(Ecofinance.sn - Dakar) - Pour cette deuxième phase, pas moins de trente-deux millions (32 000 000) d’euros, soit près de vingt et un milliards (21 000 000 000) de FCFA seront mobilisés.
« Dans la même lancée que la première phase dont elle vient renforcer et pérenniser les acquis, cette deuxième phase, va fortement contribuer au développement économique et social de la Région de Matam et du delta du fleuve Sénégal », souligne Amadou Ba.
L’APEFAM II cherche « notamment à améliorer les conditions de production et de commercialisation des produits agricoles et à faire adopter un système efficace et consensuel de gouvernance des ressources foncières et en eau ». Il s’agit de « permettre une mise en valeur durable et équitable ainsi qu’une bonne maintenance des aménagements et infrastructures ».
« Plus concrètement, il s’agira de mettre en place des infrastructures rurales performantes à travers la réhabilitation et l’extension de périmètres irrigués villageois, l’aménagement de cuvettes de décrue, la construction de pistes de production, la création et la réhabilitation d’aménagements collectifs hydroagricoles, d’aménagements hydro-pastoraux, d’infrastructures de stockage, etc ».
Amadou Ba a relevé « la parfaite cohérence de ce projet avec le Programme de relance et d’accélération de la cadence de l’agriculture sénégalaises (PRACAS) qui, à terme, devrait nous permettre d’atteindre l’autosuffisance alimentaire et doubler nos capacités de production et d’exportation de produits agricoles ».
« Dans la même lancée que la première phase dont elle vient renforcer et pérenniser les acquis, cette deuxième phase, va fortement contribuer au développement économique et social de la Région de Matam et du delta du fleuve Sénégal », souligne Amadou Ba.
L’APEFAM II cherche « notamment à améliorer les conditions de production et de commercialisation des produits agricoles et à faire adopter un système efficace et consensuel de gouvernance des ressources foncières et en eau ». Il s’agit de « permettre une mise en valeur durable et équitable ainsi qu’une bonne maintenance des aménagements et infrastructures ».
« Plus concrètement, il s’agira de mettre en place des infrastructures rurales performantes à travers la réhabilitation et l’extension de périmètres irrigués villageois, l’aménagement de cuvettes de décrue, la construction de pistes de production, la création et la réhabilitation d’aménagements collectifs hydroagricoles, d’aménagements hydro-pastoraux, d’infrastructures de stockage, etc ».
Amadou Ba a relevé « la parfaite cohérence de ce projet avec le Programme de relance et d’accélération de la cadence de l’agriculture sénégalaises (PRACAS) qui, à terme, devrait nous permettre d’atteindre l’autosuffisance alimentaire et doubler nos capacités de production et d’exportation de produits agricoles ».