En effet, les trois derniers mois de 2018 ayant coïncidé avec la célébration de grandes fêtes religieuses (tamkharit, magal, gamou) et de fin d’année ont enregistré de fortes productions de viande ainsi qu’un déstockage important d’animaux en âge avancé du fait de la transhumance.
En conséquence, les prix de la viande de petits ruminants ont progressé de 0,5% sur la période. En rythme annuel, le sous-secteur de l’élevage s’est, en revanche, conforté de 2,7%, au premier trimestre 2019, soutenu par l’augmentation des productions de viande ovine (+7,2%) et caprine (+14,4%).
Le raffermissement, en glissement annuel, des abattages de petits ruminants traduit, notamment, une meilleure fréquentation des structures formelles (adhésion de nouveaux clients) et un renforcement des équipements frigorifiques (assurance d’une meilleure conservation de la viande). Concernant les bovins, une diminution du poids moyen des carcasses a entrainé un repli (-0,1%) de la production de viande.
Source : DPEE
En conséquence, les prix de la viande de petits ruminants ont progressé de 0,5% sur la période. En rythme annuel, le sous-secteur de l’élevage s’est, en revanche, conforté de 2,7%, au premier trimestre 2019, soutenu par l’augmentation des productions de viande ovine (+7,2%) et caprine (+14,4%).
Le raffermissement, en glissement annuel, des abattages de petits ruminants traduit, notamment, une meilleure fréquentation des structures formelles (adhésion de nouveaux clients) et un renforcement des équipements frigorifiques (assurance d’une meilleure conservation de la viande). Concernant les bovins, une diminution du poids moyen des carcasses a entrainé un repli (-0,1%) de la production de viande.
Source : DPEE