Selon ce document publié par la Banque Centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO), les prix du maïs (+5,0 pour cent) et de l'huile de soja (+0,1 pour cent) ont augmenté, tandis que ceux du riz (-3,0 pour cent) et du blé (-1,3 pour cent) se sont repliés.
«Les prix du maïs et de l'huile de soja ont été portés par la vigueur de la demande mondiale. En revanche, ceux du blé se sont ressentis des bonnes perspectives de la production mondiale», souligne-t-il.
En relation avec le contexte d'incertitudes et de croissance modérée, les cours des matières premières ont été globalement orientés à la baisse. L'indice des prix des produits de base non énergétiques a poursuivi son fléchissement au quatrième trimestre 2018.
Ainsi, selon le rapport, les prix de l'énergie ont baissé de 9,5 pour cent durant le trimestre sous revue, consécutivement au recul des prix des produits pétroliers.
«En particulier, les prix mondiaux du pétrole se sont repliés de 14,2, pour cent en raison essentiellement de la hausse de la production aux Etats-Unis et dans les Etats membres de l'Organisation des Pays Exportateurs de Pétrole (OPEP) en vue de compenser la baisse anticipée de l'offre iranienne, suite à l'entrée en vigueur des sanctions américaines. En outre, la demande mondiale de pétrole a été relativement atone», souligne-t-il.
«En variation trimestrielle, les cours des principales matières premières exportées par les pays de l'Union se sont repliés, à l'exception de ceux du café robusta (+2,0 pour cent) et de l'or (+1,4 pour cent). Les baisses les plus importantes ont concerné l'huile de palmiste (-15,7 pour cent), le coton (-6,4 pour cent) et le cacao (-3,1 pour cent). Évalués en franc CFA, les prix des produits de base exportés par les pays de l'Union ont maintenu la même tendance», note-t-il.
Les cours de l'huile de palmiste ont pâti de la faiblesse de la demande en provenance de la Chine et de l'Inde, combinée à l'abondance de l'offre et à l'accroissement des stocks, notamment en Indonésie et en Malaisie.
Les prix du coton ont été affectés par les inquiétudes qui pèsent sur la demande, en liaison avec les tensions commerciales entre les Etats-Unis, premier exportateur mondial de coton, et la Chine, qui en est le premier consommateur mondial.
Les cours du cacao se sont ressentis des perspectives de hausse de la production mondiale.
Par contre, les cours du café ont été portés par la vigueur de la demande mondiale. Les cours de l'or, quant à eux, se sont accrus sous l'effet de la hausse des placements sur la valeur refuge, dans un contexte de repli de la valorisation boursière sur les principales places financières.
«Les prix du maïs et de l'huile de soja ont été portés par la vigueur de la demande mondiale. En revanche, ceux du blé se sont ressentis des bonnes perspectives de la production mondiale», souligne-t-il.
En relation avec le contexte d'incertitudes et de croissance modérée, les cours des matières premières ont été globalement orientés à la baisse. L'indice des prix des produits de base non énergétiques a poursuivi son fléchissement au quatrième trimestre 2018.
Ainsi, selon le rapport, les prix de l'énergie ont baissé de 9,5 pour cent durant le trimestre sous revue, consécutivement au recul des prix des produits pétroliers.
«En particulier, les prix mondiaux du pétrole se sont repliés de 14,2, pour cent en raison essentiellement de la hausse de la production aux Etats-Unis et dans les Etats membres de l'Organisation des Pays Exportateurs de Pétrole (OPEP) en vue de compenser la baisse anticipée de l'offre iranienne, suite à l'entrée en vigueur des sanctions américaines. En outre, la demande mondiale de pétrole a été relativement atone», souligne-t-il.
«En variation trimestrielle, les cours des principales matières premières exportées par les pays de l'Union se sont repliés, à l'exception de ceux du café robusta (+2,0 pour cent) et de l'or (+1,4 pour cent). Les baisses les plus importantes ont concerné l'huile de palmiste (-15,7 pour cent), le coton (-6,4 pour cent) et le cacao (-3,1 pour cent). Évalués en franc CFA, les prix des produits de base exportés par les pays de l'Union ont maintenu la même tendance», note-t-il.
Les cours de l'huile de palmiste ont pâti de la faiblesse de la demande en provenance de la Chine et de l'Inde, combinée à l'abondance de l'offre et à l'accroissement des stocks, notamment en Indonésie et en Malaisie.
Les prix du coton ont été affectés par les inquiétudes qui pèsent sur la demande, en liaison avec les tensions commerciales entre les Etats-Unis, premier exportateur mondial de coton, et la Chine, qui en est le premier consommateur mondial.
Les cours du cacao se sont ressentis des perspectives de hausse de la production mondiale.
Par contre, les cours du café ont été portés par la vigueur de la demande mondiale. Les cours de l'or, quant à eux, se sont accrus sous l'effet de la hausse des placements sur la valeur refuge, dans un contexte de repli de la valorisation boursière sur les principales places financières.