Au titre de la transformation structurelle de l'économie et de la croissance qui est l'axe 1 du Plan Sénégal émergent (PSE), des progrès ont été enregistrés en 2021, même si des difficultés ont été notées dans l'atteinte de certaines cibles.
C'est ce qui ressort de l'analyse du bilan des politiques publiques tiré du rapport de synthèse de la Revue annuelle conjointe (RAC 2022) présenté aujourd'hui par le coordonnateur de l'Unité de coordination et de suivi de la politique économique (UCSPE) à tous les acteurs au cour d'un atelier de validation technique présidé par Oulimata Sarr, ministre sénégalaise de l'Economie, du Plan et de la Coopération (MEPC).
Concernant le secteur agricole, le rapport note de nombreuses initiatives et mesures prises pour renforcer la production. Il signale toutefois des contreperformances pour la plupart des spéculations dues à la configuration de l'hivernage.
Ainsi, le rapport souligne qu'en 2021, la valeur ajoutée du secteur agricole a enregistré une baisse de 29,8 milliards de FCFA, passant de 1491,9 milliards en 2020 à 1462,1 milliards en 2021, malgré les efforts financiers consentis par l'Etat dans la campagne agricole 2021/2022.
La production céréalière constituée principalement des filières mil, riz, maïs, sorgho et fonio est évaluée à 3 480 394 tonnes en 2021 contre 3 640 545 tonnes en 2020, soit une baisse de 4,4 pour cent et un taux de réalisation de 91,3 pour cent par rapport à l'objectif de 3 812 668.
Pour le sous-secteur de la pêche, la situation reste marquée par la raréfaction de certaines ressources halieutiques. Par ailleurs, les résultats de l'aquaculture reste modestes par rapport à la cible visée. Le rapport explique cette situation par la baisse des débarquements aussi bien que la pêche artisanale (-14,5 pour cent) qu'industrielle (-3,2 pour cent).
Quant à l'aquaculture, le résultat reste en deçà de l'objectif de 40 000 tonnes fixés à l'horizon 2023 et ce, malgré l'augmentation de 24,9 pour cent de la production sur la période (1 374 tonnes en 2021 contre 1 100 tonnes en 2020).
Par contre, le rapport note une hausse de 2,4 pour cent de la valeur ajoutée de l'élevage qui est passé de 469,7 milliards FCFA en 2020 à 481,1 milliards en 2021, sous l'effet de l'augmentation des productions de viande et de lait.
Cette tendance haussière est également observée au niveau de l'industrie minière où la valeur ajoutée des activités extractives a enregistré une croissance annuelle de 3,2 pour cent, passant de 312,5 milliards FCFA en 2020 à 391,6 milliards en 2021.
Il en est de même dans le domaine de l'industrie où la valeur ajoutée est ressortie à 18,2 pour cent du produit intérieur brut (PIB) en 2021 contre 17,8 pour cent en 2020. Le rapport note cependant la nécessité d'accélérer la mise en place des agropoles pour renforcer la transformation des ressources agro-sylvo-pastorales, développer les industries à haute intensité technologique et d'innovation et de mettre en place une industrie pharmaceutique pour répondre à la demande nationale de médicaments.
Les secteurs du tourisme, de la microfinance, du commerce, de l'économie numérique, des infrastructures et du transport, de l'énergie et de l'électricité ont connu cette dynamique de progrès, selon le rapport.
C'est ce qui ressort de l'analyse du bilan des politiques publiques tiré du rapport de synthèse de la Revue annuelle conjointe (RAC 2022) présenté aujourd'hui par le coordonnateur de l'Unité de coordination et de suivi de la politique économique (UCSPE) à tous les acteurs au cour d'un atelier de validation technique présidé par Oulimata Sarr, ministre sénégalaise de l'Economie, du Plan et de la Coopération (MEPC).
Concernant le secteur agricole, le rapport note de nombreuses initiatives et mesures prises pour renforcer la production. Il signale toutefois des contreperformances pour la plupart des spéculations dues à la configuration de l'hivernage.
Ainsi, le rapport souligne qu'en 2021, la valeur ajoutée du secteur agricole a enregistré une baisse de 29,8 milliards de FCFA, passant de 1491,9 milliards en 2020 à 1462,1 milliards en 2021, malgré les efforts financiers consentis par l'Etat dans la campagne agricole 2021/2022.
La production céréalière constituée principalement des filières mil, riz, maïs, sorgho et fonio est évaluée à 3 480 394 tonnes en 2021 contre 3 640 545 tonnes en 2020, soit une baisse de 4,4 pour cent et un taux de réalisation de 91,3 pour cent par rapport à l'objectif de 3 812 668.
Pour le sous-secteur de la pêche, la situation reste marquée par la raréfaction de certaines ressources halieutiques. Par ailleurs, les résultats de l'aquaculture reste modestes par rapport à la cible visée. Le rapport explique cette situation par la baisse des débarquements aussi bien que la pêche artisanale (-14,5 pour cent) qu'industrielle (-3,2 pour cent).
Quant à l'aquaculture, le résultat reste en deçà de l'objectif de 40 000 tonnes fixés à l'horizon 2023 et ce, malgré l'augmentation de 24,9 pour cent de la production sur la période (1 374 tonnes en 2021 contre 1 100 tonnes en 2020).
Par contre, le rapport note une hausse de 2,4 pour cent de la valeur ajoutée de l'élevage qui est passé de 469,7 milliards FCFA en 2020 à 481,1 milliards en 2021, sous l'effet de l'augmentation des productions de viande et de lait.
Cette tendance haussière est également observée au niveau de l'industrie minière où la valeur ajoutée des activités extractives a enregistré une croissance annuelle de 3,2 pour cent, passant de 312,5 milliards FCFA en 2020 à 391,6 milliards en 2021.
Il en est de même dans le domaine de l'industrie où la valeur ajoutée est ressortie à 18,2 pour cent du produit intérieur brut (PIB) en 2021 contre 17,8 pour cent en 2020. Le rapport note cependant la nécessité d'accélérer la mise en place des agropoles pour renforcer la transformation des ressources agro-sylvo-pastorales, développer les industries à haute intensité technologique et d'innovation et de mettre en place une industrie pharmaceutique pour répondre à la demande nationale de médicaments.
Les secteurs du tourisme, de la microfinance, du commerce, de l'économie numérique, des infrastructures et du transport, de l'énergie et de l'électricité ont connu cette dynamique de progrès, selon le rapport.