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Serge Ackre, en deuxième position à partir de la gauche, s'exprimant lors du point de presse sur l'exercice 2015 d'Ecobank.
Tout n’est pas rose dans l’exercice de 2015 d’Ecobank. En effet, les objectifs que cette institution panafricaine s’était fixée en 2015, en termes de bilan, de croissance, de dépôts, etc, ont tous été atteints à l’exception du résultat après impôt.
Selon son président directeur général, Serge Ackre, qui en a fait la remarque jeudi à Dakar au cours d’un point presse tenue après l’assemblée générale de la banque, le résultat après impôt s’est déprécié de 2 248 millions de FCFA pour s’établir à 5 012 millions au 31 décembre 2015, contre 7 260 millions au 31 décembre 2014.
Il attribue cette situation à la politique d’approvisionnement soutenue tendant à assainir durablement leur portefeuille de crédits à la clientèle. Une déclinaison qui, selon lui, s’est traduite par une hausse des provisions nettes de 8 507 millions de FCFA.
«Cet assainissement du portefeuille devrait, à l’avenir, nous offrir des opportunités de développement très intéressante et la banque s’est résolument inscrite dans cette dynamique», a-t-il indiqué.
En dehors de cette dépréciation du résultat après impôt, tous les autres points clignotent en vert. Il en est ainsi du total bilan qui, selon M. Ackre, s’élève à 648 371 millions de FCFA à la fin de l’exercice 2015, contre 569 271 millions de FCFA à la fin de l’année 2014, soit une hausse de 13,89 pour cent.
«Avec ce total bilan, notre banque a significativement consolidé sa position de 3ième banque du Sénégal», s’est-il réjouit.
Parlant de la croissance organique, le Pdg d’Ecobank a mis l’accent sur son «renforcement avec une augmentation remarquable des opérations de crédit avec la clientèle qui sont passées de 301 827 millions de FCFA à la fin de l’année 2014 à 316 186 millions de FCFA en fin décembre 2015, soit une hausse de 4,76 pour cent».
Evoquant les dépôts, Serge Ackre soutient qu’ «ils ont connu une tendance haussière encore plus importante et s’établissent à 497 791 millions de FCFA en 2015, contre 419 905 millions de FCFA en 2014, soit une hausse de 18,5 pour cent».
Ce n’est pas tout. M. Ackre a, dans la même lancée, relevé le produit net bancaire qui, selon lui, a aussi connu une progression de 10,59 pour cent en passant de 34 383 millions de FCFA, à 38 025 millions de FCFA entre les deux exercices.
Il a enfin noté les efforts consentis en matière de maîtrise des charges qui se sont traduits par une nette amélioration du coefficient d’efficience de l’ordre de 10,91 points pour s’établir à 61,41 pour cent à la fin de l’année 2015.
Selon son président directeur général, Serge Ackre, qui en a fait la remarque jeudi à Dakar au cours d’un point presse tenue après l’assemblée générale de la banque, le résultat après impôt s’est déprécié de 2 248 millions de FCFA pour s’établir à 5 012 millions au 31 décembre 2015, contre 7 260 millions au 31 décembre 2014.
Il attribue cette situation à la politique d’approvisionnement soutenue tendant à assainir durablement leur portefeuille de crédits à la clientèle. Une déclinaison qui, selon lui, s’est traduite par une hausse des provisions nettes de 8 507 millions de FCFA.
«Cet assainissement du portefeuille devrait, à l’avenir, nous offrir des opportunités de développement très intéressante et la banque s’est résolument inscrite dans cette dynamique», a-t-il indiqué.
En dehors de cette dépréciation du résultat après impôt, tous les autres points clignotent en vert. Il en est ainsi du total bilan qui, selon M. Ackre, s’élève à 648 371 millions de FCFA à la fin de l’exercice 2015, contre 569 271 millions de FCFA à la fin de l’année 2014, soit une hausse de 13,89 pour cent.
«Avec ce total bilan, notre banque a significativement consolidé sa position de 3ième banque du Sénégal», s’est-il réjouit.
Parlant de la croissance organique, le Pdg d’Ecobank a mis l’accent sur son «renforcement avec une augmentation remarquable des opérations de crédit avec la clientèle qui sont passées de 301 827 millions de FCFA à la fin de l’année 2014 à 316 186 millions de FCFA en fin décembre 2015, soit une hausse de 4,76 pour cent».
Evoquant les dépôts, Serge Ackre soutient qu’ «ils ont connu une tendance haussière encore plus importante et s’établissent à 497 791 millions de FCFA en 2015, contre 419 905 millions de FCFA en 2014, soit une hausse de 18,5 pour cent».
Ce n’est pas tout. M. Ackre a, dans la même lancée, relevé le produit net bancaire qui, selon lui, a aussi connu une progression de 10,59 pour cent en passant de 34 383 millions de FCFA, à 38 025 millions de FCFA entre les deux exercices.
Il a enfin noté les efforts consentis en matière de maîtrise des charges qui se sont traduits par une nette amélioration du coefficient d’efficience de l’ordre de 10,91 points pour s’établir à 61,41 pour cent à la fin de l’année 2015.
