Actualité
Le Japon peut servir d'exemple au Sénégal qui aspire à l'émergence à l'horizon 2035. Ce pays du "soleil levant", qui ne possède pas de ressources de naturelles, ni minières, ni énergétiques à exploiter, s'est hissé parmi les pays développés en se basant sur l'éducation et le développement des ressources humaines. En effet, c’est en se basant sur cette philosophie de base qu’après la seconde guerre mondiale, ce pays s’est relevé et a réussi à se reconstruire.
L'ambassadeur du Japon au Sénégal, Arai Tatsuo, à de quoi être fier en citant l'expérience de son pays dans le domaine de la formation et de perfectionnement de ressources humaines hautement qualifiées dans le domaine industriel. "Le Japon, se fondant sur sa propre expérience, est persuadé que l’éducation et le développement des ressources humaines sont essentiels pour le développement d’un pays", s'est-il réjouit.
Le diplomate japonais s'exprimait hier à la cérémonie de clôture des séminaires organisés au Centre de formation professionnelle et technique (CFTP) Sénégal-Japon dans le cadre de la cinquième phase du programme de formation professionnelle et technique destiné aux formateurs venant de treize (13) pays francophones d’Afrique de l’Ouest, du Centre et de l’Est.
Le Sénégal peut donc réussir cette prouesse japonaise, d'autant plus qu'il dispose des ressources naturelles (pétrole, mines, gaz) que le Japon n'a pas. Il suffit d'y croire et du sérieux, plus d'actions et moins bavardages pour y arriver.
En tout cas dans le cadre de leur coopération, le Sénégal et le Japon se sont engagés à cibler la formation et le perfectionnement de ressources humaines hautement qualifiées dans le domaine industriel, notamment à travers les activités du CFPT Sénégal-Japon.
Les deux gouvernements ont a reconnu l’importance de la formation professionnelle, comme un moteur du développement. Pour ce faire, l'ambassadeur japonais pense que cette formation doit répondre aux besoins de l'industrie en termes de disponibilité de ressources qualifies et bien formée, de manière proactive, souple et efficace. "Ce faisant, elle contribue fortement au développement du secteur industriel et à la création de petites et moyennes entreprises et d’emplois pour surtout pour les jeunes", a-t-il indiqué.
II reste au gouvernement sénégalais de donner une haute priorité à l’éducation et à la formation technique et professionnelle pour mettre en œuvre sa stratégie nationale d’industrialisation. C'est aussi simple que ça.
L'ambassadeur du Japon au Sénégal, Arai Tatsuo, à de quoi être fier en citant l'expérience de son pays dans le domaine de la formation et de perfectionnement de ressources humaines hautement qualifiées dans le domaine industriel. "Le Japon, se fondant sur sa propre expérience, est persuadé que l’éducation et le développement des ressources humaines sont essentiels pour le développement d’un pays", s'est-il réjouit.
Le diplomate japonais s'exprimait hier à la cérémonie de clôture des séminaires organisés au Centre de formation professionnelle et technique (CFTP) Sénégal-Japon dans le cadre de la cinquième phase du programme de formation professionnelle et technique destiné aux formateurs venant de treize (13) pays francophones d’Afrique de l’Ouest, du Centre et de l’Est.
Le Sénégal peut donc réussir cette prouesse japonaise, d'autant plus qu'il dispose des ressources naturelles (pétrole, mines, gaz) que le Japon n'a pas. Il suffit d'y croire et du sérieux, plus d'actions et moins bavardages pour y arriver.
En tout cas dans le cadre de leur coopération, le Sénégal et le Japon se sont engagés à cibler la formation et le perfectionnement de ressources humaines hautement qualifiées dans le domaine industriel, notamment à travers les activités du CFPT Sénégal-Japon.
Les deux gouvernements ont a reconnu l’importance de la formation professionnelle, comme un moteur du développement. Pour ce faire, l'ambassadeur japonais pense que cette formation doit répondre aux besoins de l'industrie en termes de disponibilité de ressources qualifies et bien formée, de manière proactive, souple et efficace. "Ce faisant, elle contribue fortement au développement du secteur industriel et à la création de petites et moyennes entreprises et d’emplois pour surtout pour les jeunes", a-t-il indiqué.
II reste au gouvernement sénégalais de donner une haute priorité à l’éducation et à la formation technique et professionnelle pour mettre en œuvre sa stratégie nationale d’industrialisation. C'est aussi simple que ça.
