Les clients de la Banque nationale de développement économique (BNDE) du Sénégal, en particulier ceux actifs dans l’agro-business, peuvent compter sur la bonne volonté des dirigeants de l’institution financière pour continuer à bénéficier de leurs accompagnements au cours des prochaines années.
En effet, la banque compte renforcer, dans le cadre de la mise en œuvre de son business plan 2022-2026, ses interventions dans le secteur agro-industriel et apporter sa contribution dans la réflexion qui s’articule autour de la politique industrielle orientée vers l’intensification de la transformation des produits agricoles.
C’est ce qu’a affirmé son directeur général, Thierno Seydou Nourou Sy, dans son message introductif du rapport annuel 2021 de la Banque transmis à equonet. Un nouveau défi qu’il fera porter par une équipe jeune de plus de 230 collaboratrices et collaborateurs qui, d’après lui, prennent en charge tous les jours les grands chantiers pour le développement de la BNDE.
Pour ce faire, la direction générale mise sur le digital. « La banque va mettre à la disposition de sa clientèle une offre digitale plus variée, lui permettant de s’aligner sur les standards du numérique et la concurrence, pour ainsi mieux mener sa mission régalienne de soutien des politiques d’inclusions financières de l’État », a indiqué M. Sy. « Ce dispositif de renforcement de notre présence au niveau national contribuera fortement à l’atteinte de notre objectif d’accompagnement des entreprises agroindustrielles », a-t-il ajouté.
Cette stratégie de digitalisation entre dans le cadre des objectifs de proximité de la banque. Lesquels ont permis à celle-ci d’ouvrir au cours de ses 8 années d’existence, 16 agences avec un objectif de maillage de tous les chefs-lieux de région à l’horizon 2023. Toujours pour être plus proche de sa clientèle, la banque compte sur son réseau de 21 points Agency Banking.
Le Dg signale que depuis son démarrage en 2014, la BNDE s’est positionnée comme un partenaire privilégié des acteurs de l’AGRO BUSINESS en injectant plus de 160 milliards FCFA (au 31/12/2021) dans ce pilier de l’économie sénégalaise avec un accent sur la transformation des produits à fort impact socio-économique comme l’arachide, le riz et les produits horticoles pour 135 milliards FCFA.
Selon lui, ces financements ont, entre autres, favorisé la consolidation et la création de milliers d’emplois dans le secteur agricole, en plus de la mise en place d’unités de transformation des produits agricoles. De quoi lui permettre d’affirmer que la banque s’est conformée à sa mission consistant à œuvrer pour le développement économique du Sénégal.
Ainsi, en injectant autant de milliards dans l’AGRO BUSINESS, la BNDE entend ainsi répondre à l’appel de l’Etat sénégalais lancé à tous les acteurs économiques pour réfléchir sur une stratégie visant le renforcement de la souveraineté économique du pays. Lequel devra, à son avis, impérativement passer par la mise en place d’une véritable politique industrielle orientée vers l’intensification de la transformation des produits agricoles.
Ce cri cœur de l’Etat a été lancé dans le contexte de la pandémie de la Covid-19 ainsi que la guerre en Ukraine qui ont conduit à un retour au premier plan de la question de la souveraineté économique surtout dans les pays africains qui ont subi de plein fouet les effets de la perturbation des chaînes d’approvisionnement mondiales.
En effet, la banque compte renforcer, dans le cadre de la mise en œuvre de son business plan 2022-2026, ses interventions dans le secteur agro-industriel et apporter sa contribution dans la réflexion qui s’articule autour de la politique industrielle orientée vers l’intensification de la transformation des produits agricoles.
C’est ce qu’a affirmé son directeur général, Thierno Seydou Nourou Sy, dans son message introductif du rapport annuel 2021 de la Banque transmis à equonet. Un nouveau défi qu’il fera porter par une équipe jeune de plus de 230 collaboratrices et collaborateurs qui, d’après lui, prennent en charge tous les jours les grands chantiers pour le développement de la BNDE.
Pour ce faire, la direction générale mise sur le digital. « La banque va mettre à la disposition de sa clientèle une offre digitale plus variée, lui permettant de s’aligner sur les standards du numérique et la concurrence, pour ainsi mieux mener sa mission régalienne de soutien des politiques d’inclusions financières de l’État », a indiqué M. Sy. « Ce dispositif de renforcement de notre présence au niveau national contribuera fortement à l’atteinte de notre objectif d’accompagnement des entreprises agroindustrielles », a-t-il ajouté.
Cette stratégie de digitalisation entre dans le cadre des objectifs de proximité de la banque. Lesquels ont permis à celle-ci d’ouvrir au cours de ses 8 années d’existence, 16 agences avec un objectif de maillage de tous les chefs-lieux de région à l’horizon 2023. Toujours pour être plus proche de sa clientèle, la banque compte sur son réseau de 21 points Agency Banking.
Le Dg signale que depuis son démarrage en 2014, la BNDE s’est positionnée comme un partenaire privilégié des acteurs de l’AGRO BUSINESS en injectant plus de 160 milliards FCFA (au 31/12/2021) dans ce pilier de l’économie sénégalaise avec un accent sur la transformation des produits à fort impact socio-économique comme l’arachide, le riz et les produits horticoles pour 135 milliards FCFA.
Selon lui, ces financements ont, entre autres, favorisé la consolidation et la création de milliers d’emplois dans le secteur agricole, en plus de la mise en place d’unités de transformation des produits agricoles. De quoi lui permettre d’affirmer que la banque s’est conformée à sa mission consistant à œuvrer pour le développement économique du Sénégal.
Ainsi, en injectant autant de milliards dans l’AGRO BUSINESS, la BNDE entend ainsi répondre à l’appel de l’Etat sénégalais lancé à tous les acteurs économiques pour réfléchir sur une stratégie visant le renforcement de la souveraineté économique du pays. Lequel devra, à son avis, impérativement passer par la mise en place d’une véritable politique industrielle orientée vers l’intensification de la transformation des produits agricoles.
Ce cri cœur de l’Etat a été lancé dans le contexte de la pandémie de la Covid-19 ainsi que la guerre en Ukraine qui ont conduit à un retour au premier plan de la question de la souveraineté économique surtout dans les pays africains qui ont subi de plein fouet les effets de la perturbation des chaînes d’approvisionnement mondiales.