance des emplois directs, et augmenter la contribution du secteur extractif au produit intérieur brut (PIB).
"A travers ses campagnes communautaires tenues chaque année après la publication des rapports, le CN-ITIE a toujours promu l’importance d’instaurer un dialogue ouvert et permanent entre acteurs par la mise à disposition du rapport ITIE qui fournit des informations relatives à la chaine de valeur des industries extractives", rappelle-t-il.
"Ce document très important met en lumière, entre autres, des chiffres clés sur le Contenu local, les détails par fournisseurs ainsi que les obligations qui incombent aux entreprises extractives en termes d’emplois. Plusieurs rencontres dédiées à l’analyse et à la réflexion sur les résultats et conclusions des Rapports ITIE, et de manière plus spécifique, sur celles relatives au Contenu local ont été organisées, en présence des parties prenantes élargies", poursuit-il.
"C’est donc dire que le CN-ITIE accorde une place importante aux retombées des activités du secteur extractif pour les populations locales, et à la création d’emplois à leur profit. Il en est de même du rôle très important de la société civile sur le terrain pour renforcer la participation citoyenne constructive dans la gestion des ressources extractives", ajoute-t-il.
En référence à la Constitution du Sénégal en son Article 25.1, le CN-ITIE rappelle aussi que "les ressources naturelles appartiennent au peuple. Elles sont utilisées pour l’amélioration de ses conditions de vie. L’exploitation et la gestion des ressources naturelles doivent se faire dans la transparence et de façon à générer une croissance économique, à promouvoir le bien-être de la population en général et à être écologiquement durables. L’Etat et les collectivités territoriales ont l’obligation de veiller à la préservation du patrimoine foncier."