La mise en place de l’aménagement hydroélectrique commence à 25 km au sud de la principale ville de la région de Kédougou, près de la fontière avec la Guinée. Le projet qui devrait entrer dans sa phase d’exploitation en 2025 est financé par les États membres de l’OMVG, ainsi que des prêts accordés par une myriade d’institutions de financement du développement.
Le lac de barrage qui se formera devrait contenir 4 milliards de m3 d’eau. L’eau du barrage est destinée la production de l’électricité à travers une centrale équipée de turbines capables de délivrer une puissance de 128 MW, soit une capacité annuelle estimée à 402 GWh.
Elle sera également exploitée pour l’irrigation avec à la clé, la valorisation de 90 000 hectares de terres agricoles en aval, dont 50 000 hectares au Sénégal et 40 000 hectares en Gambie. « Le déplacement des populations dans la zone de l’aménagement hydroélectrique de Sambangalou est provoqué par la création d’une retenue de 181 km² qui va s’étendre sur des territoires sur lesquels sont installés 10 villages », a informé l’OMVG qui déclare avoir également préparé un plan d’action de réinstallation des personnes affectées par le projet.
Pour rappel, le démarrage des travaux a eu un retard d’un an. Il était normalement prévu au premier semestre 2021.
Le lac de barrage qui se formera devrait contenir 4 milliards de m3 d’eau. L’eau du barrage est destinée la production de l’électricité à travers une centrale équipée de turbines capables de délivrer une puissance de 128 MW, soit une capacité annuelle estimée à 402 GWh.
Elle sera également exploitée pour l’irrigation avec à la clé, la valorisation de 90 000 hectares de terres agricoles en aval, dont 50 000 hectares au Sénégal et 40 000 hectares en Gambie. « Le déplacement des populations dans la zone de l’aménagement hydroélectrique de Sambangalou est provoqué par la création d’une retenue de 181 km² qui va s’étendre sur des territoires sur lesquels sont installés 10 villages », a informé l’OMVG qui déclare avoir également préparé un plan d’action de réinstallation des personnes affectées par le projet.
Pour rappel, le démarrage des travaux a eu un retard d’un an. Il était normalement prévu au premier semestre 2021.