Les organisations ARTICLE 19, AccessNow, #KeepItOn, ASUTIC, AFRICTIVISTES qui forment la coalition #KeepItOn, demandent, au nom de plus de 170 organisations provenant de plus de 60 pays, la stabilité et l'accessibilité d’internet pendant l’élection présidentielle du 24 février 2019 au Sénégal.
«Nous demandons d’urgence à toutes les parties prenantes, notamment les fournisseurs de services téléphoniques et internet d’assurer la stabilité et l'accessibilité d’internet avant, pendant et après la prochaine élection présidentielle du 24 Février 2019 au Sénégal», lance la coalition dans une déclaration conjointe.
«Nous réaffirmons que l'internet ouvert, accessible et sécurisé, en particulier durant l’ élection présidentielle, facilite la libre circulation et l'accès à l'information, et la liberté d'expression en ligne et hors ligne», déclare-t-elle.
Ces organisations se montrent préoccupées par le fait que la récente tendance d'interférences illégitimes dans les communications en ligne, la déclaration menaçante d'agents publics et des services de sécurité, ainsi que l’adoption d’une loi sur les communications électroniques datant de 2018, peuvent être considérées comme une tentative majeure de faire taire les voix critiques en ligne et de limiter ainsi la liberté d'expression.
Pour eux, le contrôle excessif des médias publics, l'influence et la pression indirecte exercée par le gouvernement et ses alliés sur de nombreux médias traditionnels, ainsi que les récents actes de violence à l'encontre de journalistes affaiblissent le processus démocratique au Sénégal.
«Nous demandons d’urgence à toutes les parties prenantes, notamment les fournisseurs de services téléphoniques et internet d’assurer la stabilité et l'accessibilité d’internet avant, pendant et après la prochaine élection présidentielle du 24 Février 2019 au Sénégal», lance la coalition dans une déclaration conjointe.
«Nous réaffirmons que l'internet ouvert, accessible et sécurisé, en particulier durant l’ élection présidentielle, facilite la libre circulation et l'accès à l'information, et la liberté d'expression en ligne et hors ligne», déclare-t-elle.
Ces organisations se montrent préoccupées par le fait que la récente tendance d'interférences illégitimes dans les communications en ligne, la déclaration menaçante d'agents publics et des services de sécurité, ainsi que l’adoption d’une loi sur les communications électroniques datant de 2018, peuvent être considérées comme une tentative majeure de faire taire les voix critiques en ligne et de limiter ainsi la liberté d'expression.
Pour eux, le contrôle excessif des médias publics, l'influence et la pression indirecte exercée par le gouvernement et ses alliés sur de nombreux médias traditionnels, ainsi que les récents actes de violence à l'encontre de journalistes affaiblissent le processus démocratique au Sénégal.