Dans un communiqué de presse transmis à equonet, le ministère sénégalais du Pétrole et des Energies note que le patronat a accepté de retourner à la table des négociations, l’un des points de revendications des chauffeurs. Malgré cela, les derniers n’ont pas jugé opportun de lever leur mot d’ordre de grève, ce qui risque de créer des perturbations dans l’approvisionnement des stations-services (essence, gasoil et gaz butane) et dans la fourniture d’électricité.
Toutefois, la tutelle a jugé bon de préciser que le pays est correctement approvisionné aussi bien en carburants qu’en gaz butane, éléments les plus usités par les populations ainsi qu’en fuel Senelec pour le fonctionnement normal des centrales.
Le communiqué rappelle que les syndicats des chauffeurs de transport d’hydrocarbures ont décrété une grève de 72h, pour réclamer, entre autres, la reprise des négociations avec leur patronat (les transporteurs) et la satisfaction de leurs revendications.
Pour anticiper sur d’éventuelles conséquences qui pourraient être liées à ce mouvement d’humeur, le ministère du Pétrole et des Energies soutient avoir suscité une réunion entre les différentes parties le mercredi 21 avril 2021, en attendant l’ouverture de négociations sous la supervision du ministère du Travail, du Dialogue Social, des Organisations professionnelles et des Relations avec les Institutions (MTDSOPRI), habilité en de pareilles circonstances.
Parmi les exigences des chauffeurs, figurent le retour du patronat sur la table des négociations et la formulation de contre-propositions par rapport à celles qu’ils ont faites. Ces deux points ont fait l’objet de négociation lors de cette rencontre et ont été acceptés par le patronat. Ce dernier a en effet formulé des contre-propositions et accepté de revenir à la table des négociations le 28 avril prochain, selon le ministère.
Face à une telle situation, le gouvernement invite les parties à privilégier la négociation en vue de trouver un accord. Dans cette attente, les services des ministères en charge de l’Energie et du Travail réaffirment leur disponibilité à les accompagner.
Toutefois, la tutelle a jugé bon de préciser que le pays est correctement approvisionné aussi bien en carburants qu’en gaz butane, éléments les plus usités par les populations ainsi qu’en fuel Senelec pour le fonctionnement normal des centrales.
Le communiqué rappelle que les syndicats des chauffeurs de transport d’hydrocarbures ont décrété une grève de 72h, pour réclamer, entre autres, la reprise des négociations avec leur patronat (les transporteurs) et la satisfaction de leurs revendications.
Pour anticiper sur d’éventuelles conséquences qui pourraient être liées à ce mouvement d’humeur, le ministère du Pétrole et des Energies soutient avoir suscité une réunion entre les différentes parties le mercredi 21 avril 2021, en attendant l’ouverture de négociations sous la supervision du ministère du Travail, du Dialogue Social, des Organisations professionnelles et des Relations avec les Institutions (MTDSOPRI), habilité en de pareilles circonstances.
Parmi les exigences des chauffeurs, figurent le retour du patronat sur la table des négociations et la formulation de contre-propositions par rapport à celles qu’ils ont faites. Ces deux points ont fait l’objet de négociation lors de cette rencontre et ont été acceptés par le patronat. Ce dernier a en effet formulé des contre-propositions et accepté de revenir à la table des négociations le 28 avril prochain, selon le ministère.
Face à une telle situation, le gouvernement invite les parties à privilégier la négociation en vue de trouver un accord. Dans cette attente, les services des ministères en charge de l’Energie et du Travail réaffirment leur disponibilité à les accompagner.