Le groupe de la Banque africaine de développement ("BAD") annonce avoir émis, le 2 février 2021, une décision de sanction à l’encontre de Mitsubishi Heavy Industries, Ltd. ("MHI").
Selon un communiqué de presse reçu aujourd’hui à equonet, cette décision intervient dans le cadre du projet de centrale à vapeur de 1300 MW d'Abu Qir (ci-après le "projet") en Égypte. La Banque rappelle avoir conclu, le 15 janvier 2008, un accord de prêt avec la République Arabe d'Égypte pour le financement partiel du projet dont l’objectif global était d'améliorer l'approvisionnement en énergie électrique en Égypte. MHI, en tant que membre d'un consortium, a soumis une offre et s'est vu attribuer le contrat.
«La Banque africaine de développement estime qu'il existe suffisamment de preuves pour soutenir la conclusion qu'il est plus probable qu'improbable que MHI s'est livré à des pratiques répréhensibles (fausses déclarations) dans le cadre de l'appel d'offres d'Abu Qir et de la mise en œuvre du contrat», soutient-elle.
C’est en tenant compte de ce qui précède et en l'absence de toute circonstance aggravante que la BAD a décidé d'émettre une lettre de réprimande à l’encontre de MHI conformément à la section 11.2 (a) des procédures de sanctions du groupe de la Banque africaine de développement.
Le Bureau de l'intégrité et de la lutte contre la corruption du groupe de la Banque africaine de développement est chargé de la prévention, de la dissuasion et des enquêtes sur les allégations de corruption, fraude et autres pratiques passibles de sanctions dans les opérations financées par le Groupe de la Banque africaine de développement.
Selon un communiqué de presse reçu aujourd’hui à equonet, cette décision intervient dans le cadre du projet de centrale à vapeur de 1300 MW d'Abu Qir (ci-après le "projet") en Égypte. La Banque rappelle avoir conclu, le 15 janvier 2008, un accord de prêt avec la République Arabe d'Égypte pour le financement partiel du projet dont l’objectif global était d'améliorer l'approvisionnement en énergie électrique en Égypte. MHI, en tant que membre d'un consortium, a soumis une offre et s'est vu attribuer le contrat.
«La Banque africaine de développement estime qu'il existe suffisamment de preuves pour soutenir la conclusion qu'il est plus probable qu'improbable que MHI s'est livré à des pratiques répréhensibles (fausses déclarations) dans le cadre de l'appel d'offres d'Abu Qir et de la mise en œuvre du contrat», soutient-elle.
C’est en tenant compte de ce qui précède et en l'absence de toute circonstance aggravante que la BAD a décidé d'émettre une lettre de réprimande à l’encontre de MHI conformément à la section 11.2 (a) des procédures de sanctions du groupe de la Banque africaine de développement.
Le Bureau de l'intégrité et de la lutte contre la corruption du groupe de la Banque africaine de développement est chargé de la prévention, de la dissuasion et des enquêtes sur les allégations de corruption, fraude et autres pratiques passibles de sanctions dans les opérations financées par le Groupe de la Banque africaine de développement.