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Les ménages et autres consommateurs sénégalais disposant des équipements électriques usagés, notamment de froid alimentaire, peuvent désormais, à leur demande, acquérir un matériel neuf de remplacement. Le programme ECOFRIDGES Sénégal, un deuxième concept de l’Agence pour l’économie et la maîtrise de l’énergie (AEME) a été lancé hier à cet effet par sa directrice générale, Mame Coumba Ndiaye.
Devant un public nombreux composé de représentants des administrations publiques, des institutions nationales, des partenaires techniques et financiers, du secteur privé, des distributeurs d’équipements, des associations de consommateurs, des réseaux professionnels, des médias, etc, Mme Ndiaye a précisé l’objectif du programme conçu en partenariat avec SENELEC et le fournisseur Electronic corp.
« Le programme ECOFRIDGES Sénégal vise à accompagner le remplacement des équipements de froid alimentaire et de climatisation par des équipements plus économes et respectueux de l’environnement à travers un mécanisme de financement basé sur les recharges d’électricité », a-t-elle dit signalant que sur cette base qu’un deuxième concept ‘’Benen ECOFRIDGES’’ a été mis en place.
Elle justifia ce nouveau concept par le fait qu’une part significative des ménages sénégalais utilise des équipements électriques avec de très faible niveau de performance énergétique, car usagés. Elle cita ainsi le cas des réfrigérateurs, congélateurs, appareils combinés qui, selon elle, représentent au moins 25 pour cent des consommations d’électricité des ménages moyens et jusqu’à 65 pour cent pour les ménages à faible revenu.
« Ces équipements usagés sont généralement achetés par les ménages à ressources limitées, ne pouvant accéder facilement aux équipements neufs », fera-t-elle savoir.
Selon la DG, cette situation est plus délicate dans les zones périurbaines et rurales où des populations socialement défavorisées les utilisent pour des micro-activités génératrices de revenus pouvant générer un surcoût sur leurs dépenses électriques et renforçant ainsi leur situation de précarité.
« Or, le fait d’utiliser un équipement neuf et performant de réfrigération permet d’économiser au moins 50 pour cent sur les dépenses énergétiques. Il en est de même pour les équipements de climatisation qui permettent de réaliser jusqu’à 70 pour cent d’économie d’énergies d’énergie », fera-t-elle savoir.
La balle est maintenant dans le camp des ménages qui doivent se rapprocher des points focaux de l’AEME disponibles sur toute l’étendue du territoire national pour se faire renseigner les critères d’éligibilité à ce programme.
Devant un public nombreux composé de représentants des administrations publiques, des institutions nationales, des partenaires techniques et financiers, du secteur privé, des distributeurs d’équipements, des associations de consommateurs, des réseaux professionnels, des médias, etc, Mme Ndiaye a précisé l’objectif du programme conçu en partenariat avec SENELEC et le fournisseur Electronic corp.
« Le programme ECOFRIDGES Sénégal vise à accompagner le remplacement des équipements de froid alimentaire et de climatisation par des équipements plus économes et respectueux de l’environnement à travers un mécanisme de financement basé sur les recharges d’électricité », a-t-elle dit signalant que sur cette base qu’un deuxième concept ‘’Benen ECOFRIDGES’’ a été mis en place.
Elle justifia ce nouveau concept par le fait qu’une part significative des ménages sénégalais utilise des équipements électriques avec de très faible niveau de performance énergétique, car usagés. Elle cita ainsi le cas des réfrigérateurs, congélateurs, appareils combinés qui, selon elle, représentent au moins 25 pour cent des consommations d’électricité des ménages moyens et jusqu’à 65 pour cent pour les ménages à faible revenu.
« Ces équipements usagés sont généralement achetés par les ménages à ressources limitées, ne pouvant accéder facilement aux équipements neufs », fera-t-elle savoir.
Selon la DG, cette situation est plus délicate dans les zones périurbaines et rurales où des populations socialement défavorisées les utilisent pour des micro-activités génératrices de revenus pouvant générer un surcoût sur leurs dépenses électriques et renforçant ainsi leur situation de précarité.
« Or, le fait d’utiliser un équipement neuf et performant de réfrigération permet d’économiser au moins 50 pour cent sur les dépenses énergétiques. Il en est de même pour les équipements de climatisation qui permettent de réaliser jusqu’à 70 pour cent d’économie d’énergies d’énergie », fera-t-elle savoir.
La balle est maintenant dans le camp des ménages qui doivent se rapprocher des points focaux de l’AEME disponibles sur toute l’étendue du territoire national pour se faire renseigner les critères d’éligibilité à ce programme.
