La ministre du Pétrole et des Énergies, Sophie Gladima, a invité les sénégalais à investir dans le secteur extractif. "Nous entrons, cette année, dans une phase décisive, avec la production des premiers barils de pétrole et des premiers mètres cubes de gaz, respectivement dans le cadre des projets de Sangomar et de GTA. C'est pourquoi j'invite les investisseurs sénégalais à chercher de l’argent pour pouvoir acquérir des parts de blocs dans le secteur pétro-gazier", a-t-elle déclaré.
Mme le ministre présidait la quatrième édition de la table ronde sur le thème
"Quelles stratégies pour construire les passerelles de la transition énergétique autour de l'exploitation du pétrole et du gaz au Sénégal ?
Elle a été organisée par L'Observatoire de suivi des indicateurs de développement économique en Afrique (Osidea) a organisé hier, en partenariat avec le ministère du Pétrole et des Énergies.
"Pour ce secteur, le plus important, c'est l'accès aux financements et de pouvoir capter ces marchés et de revoir aussi les termes, parce qu’on ne peut pas dire que toutes les sociétés sont des sociétés sénégalaises, alors que parfois, ce sont des sociétés étrangères qui captent les marchés. Il faudra s'assurer que 40 pour cent de ces sociétés sont détenues par des Sénégalais, pour que ces ressources restent dans le pays", a-t-elle ajouté.
Mme le ministre présidait la quatrième édition de la table ronde sur le thème
"Quelles stratégies pour construire les passerelles de la transition énergétique autour de l'exploitation du pétrole et du gaz au Sénégal ?
Elle a été organisée par L'Observatoire de suivi des indicateurs de développement économique en Afrique (Osidea) a organisé hier, en partenariat avec le ministère du Pétrole et des Énergies.
"Pour ce secteur, le plus important, c'est l'accès aux financements et de pouvoir capter ces marchés et de revoir aussi les termes, parce qu’on ne peut pas dire que toutes les sociétés sont des sociétés sénégalaises, alors que parfois, ce sont des sociétés étrangères qui captent les marchés. Il faudra s'assurer que 40 pour cent de ces sociétés sont détenues par des Sénégalais, pour que ces ressources restent dans le pays", a-t-elle ajouté.