C’est ce qu’à relevé le président du Conseil d’administration, Idrissa Nassa, dans son rapport de gestion de l’exercice 2018 présenté à l’Assemblé générale ordinaire de CBI du 24 avril 2019 et publié le 29 avril 2019 par la Bourse régionale des valeurs mobilières (BRVM).
«En effet, le total bilan aura poursuivi sa croissance pour atteindre 1 152,2 milliards en un an et le résultat net ressort bénéficiaire de 24,5 milliards. Ces réalisations se situent dans un contexte économique mondial caractérisé par des incertitudes sur les marchés financiers quant aux politiques commerciales et des inquiétudes sur les perspectives de la Chine», a-t-il expliqué.
«La croissance mondiale pour l’année 2018 devrait s’établir à 3,5 pour cent selon les projections du Fonds monétaire international. Dans l’espace UEMOA, les performances observées depuis 2012 devraient se poursuivre en 2018 avec des prévisions de croissance de l’ordre de 6,6 pour cent. 2018 a été l’année de réformes avec l’entrée en vigueur du nouveau plan comptable bancaire et du dispositif prudentiel Bâle II et Bâle III. La politique monétaire quant à elle, est restée stable au cours de l’exercice», a-t-il commenté.
Au Burkina Faso, l’activité économique enregistrerait une croissance de 6,7 pour cent contre 6,3 pour cent en 2017, avec une inflation maîtrisée. La croissance au Sénégal atteindrait 7 pour cent et celle du Bénin ressortirait à 6,8 pour cent en 2018.
«Dans cet environnement économique, règlementaire et concurrentiel évolutif, CBI SA a adopté un nouveau plan stratégique dénommé «Excellence & Résilience» pour la période de 2018 à 2022. Toujours en phase avec sa politique de proximité, CBI SA a élargi son maillage avec l’installation de 7 nouvelles agences au Burkina Faso. Forte d’un réseau de distribution de 49 agences et 54 DAB, la dynamique commerciale s’est poursuivie, impulsant une croissance du portefeuille clients de 14,6 pour cent (+41 138 clients)», a-t-il souligné.
Selon M. Massa, l’activité clientèle a permis de mobiliser un encours de dépôts de 700,3 milliards après une hausse de 12,9 pour cent (+79,8 milliards) comparativement à fin 2017. D’après lui, la Banque aura aussi rehaussé sa contribution au financement de l’économie de 95,7 milliards sur l’exercice, pour un encours de crédits nets de 637,7 milliards à fin décembre 2018.
«A la pointe de la technologie et de l’innovation, CBI SA a lancé son portemonnaie électronique «Coris Money» pour une inclusion financière plus large. Au terme de leur deuxième exercice, les succursales du Sénégal et du Bénin disposent chacune de deux agences et apportent une contribution de 15,6 pour cent dans la collecte des dépôts clientèle et 15,5 pour cent dans les financements totaux. Grâce à ces performances commerciales, le produit net bancaire s’est établi à 56,7 milliards après une évolution annuelle de 25,3 pour cent», a-t-il fait savoir.
La hausse du niveau des charges d’exploitation, inhérente à la croissance des activités et aux nombreux chantiers règlementaires et technologiques, porte le coefficient d’exploitation à 37,5 pour cent, M. Nassa.
«Le résultat net est bénéficiaire de 24,5 milliards, avec une contribution bénéficiaire des succursales. Classée 4ème sur 123 banques dans l’Union par la commission bancaire de l’UMOA dans son rapport 2017, notre banque reste leader à fin décembre 2018 sur le marché national, aussi bien en termes de total bilan que de financements donnés et de résultats», a-t-il déclaré.
«Ces indicateurs qui nous confortent dans nos options stratégiques, attestent du dynamisme commercial, du label de qualité entretenu par la certification à la norme ISO 9001 : 2015 et de l’engagement sans faille de l’ensemble des équipes de la Banque. Ils traduisent également la capacité d’adaptation de notre organisation pour faire face aux évolutions de l’environnement», a-t-il poursuivi.
«Enfin, ils témoignent de la confiance toujours renouvelée des partenaires et du marché financier, avec un titre CBIBF qui se hisse au 4ème rang sur 45 sociétés cotées, des plus grandes capitalisations de la Bourse Régionale des Valeurs Mobilières (278,2 milliards) au 31 décembre 2018», a-t-il ajouté.
