Dans un communiqué de presse transmis à equonet, Louise Mushikiwabo exprime également sa vive préoccupation de l’état de santé de la première Dame, Martine Moïse, blessée par balle lors de cette attaque commise dans la nuit du 6 au 7 juillet.
Elle adresse les plus sincères condoléances et les pensées solidaires de la Francophonie à la famille et aux proches du Président ainsi qu’à l’ensemble du peuple haïtien.
Dans ces circonstances tragiques et ce climat de violence exacerbé, Louise Mushikiwabo appelle au calme ainsi qu’à la préservation de la sécurité, des institutions de l’Etat de droit et des principes démocratiques. Elle demande également la conduite d’une enquête sérieuse et indépendante sur l’assassinat du Président Moïse.
« Cette grave situation ne doit en aucun cas être l’occasion de déstabiliser davantage les institutions démocratiques d’Haïti. L’intérêt supérieur du pays et des populations, déjà durement éprouvées, doit être la première considération de tous les acteurs haïtiens et internationaux », ajoute-t-elle, alors que le pays fait déjà face à une situation politique, institutionnelle et sécuritaire extrêmement fragile.
Madame Mushikiwabo réitère la solidarité de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) et sa pleine disponibilité, aux côtés des partenaires internationaux, à accompagner le pays pour sortir de cette crise majeure.
L’OIF compte 88 États et gouvernements : 54 membres, 7 membres associés et 27 observateurs.
Elle adresse les plus sincères condoléances et les pensées solidaires de la Francophonie à la famille et aux proches du Président ainsi qu’à l’ensemble du peuple haïtien.
Dans ces circonstances tragiques et ce climat de violence exacerbé, Louise Mushikiwabo appelle au calme ainsi qu’à la préservation de la sécurité, des institutions de l’Etat de droit et des principes démocratiques. Elle demande également la conduite d’une enquête sérieuse et indépendante sur l’assassinat du Président Moïse.
« Cette grave situation ne doit en aucun cas être l’occasion de déstabiliser davantage les institutions démocratiques d’Haïti. L’intérêt supérieur du pays et des populations, déjà durement éprouvées, doit être la première considération de tous les acteurs haïtiens et internationaux », ajoute-t-elle, alors que le pays fait déjà face à une situation politique, institutionnelle et sécuritaire extrêmement fragile.
Madame Mushikiwabo réitère la solidarité de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) et sa pleine disponibilité, aux côtés des partenaires internationaux, à accompagner le pays pour sortir de cette crise majeure.
L’OIF compte 88 États et gouvernements : 54 membres, 7 membres associés et 27 observateurs.