La réserve naturelle communautaire de Palmarin.
A environ 4 heures de routes de la capitale sénégalais, Dakar, la réserve naturelle communautaire de Palmarin est un vrai rendez-vous avec la nature. Le Palmarin est caractérisé par une végétation de type soudano-guinéen, bordés de forêts et de mangroves. Les vasières et les plans d’eau constituent des sites d’hivernage et de gagnage pour une importante colonie d’oiseaux migrateurs venant de douze pays européens.
Elle recèle aussi d’une importante population d’oiseaux sédentaires qui sont observés toute l’année. La réserve abrite également une population des hyènes sauvages tachetées. Ce projet, initié par les populations locales, a permis à la fois de préserver l’importance archéologique et historique de la zone naturelle, et de protéger l’avifaune, la faune et la flore et d’attirer de nouvelles espèces aviaires.
«Nous invitons de plus en plus les gens à diversifier l’offre touristique au Sénégal, car il y a beaucoup de belle chose à voir. De sites comme Palmarin méritent qu’on fasse leur promotion, car ils représentent le renouveau de notre tourisme. On doit pouvoir proposer autre chose que les sites balnéaires et sur ce point nous avons du potentiel», explique Ismael Kambell de la plateforme hôtelière jovago.com, acteur du tourisme sénégalais.
«Entrer dans la réserve, c’est tenter de pénétrer les légendes qui habitent les lieux, saisir un peu de cette nature tropicale luxuriante où abondent oiseaux et végétation, se faire silencieux pour déceler la présence d’animaux, écouter les cris de l’ibis sacré qui pique dans l’eau, le claquement des ailes du héron cendré qui s’envole, plus tard le hurlement des hyènes à l’heure où le soleil se couche dans les méandres des bolongs», ajoute t-il.
La communauté rurale de Palmarin, initiatrice du projet, est composée de cinq villages. Elle couvre une superficie de 93 km2 pour une population de 10 330 habitants.
Elle recèle aussi d’une importante population d’oiseaux sédentaires qui sont observés toute l’année. La réserve abrite également une population des hyènes sauvages tachetées. Ce projet, initié par les populations locales, a permis à la fois de préserver l’importance archéologique et historique de la zone naturelle, et de protéger l’avifaune, la faune et la flore et d’attirer de nouvelles espèces aviaires.
«Nous invitons de plus en plus les gens à diversifier l’offre touristique au Sénégal, car il y a beaucoup de belle chose à voir. De sites comme Palmarin méritent qu’on fasse leur promotion, car ils représentent le renouveau de notre tourisme. On doit pouvoir proposer autre chose que les sites balnéaires et sur ce point nous avons du potentiel», explique Ismael Kambell de la plateforme hôtelière jovago.com, acteur du tourisme sénégalais.
«Entrer dans la réserve, c’est tenter de pénétrer les légendes qui habitent les lieux, saisir un peu de cette nature tropicale luxuriante où abondent oiseaux et végétation, se faire silencieux pour déceler la présence d’animaux, écouter les cris de l’ibis sacré qui pique dans l’eau, le claquement des ailes du héron cendré qui s’envole, plus tard le hurlement des hyènes à l’heure où le soleil se couche dans les méandres des bolongs», ajoute t-il.
La communauté rurale de Palmarin, initiatrice du projet, est composée de cinq villages. Elle couvre une superficie de 93 km2 pour une population de 10 330 habitants.