A toute chose, malheur est bon, as-t-on l’habitude dire. En effet, pouvez-t-on s’attendre à ce que le président de la République lance un appel de collecte de 1000 milliards francs CFA pour atténuer l’impact du Covid-19, dégager 50 milliards pour l’aide alimentaire et une remise partielle de la dette fiscale de 200 milliards ? Je ne le pense pas. Sinon, il allait le faire depuis longtemps.
Si donc il a créé un Fonds de riposte et de solidarité contre les effets du covid-19, FORCE-COVID-19, qui sera doté de 1000 milliards de FCFA et alimenté par l’Etat et toutes les bonnes volontés, c’est grâce au coronavirus. A la faveur de cette pandémie, les entreprises, les ménages et la diaspora seront soutenus.
A cause d’elle, une enveloppe de 50 milliards sera consacrée à l’achat de vivres pour l’aide alimentaire d’urgence. Avec elle, des mesures fiscales générales et spécifiques seront également prises en soutien aux entreprises.
Ainsi, il sera accordé une remise partielle de la dette fiscale constatée au 31 décembre 2019 due par les entreprises et les particuliers, pour un montant global de 200 milliards. Une attention particulière sera accordée aux secteurs les plus affectés par la crise du Covid-19, en particulier l’hôtellerie, la restauration, le transport et la culture.
La presse aussi aura sa part du gâteau sucré du covid-19, compte tenu des changements induits dans ses grilles de programme et du rôle de service public qu’elle joue dans le contexte de la crise.
N’est ce pas là une très bonne opportunité pour tout le monde, les entreprises, les particuliers, les ménages, la diaspora, l’hôtellerie, la restauration, le transport, les médias, la culture, bref l’économie nationale ?
Finalement tout le monde gagne du coronavirus, même si cette pandémie continue de faire trembler le monde entier, de façon brutale et massive. Mais pour combien de temps avec la gravité de la situation ?
Si donc il a créé un Fonds de riposte et de solidarité contre les effets du covid-19, FORCE-COVID-19, qui sera doté de 1000 milliards de FCFA et alimenté par l’Etat et toutes les bonnes volontés, c’est grâce au coronavirus. A la faveur de cette pandémie, les entreprises, les ménages et la diaspora seront soutenus.
A cause d’elle, une enveloppe de 50 milliards sera consacrée à l’achat de vivres pour l’aide alimentaire d’urgence. Avec elle, des mesures fiscales générales et spécifiques seront également prises en soutien aux entreprises.
Ainsi, il sera accordé une remise partielle de la dette fiscale constatée au 31 décembre 2019 due par les entreprises et les particuliers, pour un montant global de 200 milliards. Une attention particulière sera accordée aux secteurs les plus affectés par la crise du Covid-19, en particulier l’hôtellerie, la restauration, le transport et la culture.
La presse aussi aura sa part du gâteau sucré du covid-19, compte tenu des changements induits dans ses grilles de programme et du rôle de service public qu’elle joue dans le contexte de la crise.
N’est ce pas là une très bonne opportunité pour tout le monde, les entreprises, les particuliers, les ménages, la diaspora, l’hôtellerie, la restauration, le transport, les médias, la culture, bref l’économie nationale ?
Finalement tout le monde gagne du coronavirus, même si cette pandémie continue de faire trembler le monde entier, de façon brutale et massive. Mais pour combien de temps avec la gravité de la situation ?