La société Bolloré transports et logistics Côte d'ivoire (Btl Ci) affiche, au terme du 1er semestre 2016, un résultat net de 9,53 milliards de Fcfa, en hausse de 9 pour cent, comparativement à la même période en 2015, annonce un communiqué reçu aujourd’hui à www.ecofinance.sn.
Selon la même source, cette performance est principalement tirée par le résultat financier qui progresse de 15 pour cent, à 7 milliards de Fcfa contre 6,1 milliards de Fcfa au 1er semestre 2015.
Elle note également un chiffre d'affaires (Ca) de Btl Ci hausse de 3 pour cent et s’établit à 45 milliards de Fcfa au 1er semestre 2016 du fait la croissance des activités transit maritime import, du transit aérien, logistique, notamment l’activité "colis exceptionnel".
«Pourtant le Ca a subi les contrecoups de la baisse des cours des matières premières et des conditions climatiques défavorables qui ont affecté les activités logistiques pétrolières et minières et le transit export», souligne le texte.
Il fait état d’un résultat d’exploitation en recul de 16 pour cent, à 3,5 milliards de Fcfa du fait de l’augmentation de la fiscalité foncière relative aux nouvelles acquisitions, l’augmentation exceptionnelle et non récurrente des dépenses d’entretien des actifs et de la hausse des dotations aux amortissements.
Selon la même source, cette performance est principalement tirée par le résultat financier qui progresse de 15 pour cent, à 7 milliards de Fcfa contre 6,1 milliards de Fcfa au 1er semestre 2015.
Elle note également un chiffre d'affaires (Ca) de Btl Ci hausse de 3 pour cent et s’établit à 45 milliards de Fcfa au 1er semestre 2016 du fait la croissance des activités transit maritime import, du transit aérien, logistique, notamment l’activité "colis exceptionnel".
«Pourtant le Ca a subi les contrecoups de la baisse des cours des matières premières et des conditions climatiques défavorables qui ont affecté les activités logistiques pétrolières et minières et le transit export», souligne le texte.
Il fait état d’un résultat d’exploitation en recul de 16 pour cent, à 3,5 milliards de Fcfa du fait de l’augmentation de la fiscalité foncière relative aux nouvelles acquisitions, l’augmentation exceptionnelle et non récurrente des dépenses d’entretien des actifs et de la hausse des dotations aux amortissements.