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L’Etat du Sénégal récolte les fruits de son actionnariat. Selon la Direction générale de la comptabilité publique et du trésor (Dgcpt), le montant des dividendes qu’il a encaissés en tant qu’actionnaire sur l’ensemble de son portefeuille s’élève en effet à 35 074 666 712 Fcfa à la date du 31 décembre 2019, incluant les dividendes versés pour la première fois, par la société nationale du Port autonome de Dakar (Sn Pad) et la Lonase respectivement, pour 2 000 000 000 Fcfa et 100 000 000 Fcfa.
Au titre des performances réalisées par les entreprises publiques suivies, la même source a noté un certain nombre d’agrégats. Elle cite ainsi le chiffre d’affaires qui ressort à 662 779 247 251 Fcfa en 2018 contre 625 328 479 989 Fcfa sur l’exercice 2017 ; la valeur ajoutée cumulée, qui a connu une baisse par rapport à l’exercice précédent, passant de 281 597 991 566 Fcfa à 229 849 777 686 ; le résultat net cumulé des entreprises du secteur parapublic qui est passé de 30 856 799 386 Fcfa en 2017 à 32 097 054 885 en 2018. Elle précise que ce résultat est tiré par les sociétés nationales dont principalement, la Société nationale d’électricité (Senelec).
La Dgcpt situe à 1 582 248 419 280 Fcfa la valeur d’équivalence globale des participations de l’Etat des 42 entités du portefeuille ayant transmis leurs situations annuelles de synthèse s’élève. La comparant à la quote-part directe de l’Etat dans la valeur initiale globale (valeur nominale) de ces entités qui est de 400 478 121 272 Fcfa, elle constate une appréciation globale des participations de l’Etat de 1 181 770 298 008 Fcfa contre une dépréciation globale de 107 786 581 806 FCFA.
Donnant la situation provisoire des entreprises du secteur parapublic suivies, elle dénombre, au 31 décembre 2019, dix établissements publics à caractère industriel et commercial (Epic), quatorze sociétés nationales dont le Fonds souverain d’investissement stratégique (Fonsis), quinze sociétés anonymes à participation publique majoritaire dont l’Agence de promotion des investissements et des grands travaux (Apix) et Aéroport international Blaise Diagne (Aibd).
A cela, elle y rajoute trente-cinq sociétés anonymes à participation publique minoritaire, dans différents secteurs de l’économie, les banques, les assurances, les mines, les télécommunications, etc.
Au titre des performances réalisées par les entreprises publiques suivies, la même source a noté un certain nombre d’agrégats. Elle cite ainsi le chiffre d’affaires qui ressort à 662 779 247 251 Fcfa en 2018 contre 625 328 479 989 Fcfa sur l’exercice 2017 ; la valeur ajoutée cumulée, qui a connu une baisse par rapport à l’exercice précédent, passant de 281 597 991 566 Fcfa à 229 849 777 686 ; le résultat net cumulé des entreprises du secteur parapublic qui est passé de 30 856 799 386 Fcfa en 2017 à 32 097 054 885 en 2018. Elle précise que ce résultat est tiré par les sociétés nationales dont principalement, la Société nationale d’électricité (Senelec).
La Dgcpt situe à 1 582 248 419 280 Fcfa la valeur d’équivalence globale des participations de l’Etat des 42 entités du portefeuille ayant transmis leurs situations annuelles de synthèse s’élève. La comparant à la quote-part directe de l’Etat dans la valeur initiale globale (valeur nominale) de ces entités qui est de 400 478 121 272 Fcfa, elle constate une appréciation globale des participations de l’Etat de 1 181 770 298 008 Fcfa contre une dépréciation globale de 107 786 581 806 FCFA.
Donnant la situation provisoire des entreprises du secteur parapublic suivies, elle dénombre, au 31 décembre 2019, dix établissements publics à caractère industriel et commercial (Epic), quatorze sociétés nationales dont le Fonds souverain d’investissement stratégique (Fonsis), quinze sociétés anonymes à participation publique majoritaire dont l’Agence de promotion des investissements et des grands travaux (Apix) et Aéroport international Blaise Diagne (Aibd).
A cela, elle y rajoute trente-cinq sociétés anonymes à participation publique minoritaire, dans différents secteurs de l’économie, les banques, les assurances, les mines, les télécommunications, etc.