Selon lui, l’exercice 2019 s’annonce favorablement au plan des perspectives économiques nationales. «Notre Banque devra poursuivre la mise en œuvre de sa stratégie en tirant le meilleur parti de la synergie du Groupe, des opportunités du marché et en consolidant ses fondamentaux », a-t-il projeté.
«En effet, le total bilan aura poursuivi sa croissance pour atteindre 1 152,2 milliards en un an et le résultat net ressort bénéficiaire de 24,5 milliards. Ces réalisations se situent dans un contexte économique mondial caractérisé par des incertitudes sur les marchés financiers quant aux politiques commerciales et des inquiétudes sur les perspectives de la Chine», a-t-il expliqué.
«La croissance mondiale pour l’année 2018 devrait s’établir à 3,5 pour cent selon les projections du Fonds monétaire international. Dans l’espace UEMOA, les performances observées depuis 2012 devraient se poursuivre en 2018 avec des prévisions de croissance de l’ordre de 6,6 pour cent. 2018 a été l’année de réformes avec l’entrée en vigueur du nouveau plan comptable bancaire et du dispositif prudentiel Bâle II et Bâle III. La politique monétaire quant à elle, est restée stable au cours de l’exercice», a-t-il commenté.
Au Burkina Faso, l’activité économique enregistrerait une croissance de 6,7 pour cent contre 6,3 pour cent en 2017, avec une inflation maîtrisée. La croissance au Sénégal atteindrait 7 pour cent et celle du Bénin ressortirait à 6,8 pour cent en 2018.
«Dans cet environnement économique, règlementaire et concurrentiel évolutif, CBI SA a adopté un nouveau plan stratégique dénommé «Excellence & Résilience» pour la période de 2018 à 2022. Toujours en phase avec sa politique de proximité, CBI SA a élargi son maillage avec l’installation de 7 nouvelles agences au Burkina Faso. Forte d’un réseau de distribution de 49 agences et 54 DAB, la dynamique commerciale s’est poursuivie, impulsant une croissance du portefeuille clients de 14,6 pour cent (+41 138 clients)», a-t-il souligné.
Selon M. Massa, l’activité clientèle a permis de mobiliser un encours de dépôts de 700,3 milliards après une hausse de 12,9 pour cent (+79,8 milliards) comparativement à fin 2017. D’après lui, la Banque aura aussi rehaussé sa contribution au financement de l’économie de 95,7 milliards sur l’exercice, pour un encours de crédits nets de 637,7 milliards à fin décembre 2018.
«A la pointe de la technologie et de l’innovation, CBI SA a lancé son portemonnaie électronique «Coris Money» pour une inclusion financière plus large. Au terme de leur deuxième exercice, les succursales du Sénégal et du Bénin disposent chacune de deux agences et apportent une contribution de 15,6 pour cent dans la collecte des dépôts clientèle et 15,5 pour cent dans les financements totaux. Grâce à ces performances commerciales, le produit net bancaire s’est établi à 56,7 milliards après une évolution annuelle de 25,3 pour cent», a-t-il fait savoir.
La hausse du niveau des charges d’exploitation, inhérente à la croissance des activités et aux nombreux chantiers règlementaires et technologiques, porte le coefficient d’exploitation à 37,5 pour cent, M. Nassa.
«Le résultat net est bénéficiaire de 24,5 milliards, avec une contribution bénéficiaire des succursales. Classée 4ème sur 123 banques dans l’Union par la commission bancaire de l’UMOA dans son rapport 2017, notre banque reste leader à fin décembre 2018 sur le marché national, aussi bien en termes de total bilan que de financements donnés et de résultats», a-t-il déclaré.
«Ces indicateurs qui nous confortent dans nos options stratégiques, attestent du dynamisme commercial, du label de qualité entretenu par la certification à la norme ISO 9001 : 2015 et de l’engagement sans faille de l’ensemble des équipes de la Banque. Ils traduisent également la capacité d’adaptation de notre organisation pour faire face aux évolutions de l’environnement», a-t-il poursuivi.
«Enfin, ils témoignent de la confiance toujours renouvelée des partenaires et du marché financier, avec un titre CBIBF qui se hisse au 4ème rang sur 45 sociétés cotées, des plus grandes capitalisations de la Bourse Régionale des Valeurs Mobilières (278,2 milliards) au 31 décembre 2018», a-t-il ajouté.
Selon lui, l’exercice 2019 s’annonce favorablement au plan des perspectives économiques nationales. «Notre Banque devra poursuivre la mise en œuvre de sa stratégie en tirant le meilleur parti de la synergie du Groupe, des opportunités du marché et en consolidant ses fondamentaux », a-t-il projeté.