"Il n'y a aucun danger au Sénégal", a déclaré le président sénégalais, Macky Sall. En faisant cette déclaration ce matin à la cérémonie officielle du premier forum international de l'investissement du Sénégal, le chef de l'Etat, a voulu ainsi rassurer les investisseurs, particulièrement ceux qui ont pris part à cette manifestation organisée par l'Agence nationale de promotion de l'investissement et des grands travaux (APIX).
Il s'adressait aux agences de notation financière qui évaluent les risques pays en les invitant à changer de méthodes de travail et d'approche. "Si des jeunes brûlent des pneus au Sénégal et en Afrique, elles peuvent, sur la base de ce constat, considérer ce pays à risque, alors qu'ailleurs en occident on fait pire", a-t-il fustigé.
Pour lui, le premier investissement dans un pays, c'est d'abord la paix, la sécurité, la stabilité et l'état de droit. Il les considèrent comme les piliers fondamentaux d'attractivité, les clés qui ouvrent la porte de l'investissement. "C'est pourquoi, nous avons la responsabilité de veiller au maintien de ces fondamentaux", a-t-il avancé.
Dans cette ordre d'idée d'attractivité, Macky Sall a invité les administrations fiscales et douanières à simplifier leurs procédures pour améliorer le climat des affaires. "Les méthodes et les procédures ne doivent pas être des obstacles à l'investissement privé. L'investisseur n'a pas de temps à perdre dans la bureaucratie", a-t-il souligné tout en militant pour la facilitation des procédures.
Dans cette dynamique, il a dégagé quatre pistes sur lesquels l'Etat peut s'appuyer pour améliorer le climat des affaires. Ainsi, il a cité la digitalisation des procédures administratives, l'harmonisation et l'assainissement fiscal à travers la réforme des codes des impôts et douanes notamment, l'amélioration des facteurs de production, notamment l'accès au foncier et la promotion de l'investissement dans les zones à fort impact.
"Il faudra un nouveau cadre juridique pour soutenir le secteur privé national à travers le développement de la co-contractant et non de la sous-traitance", a-t-il plaidé. "Mais il aussi que le secteur privé national se mette en consortium pour capter des marchés", a-t-il ajouté.
S'adressant aux agents de l'Etat, il les a invité à bannir tout comportement laxiste pouvant entraver la bonne marche des affaires publiques. "Il faut respecter l'investisseur", a-t-il ordonné.
Parlant des perspectives de croissance économique, le chef de l'Etat se projette sur un taux de 8 pour cent basant sa projection sur l'exploitation prochaines du pétrole et du gaz. Des ressources naturelles qui, selon lui, ne doivent pas être considérées comme une économie de rente du fait de leur caractère épuisable.
Il s'adressait aux agences de notation financière qui évaluent les risques pays en les invitant à changer de méthodes de travail et d'approche. "Si des jeunes brûlent des pneus au Sénégal et en Afrique, elles peuvent, sur la base de ce constat, considérer ce pays à risque, alors qu'ailleurs en occident on fait pire", a-t-il fustigé.
Pour lui, le premier investissement dans un pays, c'est d'abord la paix, la sécurité, la stabilité et l'état de droit. Il les considèrent comme les piliers fondamentaux d'attractivité, les clés qui ouvrent la porte de l'investissement. "C'est pourquoi, nous avons la responsabilité de veiller au maintien de ces fondamentaux", a-t-il avancé.
Dans cette ordre d'idée d'attractivité, Macky Sall a invité les administrations fiscales et douanières à simplifier leurs procédures pour améliorer le climat des affaires. "Les méthodes et les procédures ne doivent pas être des obstacles à l'investissement privé. L'investisseur n'a pas de temps à perdre dans la bureaucratie", a-t-il souligné tout en militant pour la facilitation des procédures.
Dans cette dynamique, il a dégagé quatre pistes sur lesquels l'Etat peut s'appuyer pour améliorer le climat des affaires. Ainsi, il a cité la digitalisation des procédures administratives, l'harmonisation et l'assainissement fiscal à travers la réforme des codes des impôts et douanes notamment, l'amélioration des facteurs de production, notamment l'accès au foncier et la promotion de l'investissement dans les zones à fort impact.
"Il faudra un nouveau cadre juridique pour soutenir le secteur privé national à travers le développement de la co-contractant et non de la sous-traitance", a-t-il plaidé. "Mais il aussi que le secteur privé national se mette en consortium pour capter des marchés", a-t-il ajouté.
S'adressant aux agents de l'Etat, il les a invité à bannir tout comportement laxiste pouvant entraver la bonne marche des affaires publiques. "Il faut respecter l'investisseur", a-t-il ordonné.
Parlant des perspectives de croissance économique, le chef de l'Etat se projette sur un taux de 8 pour cent basant sa projection sur l'exploitation prochaines du pétrole et du gaz. Des ressources naturelles qui, selon lui, ne doivent pas être considérées comme une économie de rente du fait de leur caractère épuisable.