L’agence relève aussi le degré robuste de rehaussement de crédit par un surdimensionnement du portefeuille de 30,5 pour cent auquel s’ajoute un portefeuille de réserve de 6 pour cent.
Autres facteurs explicatifs, la bonne qualité des actifs sous-jacents à l’opération de titrisation, la prévisibilité des flux de trésorerie extraits du portefeuille sous-jacent, le caractère amortissable des obligations et du portefeuille de créances sous-jacent, ce qui anesthésie le risque de valeur résiduelle, l’existence d’un fonds de réserve appelé à croître à mesure que les excédents de marges s’accumulent au sein de la structure et le confinement des risques opérationnels.
Dans une approche dynamique, WARA indique qu’une amélioration à court terme de la notation des obligations senior émises par le FCTC-COFINA serait la conséquence :
Autres facteurs explicatifs, la bonne qualité des actifs sous-jacents à l’opération de titrisation, la prévisibilité des flux de trésorerie extraits du portefeuille sous-jacent, le caractère amortissable des obligations et du portefeuille de créances sous-jacent, ce qui anesthésie le risque de valeur résiduelle, l’existence d’un fonds de réserve appelé à croître à mesure que les excédents de marges s’accumulent au sein de la structure et le confinement des risques opérationnels.
Dans une approche dynamique, WARA indique qu’une amélioration à court terme de la notation des obligations senior émises par le FCTC-COFINA serait la conséquence :
- d’un comportement extrêmement favorable des créances sous-jacentes, avec un taux de défaut et de non-recouvrement très en-deçà des moyennes historiques ;
- ii) d’une hausse du taux de surdimensionnement ou d’un renforcement du portefeuille de réserve ;
- et/ou iii) de l’introduction de garanties externes dont la qualité de crédit serait supérieure à celle des obligations émises.
Elle souligne aussi qu’une détérioration de la notation des obligations senior émises par le FCTC-COFINA serait la conséquence :
- d’une crise économique, politique ou sanitaire soudaine et de très grande ampleur dans l’un des deux pays desquels sont issues les créances cédées ;
- ii) d’une détérioration soudaine et sévère de la macroéconomie sous-régionale ;
- ou iii) de la matérialisation des risques opérationnels rendant le recouvrement des créances plus malaisé.
Au total, WARA estime que la probabilité d’occurrence des scénarios défavorables est équivalente à celle des scénarios favorables.