Il s’agit des changements d’usage des terres (agriculture, urbanisme,…) et de la mer (pêche,…), de l’exploitation directe de certains organismes vivants, du changement climatique, de la pollution et des espèces exotiques envahissantes.
Dans le résumé de son rapport à l’attention des décideurs rendu public le 6 mai, l’IPBES met en exergue cinq grands types de levier pour lutter contre ces facteurs de dégradation de la nature.
Ils portent sur la création de mesures d’incitation et renforcement des capacités dans le domaine de la responsabilité environnementale, la promotion de la coopération intersectorielle et interjuridictionnelle, la prise de mesures de prévention et de précaution, la prévision de systèmes sociaux et écologiques résilients face à l’incertitude et la complexité et le renforcement des lois et des politiques environnementales et leur mise en œuvre.
Le rapport détaille ensuite une liste d’actions possibles pour lutter contre la dégradation de la biodiversité en matière d’agriculture, d’écosystèmes marins et d’eau douce, d’urbanisation.
Concernant l’agriculture et le secteur alimentaire, il s’agit notamment de promouvoir des pratiques agro-écologiques, de conserver la diversité génétique des espèces cultivées mais aussi de leurs parents sauvages, de gérer de manière intégrée paysages et bassins versants, de réformer les chaînes d’approvisionnement, de promouvoir des choix alimentaires sains et de réduire le gaspillage alimentaire. Le rapport appelle à l’engagement de tous les acteurs du système agricole et alimentaire. Des actions au cœur de l’activité du Cirad depuis de longues années.
Dans tous ces exemples, le rapport pointe l’importance d’inclure différents systèmes de valeurs, intérêts et visions du monde dans la formulation des politiques et des actions, en faisant notamment participer les peuples autochtones et les communautés locales.
Dans le résumé de son rapport à l’attention des décideurs rendu public le 6 mai, l’IPBES met en exergue cinq grands types de levier pour lutter contre ces facteurs de dégradation de la nature.
Ils portent sur la création de mesures d’incitation et renforcement des capacités dans le domaine de la responsabilité environnementale, la promotion de la coopération intersectorielle et interjuridictionnelle, la prise de mesures de prévention et de précaution, la prévision de systèmes sociaux et écologiques résilients face à l’incertitude et la complexité et le renforcement des lois et des politiques environnementales et leur mise en œuvre.
Le rapport détaille ensuite une liste d’actions possibles pour lutter contre la dégradation de la biodiversité en matière d’agriculture, d’écosystèmes marins et d’eau douce, d’urbanisation.
Concernant l’agriculture et le secteur alimentaire, il s’agit notamment de promouvoir des pratiques agro-écologiques, de conserver la diversité génétique des espèces cultivées mais aussi de leurs parents sauvages, de gérer de manière intégrée paysages et bassins versants, de réformer les chaînes d’approvisionnement, de promouvoir des choix alimentaires sains et de réduire le gaspillage alimentaire. Le rapport appelle à l’engagement de tous les acteurs du système agricole et alimentaire. Des actions au cœur de l’activité du Cirad depuis de longues années.
Dans tous ces exemples, le rapport pointe l’importance d’inclure différents systèmes de valeurs, intérêts et visions du monde dans la formulation des politiques et des actions, en faisant notamment participer les peuples autochtones et les communautés locales.