Dans l’industrie, la concurrence supposée déloyale (41%), les difficultés de recouvrement des créances (29%), l’approvisionnement difficile en matières premières (26%) et l’insuffisance de la demande (24%) sont majoritairement ressorties comme entraves à l’activité. Néanmoins, le climat des affaires s’est bien orienté (+1,9 point) dans le sous-secteur, en rythme mensuel, sur fond, notamment, d’opinions favorables des enquêtés sur la production et les perspectives d’emploi. Toutefois, les industriels sont plus nombreux qu’en avril à déclarer un niveau significatif de stocks de produits finis, en rapport avec une contraction de la demande.
Dans le sous-secteur des bâtiments et travaux publics, les contraintes majoritairement citées par les entrepreneurs interrogés sont relatives aux difficultés de recouvrement des créances (100%), à la fiscalité (43%), à l’accès au foncier (29%), à la concurrence jugée déloyale (29%) et à l’accès difficile au crédit (29%). Par ailleurs, le climat conjoncturel s’est dégradé (-4,1 points) dans le sous-secteur, entre avril et mai 2019, sous l’effet des orientations négatives des soldes d’opinion relatifs à l’activité, à l’emploi et aux perspectives de commandes privées.
Au niveau des services, les prestataires interrogés ont majoritairement évoqué, en mai 2019, les difficultés de recouvrement des créances (67%), la concurrence jugée déloyale (40%), la corruption et la fraude (27%), la fiscalité (27%) et l’insuffisance de la demande (27%) comme entraves au développement de l’activité. Néanmoins, le climat des affaires s’est amélioré (0,9 point) dans le sous-secteur, en rythme mensuel. En effet, les soldes d’opinion relatifs aux commandes, aux tarifs pratiqués et aux perspectives de tarifs se sont, particulièrement, bien orientés.
S’agissant du commerce, les difficultés de recouvrement des créances (70%), la concurrence jugée déloyale (40%), les difficultés d’approvisionnement (20%), la fiscalité (20%) et l’accès difficile au crédit (20%) ont, selon les interviewés, constitué les principales contraintes à l’activité, durant le mois de mai 2019. Le climat des affaires s’est, en outre, dégradé (-0,7 point) en rythme mensuel, en rapport avec les orientations particulièrement défavorables des soldes d’opinion relatifs aux niveaux et perspectives de stocks de produits finis.
Source : DPEE
Dans le sous-secteur des bâtiments et travaux publics, les contraintes majoritairement citées par les entrepreneurs interrogés sont relatives aux difficultés de recouvrement des créances (100%), à la fiscalité (43%), à l’accès au foncier (29%), à la concurrence jugée déloyale (29%) et à l’accès difficile au crédit (29%). Par ailleurs, le climat conjoncturel s’est dégradé (-4,1 points) dans le sous-secteur, entre avril et mai 2019, sous l’effet des orientations négatives des soldes d’opinion relatifs à l’activité, à l’emploi et aux perspectives de commandes privées.
Au niveau des services, les prestataires interrogés ont majoritairement évoqué, en mai 2019, les difficultés de recouvrement des créances (67%), la concurrence jugée déloyale (40%), la corruption et la fraude (27%), la fiscalité (27%) et l’insuffisance de la demande (27%) comme entraves au développement de l’activité. Néanmoins, le climat des affaires s’est amélioré (0,9 point) dans le sous-secteur, en rythme mensuel. En effet, les soldes d’opinion relatifs aux commandes, aux tarifs pratiqués et aux perspectives de tarifs se sont, particulièrement, bien orientés.
S’agissant du commerce, les difficultés de recouvrement des créances (70%), la concurrence jugée déloyale (40%), les difficultés d’approvisionnement (20%), la fiscalité (20%) et l’accès difficile au crédit (20%) ont, selon les interviewés, constitué les principales contraintes à l’activité, durant le mois de mai 2019. Le climat des affaires s’est, en outre, dégradé (-0,7 point) en rythme mensuel, en rapport avec les orientations particulièrement défavorables des soldes d’opinion relatifs aux niveaux et perspectives de stocks de produits finis.
Source : DPEE