La rencontre a enregistré la présence d'une centaine de participants en provenance principalement des banques, des systèmes financiers décentralisés, des établissements de monnaie électronique, des services financiers de la Poste, des Trésors Publics nationaux, des Autorités de Régulation des Télécommunications ainsi que des Représentants de la Banque Africaine de Développement (BAD) et de la Fondation Bill & Melinda GATES.
Durant ces quatre jours, les participants ont eu à échanger, en sessions plénières, sur (i) les conclusions des travaux des Groupes thématiques et (ii) l'étude de la maturité du marché, qui a révélé les progrès et les attentes de l'écosystème en matière d'interopérabilité.
A la suite des travaux en ateliers, un plan de déploiement, assorti des feuilles de route des parties prenantes, a été adopté. Ce plan prévoit une démarche graduelle avec le lancement, dans une première phase, des services de base constitués des transferts de compte à compte et des paiements marchands. La concertation a également permis de définir le niveau de tarification de l'interchange, entre participants, pour les transactions de transferts entre les comptes de monnaie électronique.
Le nouveau système, dont le lancement est prévu en juin 2020, viendra compléter et enrichir les infrastructures financières de l'Union pour apporter aux populations des services de paiement de proximité à coût abordable et plus rapides. L'adoption de services instantanés, disponibles 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7, basés sur des exigences de qualité et de sécurité, constituent les caractéristiques essentielles de cette infrastructure.
En marge de cette rencontre, la Banque Centrale a tenu une séance de travail avec les Représentants des Autorités de Régulation des télécommunications, des Etats membres de l'Union. Cette séance a été notamment consacrée aux conditions devant favoriser le bon fonctionnement de l'interopérabilité, l'amélioration du parcours client ainsi que la qualité des services financiers numériques.
Ce Projet, qui a démarré en avril 2017, vise «la mise en place, en 2020, d'une plateforme régionale permettant les échanges, de compte à compte, quel que soit le type de compte, notamment les comptes bancaires et les comptes de monnaie électronique, l'intégration de tous les acteurs, des instruments et des canaux de paiement utilisés ainsi que la mutualisation des efforts autour de la plateforme monétique du GIM-UEMOA».
Les activités suivantes ont été menées dans le cadre de ce projet :
1. des rencontres avec les Dirigeants des banques, des institutions de microfinance et des établissements de monnaie électronique ainsi que des Autorités de régulation des télécommunications et des Trésors Publics nationaux, dans l'ensemble des huit (8) pays de l'Union ;
2. des sessions de renforcement de capacités sur les services financiers et l'interopérabilité à l'intention des acteurs concernés par le Projet ;
3. deux études d'évaluation portant respectivement sur la capacité technique de la plateforme du GIM-UEMOA et sur la maturité du marché des services financiers numériques ;
4. les travaux des Groupes thématiques chargés de définir les spécifications détaillées de l'interopérabilité des services financiers numériques, suivis des missions itinérantes de restitution dans les pays de l'Union.
Durant ces quatre jours, les participants ont eu à échanger, en sessions plénières, sur (i) les conclusions des travaux des Groupes thématiques et (ii) l'étude de la maturité du marché, qui a révélé les progrès et les attentes de l'écosystème en matière d'interopérabilité.
A la suite des travaux en ateliers, un plan de déploiement, assorti des feuilles de route des parties prenantes, a été adopté. Ce plan prévoit une démarche graduelle avec le lancement, dans une première phase, des services de base constitués des transferts de compte à compte et des paiements marchands. La concertation a également permis de définir le niveau de tarification de l'interchange, entre participants, pour les transactions de transferts entre les comptes de monnaie électronique.
Le nouveau système, dont le lancement est prévu en juin 2020, viendra compléter et enrichir les infrastructures financières de l'Union pour apporter aux populations des services de paiement de proximité à coût abordable et plus rapides. L'adoption de services instantanés, disponibles 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7, basés sur des exigences de qualité et de sécurité, constituent les caractéristiques essentielles de cette infrastructure.
En marge de cette rencontre, la Banque Centrale a tenu une séance de travail avec les Représentants des Autorités de Régulation des télécommunications, des Etats membres de l'Union. Cette séance a été notamment consacrée aux conditions devant favoriser le bon fonctionnement de l'interopérabilité, l'amélioration du parcours client ainsi que la qualité des services financiers numériques.
Ce Projet, qui a démarré en avril 2017, vise «la mise en place, en 2020, d'une plateforme régionale permettant les échanges, de compte à compte, quel que soit le type de compte, notamment les comptes bancaires et les comptes de monnaie électronique, l'intégration de tous les acteurs, des instruments et des canaux de paiement utilisés ainsi que la mutualisation des efforts autour de la plateforme monétique du GIM-UEMOA».
Les activités suivantes ont été menées dans le cadre de ce projet :
1. des rencontres avec les Dirigeants des banques, des institutions de microfinance et des établissements de monnaie électronique ainsi que des Autorités de régulation des télécommunications et des Trésors Publics nationaux, dans l'ensemble des huit (8) pays de l'Union ;
2. des sessions de renforcement de capacités sur les services financiers et l'interopérabilité à l'intention des acteurs concernés par le Projet ;
3. deux études d'évaluation portant respectivement sur la capacité technique de la plateforme du GIM-UEMOA et sur la maturité du marché des services financiers numériques ;
4. les travaux des Groupes thématiques chargés de définir les spécifications détaillées de l'interopérabilité des services financiers numériques, suivis des missions itinérantes de restitution dans les pays de l'Union.