D’après le site web Knowledge Bylanes, l'Institute for Health Metrics and Evaluation (IHME), une organisation indépendante mondiale de recherche sur la santé de l'école de médecine de l'Université de Washington, prévoit que 7 872 personnes (dans une fourchette comprise entre 1 115 et 31 971) décéderont de la COVID-19 en Éthiopie d'ici au 1er novembre prochain si le pays continue d'assouplir ses politiques de distanciation sociale.
Cependant, l'utilisation de masques peut contribuer à endiguer la propagation de la maladie et fournir une protection, selon le directeur de l'IHME, le Dr Christopher Murray. L'Institut a modélisé un niveau élevé d'utilisation de masques, avec 95 % de la population portant des masques en public, et il projette que cela permettrait de réduire les décès de 65 %, à 2 790 personnes (dans une fourchette comprise entre 675 et 9 341).
«L'Éthiopie n'en est qu'au début de l'épidémie, et nous ne projetons pas encore un pic des décès, bien que je sois inquiet qu'avec la décision de la nation d'assouplir les mesures de prévention, ce virus vicieux se propagera rapidement dans tout le pays, et en particulier à Addis-Abeba», explique Murray. «Il est impératif de prendre des mesures pour inverser cette tendance afin de contenir le virus et de sauver des vies.»
Cette prévision suppose que la nation impose des mesures de distanciation pendant six semaines à un moment où les décès sont de 8 pour un million d'habitants. Cependant, on ne prévoit pas que le pays atteindra ce seuil avant le 1er novembre prochain.
Selon les prévisions, il y aura un besoin de lits d'hôpitaux et de lits de soins intensifs. L'Éthiopie devrait manquer de lits de soins intensifs pour les patients de la COVID-19 au début août si l'épidémie poursuit sa trajectoire actuelle.
«L'Éthiopie et d'autres nations d'Afrique sont dans une situation difficile», explique Murray. «L'utilisation de masques, une multiplication des tests et d'autres mesures sont autant d'outils importants pouvant contribuer à empêcher le virus de se propager, en particulier chez les personnes dont le système immunitaire est affaibli, les personnes âgées, etc.»
Les nouvelles projections traduisent la propagation de l'épidémie dans toute l'Afrique sub-saharienne. En Afrique du Sud, 34 757 décès (dans une fourchette comprise entre 13 263 et 64 199) devraient être enregistrés jusqu'au 1er novembre prochain si des mesures de distanciation sociale sont prises, et le Kenya devrait en enregistrer 5 613 (dans une fourchette comprise entre 1 613 et 18 493).
Les nouvelles projections relatives aux décès et d'autres informations sont disponibles sur https://covid19.healthdata.org .
Cependant, l'utilisation de masques peut contribuer à endiguer la propagation de la maladie et fournir une protection, selon le directeur de l'IHME, le Dr Christopher Murray. L'Institut a modélisé un niveau élevé d'utilisation de masques, avec 95 % de la population portant des masques en public, et il projette que cela permettrait de réduire les décès de 65 %, à 2 790 personnes (dans une fourchette comprise entre 675 et 9 341).
«L'Éthiopie n'en est qu'au début de l'épidémie, et nous ne projetons pas encore un pic des décès, bien que je sois inquiet qu'avec la décision de la nation d'assouplir les mesures de prévention, ce virus vicieux se propagera rapidement dans tout le pays, et en particulier à Addis-Abeba», explique Murray. «Il est impératif de prendre des mesures pour inverser cette tendance afin de contenir le virus et de sauver des vies.»
Cette prévision suppose que la nation impose des mesures de distanciation pendant six semaines à un moment où les décès sont de 8 pour un million d'habitants. Cependant, on ne prévoit pas que le pays atteindra ce seuil avant le 1er novembre prochain.
Selon les prévisions, il y aura un besoin de lits d'hôpitaux et de lits de soins intensifs. L'Éthiopie devrait manquer de lits de soins intensifs pour les patients de la COVID-19 au début août si l'épidémie poursuit sa trajectoire actuelle.
«L'Éthiopie et d'autres nations d'Afrique sont dans une situation difficile», explique Murray. «L'utilisation de masques, une multiplication des tests et d'autres mesures sont autant d'outils importants pouvant contribuer à empêcher le virus de se propager, en particulier chez les personnes dont le système immunitaire est affaibli, les personnes âgées, etc.»
Les nouvelles projections traduisent la propagation de l'épidémie dans toute l'Afrique sub-saharienne. En Afrique du Sud, 34 757 décès (dans une fourchette comprise entre 13 263 et 64 199) devraient être enregistrés jusqu'au 1er novembre prochain si des mesures de distanciation sociale sont prises, et le Kenya devrait en enregistrer 5 613 (dans une fourchette comprise entre 1 613 et 18 493).
Les nouvelles projections relatives aux décès et d'autres informations sont disponibles sur https://covid19.healthdata.org