Rien que pour leurs effets économiques néfastes, le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme méritent d’être mieux connus pour être combattus de manière efficace.
C’est ce qu’a compris l’Observatoire de la qualité des services financiers (OQSF) qui a jugé utile d’organiser depuis aujourd’hui, en partenariat avec la CENTIF, la BCEAO, le GIABA et l’APBEFS, un atelier de formation pour renforcer les capacités des acteurs des membres du Collectif des journalistes économiques du Sénégal (COJES) en tant que relais pour une sensibilisation de masse sur la problématique du blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme.
A cet effet, il est fortement attendu de ces derniers un rôle prépondérant aussi bien dans la couverture médiatique que pour la dissémination des messages véhiculés sur les différentes thématiques que sont la typologie et identification des méthodes de blanchiment de capitaux et de financement du terrorisme : cas pratiques et exemples, les impacts économiques et sécuritaires du blanchiment de capitaux et du financement du terrorisme et le rôle de la presse économique dans le dispositif de la LBC/FT.
«Le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme sont des délits financiers qui ont des effets économiques car ils peuvent saper l’intégrité et la stabilité des institutions et systèmes financiers, dissuader les investisseurs étrangers et perturber les flux de capitaux internationaux», a déclaré Habib Ndao, secrétaire exécutif de l’OQSF.
«Ils peuvent également avoir des conséquences négatives pour la stabilité financière et les résultats macroéconomiques d’un pays, et partant, entraîner des pertes de bien-être, détourner les ressources d’activités économiques plus productives et même avoir des retombées déstabilisatrices sur l’économie d’autres pays», a-t-il ajouté.
Dès lors, des dispositifs efficaces de lutte contre le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme lui paraît essentiels pour protéger l’intégrité des marchés financiers et systèmes économiques. «Les actions de sensibilisation de lutte contre le blanchiment des capitaux et le financement terroriste constituent donc non seulement un impératif moral, mais aussi une nécessité économique», a-t-il justifié.
Autant d’enjeux qui ont amené l’OQSF à s’investit invariablement de sa mission de promotion de l’éducation financière de masse en vue d’une plus grande inclusion financière des populations.
Cet atelier de formation des acteurs de la presse économique marque le démarrage officiel des Journées de l’inclusion financière (JIF), édition 2021 sous l’égide de la BCEAO.
C’est ce qu’a compris l’Observatoire de la qualité des services financiers (OQSF) qui a jugé utile d’organiser depuis aujourd’hui, en partenariat avec la CENTIF, la BCEAO, le GIABA et l’APBEFS, un atelier de formation pour renforcer les capacités des acteurs des membres du Collectif des journalistes économiques du Sénégal (COJES) en tant que relais pour une sensibilisation de masse sur la problématique du blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme.
A cet effet, il est fortement attendu de ces derniers un rôle prépondérant aussi bien dans la couverture médiatique que pour la dissémination des messages véhiculés sur les différentes thématiques que sont la typologie et identification des méthodes de blanchiment de capitaux et de financement du terrorisme : cas pratiques et exemples, les impacts économiques et sécuritaires du blanchiment de capitaux et du financement du terrorisme et le rôle de la presse économique dans le dispositif de la LBC/FT.
«Le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme sont des délits financiers qui ont des effets économiques car ils peuvent saper l’intégrité et la stabilité des institutions et systèmes financiers, dissuader les investisseurs étrangers et perturber les flux de capitaux internationaux», a déclaré Habib Ndao, secrétaire exécutif de l’OQSF.
«Ils peuvent également avoir des conséquences négatives pour la stabilité financière et les résultats macroéconomiques d’un pays, et partant, entraîner des pertes de bien-être, détourner les ressources d’activités économiques plus productives et même avoir des retombées déstabilisatrices sur l’économie d’autres pays», a-t-il ajouté.
Dès lors, des dispositifs efficaces de lutte contre le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme lui paraît essentiels pour protéger l’intégrité des marchés financiers et systèmes économiques. «Les actions de sensibilisation de lutte contre le blanchiment des capitaux et le financement terroriste constituent donc non seulement un impératif moral, mais aussi une nécessité économique», a-t-il justifié.
Autant d’enjeux qui ont amené l’OQSF à s’investit invariablement de sa mission de promotion de l’éducation financière de masse en vue d’une plus grande inclusion financière des populations.
Cet atelier de formation des acteurs de la presse économique marque le démarrage officiel des Journées de l’inclusion financière (JIF), édition 2021 sous l’égide de la BCEAO.