« Nous devons redoubler d’efforts pour permettre à la planète d’atteindre toutes les cibles de l’ODD 7. Je suis particulièrement préoccupé par le déficit d’accès à une énergie fiable, moderne et durable dans certaines régions du monde, notamment en Afrique subsaharienne, où nous devons vraiment concentrer nos efforts. L’AIE poursuivra sa coopération avec les pays et les organisations pour veiller au déploiement de solutions efficaces et faire en sorte que la révolution des énergies durables ne laisse personne sur le bord du chemin », déclare Fatih Birol, directeur exécutif de l’Agence internationale de l’énergie (AIE).
« Les avancées observées depuis plusieurs années sont encourageantes — le nombre d’individus privés d’électricité ressortant désormais à 840 millions — mais il nous reste encore beaucoup à faire puisque, pour l’essentiel, ces personnes vivent dans les pays les plus pauvres et les régions les plus isolées. Depuis cinq ans, la Banque mondiale a mobilisé 5 milliards de dollars pour des programmes d’accès au réseau ou grâce à des solutions hors réseau et entend renforcer son engagement, affirme Riccardo Puliti, directeur principal du pôle Énergie et industries extractives à la Banque mondiale. Les succès obtenus dans plusieurs pays d’Afrique et d’Asie montrent la voie. Le rapport insiste sur l’importance d’une bonne planification intégrant les approches réseau et hors réseau, la nécessité d’une offre abordable et fiable et la lutte contre les inégalités hommes-femmes. »
« Parce qu’elles développent l’accès à l’énergie, stimulent la croissance économique, créent des emplois et améliorent la santé des populations, les énergies renouvelables et l’efficacité énergétique sont la clé d’un développement durable. Nous pouvons faire en sorte que tous les pays engagent leur transition énergétique, en veillant à ce que les communautés les plus vulnérables en soient bénéficiaires. L’IRENA renforcera son engagement auprès de ses membres et de ses principaux partenaires pour favoriser des solutions concrètes en vue de bâtir un avenir énergétique durable dont profitera l’humanité tout entière », souligne Francesco La Camera, directeur général de l’Agence internationale pour les énergies renouvelables (IRENA).
« Ce rapport décrit les progrès réalisés jusqu’à présent en direction de l’ODD 7, en s’appuyant sur des données complètes compilées par cinq organisations internationales. Pour autant, les avancées ne suffiront pas à atteindre les cibles et les objectifs énergétiques fixés à l’horizon 2030. C’est particulièrement vrai pour les pays en développement, les pays les moins avancés, les pays en développement sans littoral et les petits États insulaires en développement. Le déficit de données y est par ailleurs colossal, ce qui nécessite d’investir dans les systèmes statistiques afin de collecter des informations de meilleure qualité pour éclairer les politiques et enclencher un développement durable », explique Stefan Schweinfest, directeur de la division des statistiques de l’ONU.
« Près de 3 milliards d’individus dans le monde continuent de cuisiner avec des moyens traditionnels et les progrès sont trop lents pour atteindre l’objectif de moyens de cuisson non polluants pour tous d’ici 2030. Les enjeux sanitaires sont immenses, sans parler de l’aggravation des inégalités, en particulier pour les femmes et les enfants. Des mesures ciblées doivent être engagées pour éviter environ 4 millions de décès par an provoqués par la pollution de l’air à l’intérieur des habitations : pneumonies, maladies cardiaques, accidents vasculaires cérébraux, maladies pulmonaires et cancers. L’accélération des progrès est difficile mais possible, grâce à un engagement politique et financier pour étendre l’accès à des moyens de cuisson fiables, non polluants et abordables », déclare Maria Neira, directrice du département santé publique et environnement à l’Organisation mondiale de la santé.
Il s’agit de la quatrième édition de ce rapport, autrefois appelé Global Tracking Framework (GTF). Le rapport peut être téléchargé à l’adresse http://trackingSDG7gtf.esmap.org (a). L’élaboration de ce rapport a été financée par le Programme d’assistance à la gestion du secteur énergétique (ESMAP) de la Banque mondiale.
« Les avancées observées depuis plusieurs années sont encourageantes — le nombre d’individus privés d’électricité ressortant désormais à 840 millions — mais il nous reste encore beaucoup à faire puisque, pour l’essentiel, ces personnes vivent dans les pays les plus pauvres et les régions les plus isolées. Depuis cinq ans, la Banque mondiale a mobilisé 5 milliards de dollars pour des programmes d’accès au réseau ou grâce à des solutions hors réseau et entend renforcer son engagement, affirme Riccardo Puliti, directeur principal du pôle Énergie et industries extractives à la Banque mondiale. Les succès obtenus dans plusieurs pays d’Afrique et d’Asie montrent la voie. Le rapport insiste sur l’importance d’une bonne planification intégrant les approches réseau et hors réseau, la nécessité d’une offre abordable et fiable et la lutte contre les inégalités hommes-femmes. »
« Parce qu’elles développent l’accès à l’énergie, stimulent la croissance économique, créent des emplois et améliorent la santé des populations, les énergies renouvelables et l’efficacité énergétique sont la clé d’un développement durable. Nous pouvons faire en sorte que tous les pays engagent leur transition énergétique, en veillant à ce que les communautés les plus vulnérables en soient bénéficiaires. L’IRENA renforcera son engagement auprès de ses membres et de ses principaux partenaires pour favoriser des solutions concrètes en vue de bâtir un avenir énergétique durable dont profitera l’humanité tout entière », souligne Francesco La Camera, directeur général de l’Agence internationale pour les énergies renouvelables (IRENA).
« Ce rapport décrit les progrès réalisés jusqu’à présent en direction de l’ODD 7, en s’appuyant sur des données complètes compilées par cinq organisations internationales. Pour autant, les avancées ne suffiront pas à atteindre les cibles et les objectifs énergétiques fixés à l’horizon 2030. C’est particulièrement vrai pour les pays en développement, les pays les moins avancés, les pays en développement sans littoral et les petits États insulaires en développement. Le déficit de données y est par ailleurs colossal, ce qui nécessite d’investir dans les systèmes statistiques afin de collecter des informations de meilleure qualité pour éclairer les politiques et enclencher un développement durable », explique Stefan Schweinfest, directeur de la division des statistiques de l’ONU.
« Près de 3 milliards d’individus dans le monde continuent de cuisiner avec des moyens traditionnels et les progrès sont trop lents pour atteindre l’objectif de moyens de cuisson non polluants pour tous d’ici 2030. Les enjeux sanitaires sont immenses, sans parler de l’aggravation des inégalités, en particulier pour les femmes et les enfants. Des mesures ciblées doivent être engagées pour éviter environ 4 millions de décès par an provoqués par la pollution de l’air à l’intérieur des habitations : pneumonies, maladies cardiaques, accidents vasculaires cérébraux, maladies pulmonaires et cancers. L’accélération des progrès est difficile mais possible, grâce à un engagement politique et financier pour étendre l’accès à des moyens de cuisson fiables, non polluants et abordables », déclare Maria Neira, directrice du département santé publique et environnement à l’Organisation mondiale de la santé.
Il s’agit de la quatrième édition de ce rapport, autrefois appelé Global Tracking Framework (GTF). Le rapport peut être téléchargé à l’adresse http://trackingSDG7gtf.esmap.org (a). L’élaboration de ce rapport a été financée par le Programme d’assistance à la gestion du secteur énergétique (ESMAP) de la Banque mondiale.