«Parmi les chefs de ménages qui avaient un emploi avant la crise, 60% ont conservé le même emploi, 4 % ont changé d’emploi et 36% ont arrêté de travailler dont 30% pour des motifs liés à la covid-19», souligne le bulletin n°1 de l’Agence nationale de la statistique et de la démographie (Ansd) de ce mois de septembre 2020.
Selon cette note, les chefs de ménage travaillant dans les services, dans le commerce, dans l’administration publique, dans les transports et les communications, dans les mines et carrières sont particulièrement touchés par la crise de la covid-19. Les travailleurs de l’agriculture semblent beaucoup plus épargnés que leurs pairs.
Elle souligne que 85% des ménages affirment subir une baisse de leurs revenus, les revenus qui se contractent le plus étant le revenu des entreprises familiales non agricoles et les transferts privés à l’endroit des ménages.
Le bulletin précise que la phase de collecte de l’enquête à haute fréquence de suivi de l’impact de la covid-19 auprès des ménages, s’est déroulée de la période du 03 juin au 19 juillet 2020.
Selon cette note, les chefs de ménage travaillant dans les services, dans le commerce, dans l’administration publique, dans les transports et les communications, dans les mines et carrières sont particulièrement touchés par la crise de la covid-19. Les travailleurs de l’agriculture semblent beaucoup plus épargnés que leurs pairs.
Elle souligne que 85% des ménages affirment subir une baisse de leurs revenus, les revenus qui se contractent le plus étant le revenu des entreprises familiales non agricoles et les transferts privés à l’endroit des ménages.
Le bulletin précise que la phase de collecte de l’enquête à haute fréquence de suivi de l’impact de la covid-19 auprès des ménages, s’est déroulée de la période du 03 juin au 19 juillet 2020.