Pour une meilleure inclusion financière dans l’Uemoa, il faut apporter des solutions aux 4 problèmes. C’est la conclusion à laquelle est aboutie Mme Ndoye. Le premier problème est d’ordre réglementaire. «Il nous faut un cadre réglementaire adapté et des services financiers numérique interopérables», a-t-elle indiqué lors de sa communication faite dans le cadre de la semaine de l’inclusion financière qui a pris fin le samedi dernier..
Mme Ndoye est également d’avis qu’il faut une coordination efficace entre les parties prenantes, des populations financièrement éduquées et un engagement des Etats de l’Union régionale pour améliorer sensiblement l’inclusion financière dans cet espace communautaire.
Pour y arriver, elle a présenté la stratégie régionale qui peut se résumer aux rôles que doivent jouer ces parties prenantes pour relever les nombreux défis de l’inclusion financière.
Sur ce point, elle estime que l’Etat a un rôle central, car c’est lui qui doit veiller à l’assainissement et au renforcement du secteur de la microfinance, contribuer à l’éducation financière des populations, assurer la coordination, au plan national, de la stratégie d’inclusion financière et le développement des infrastructures favorables technologies innovantes.
Pour sa part, la Bceao est chargée principalement de la mise en œuvre de la stratégie régionale de l’inclusion financière et de la protection des clients des services financiers.
Aux autres acteurs du secteur financier, ils sont invités à faire une offre de services financiers orientée vers les technologies innovantes, diversifiée et adaptée aux besoins des populations cibles que sont le monde rural, les petites et moyennes entreprises (Pme), les femmes et jeunes et les personnes à faible éducation financière.
D’après les chiffres donnés par Mme Ndoye, le taux d’inclusion financière est passé de 40,1 pour cent en 2014 à 55,0 pour cent en 2017. Quant au taux d’exclusion, il est passé de 59,9 pour cent à 45,0 pour cent durant la même période.
S’agissant du taux d’accès selon le genre, il est de 21,6 pour cent en 2014 à 44,6 pour cent en 2017 pour les hommes. Pour les femmes, le taux est passé de 14,4 pour cent à 29,7 durant la même période.
Ce qui veut dire qu’il y a encore des efforts à faire pour améliorer ces taux en relevant les nombreux défis qui attendent. Il s’agit de l’identification des populations, de la réduction des coûts de services, de la sécurité et la qualité des services, de l’adaptation continue du cadre réglementaire, de la protection des consommateurs, de l’insuffisance des infrastructures (communication, énergie électrique) notamment dans les zones rurales et de l’éducation financière des populations.
Mme Ndoye est également d’avis qu’il faut une coordination efficace entre les parties prenantes, des populations financièrement éduquées et un engagement des Etats de l’Union régionale pour améliorer sensiblement l’inclusion financière dans cet espace communautaire.
Pour y arriver, elle a présenté la stratégie régionale qui peut se résumer aux rôles que doivent jouer ces parties prenantes pour relever les nombreux défis de l’inclusion financière.
Sur ce point, elle estime que l’Etat a un rôle central, car c’est lui qui doit veiller à l’assainissement et au renforcement du secteur de la microfinance, contribuer à l’éducation financière des populations, assurer la coordination, au plan national, de la stratégie d’inclusion financière et le développement des infrastructures favorables technologies innovantes.
Pour sa part, la Bceao est chargée principalement de la mise en œuvre de la stratégie régionale de l’inclusion financière et de la protection des clients des services financiers.
Aux autres acteurs du secteur financier, ils sont invités à faire une offre de services financiers orientée vers les technologies innovantes, diversifiée et adaptée aux besoins des populations cibles que sont le monde rural, les petites et moyennes entreprises (Pme), les femmes et jeunes et les personnes à faible éducation financière.
D’après les chiffres donnés par Mme Ndoye, le taux d’inclusion financière est passé de 40,1 pour cent en 2014 à 55,0 pour cent en 2017. Quant au taux d’exclusion, il est passé de 59,9 pour cent à 45,0 pour cent durant la même période.
S’agissant du taux d’accès selon le genre, il est de 21,6 pour cent en 2014 à 44,6 pour cent en 2017 pour les hommes. Pour les femmes, le taux est passé de 14,4 pour cent à 29,7 durant la même période.
Ce qui veut dire qu’il y a encore des efforts à faire pour améliorer ces taux en relevant les nombreux défis qui attendent. Il s’agit de l’identification des populations, de la réduction des coûts de services, de la sécurité et la qualité des services, de l’adaptation continue du cadre réglementaire, de la protection des consommateurs, de l’insuffisance des infrastructures (communication, énergie électrique) notamment dans les zones rurales et de l’éducation financière des populations.