1/ Ainsi pourrait-on retenir qu’au Sénégal, les hommes politiques ne sont intéressés que par LA Fonction Suprême de la Présidence de la République. Ils étaient donc plus de deux cents postulants aux starting-blocks. Enorme !!! Pour un petit pays d’à peine dix-huit millions d’habitants. Cela dénote le manque de sérieux notoire de certains d’entre eux que le parrainage a fini de ramoner vite fait. Il y’a eu d’abord ceux qui, avec leur suffisance atavique avaient vu plus gros que leur nez. Mais faute d’envergure nationale pour glaner des parrains crédibles, Ils ont vite fait de déposer les armes et se sont désistés avant l’entame du processus pour aller rejoindre d’autres candidats plus crédibles en ayant compris que « Demain , c’est maintenant ». C’est aussi la fournée des illustres inconnus à tous les niveaux de la vie sénégalaise tout simplement qui pensaient que la Présidentielle c’est juste une partie de fou-rire pour grands garçons. C’est justement pourquoi on aura vu toute une faune d’amuseurs publics se porter candidat à ces joutes nationales. Mais le parrainage les a vite ramenés à la maison de la Raison.
2/ Il y’a eu aussi ceux qui, pour masquer au mieux leur «sponsorisation» par qui on sait ou faisant montre de prétentions démesurées ont tenu vaille que vaille à aller jusqu’au bout de leur logique en déposant leur dossier de candidature. Et là, sont apparues toutes les limites de leurs «compétences » que le conseil constitutionnel se chargea de leur notifier. Dossiers incomplets, parrains doublons, signatures non conformes etc..etc.. On me dira que les dés étaient pipés dès l’entame. Fort probable.
Mais qu’à cela ne tienne !!! Ils le savaient non ?
Et pour des gens qui aspiraient à devenir Président du Sénégal, il leur revenait de prendre leurs dispositions et TOUTES LEURS DISPOSITIONS pour passer entre les fourches caudines du Conseil Constitutionnel comme l’ont réussi les vingt et un admissibles validés. Quand on va à une compétition quelle qu’elle soit, dès lors qu’on connaît les règles du jeu aussi iniques soient elles et qu’on les accepte, on se prépare minutieusement par l’organisation, la méthode et les moyens pour gagner.
Pour ne l’avoir pas compris et se complaisant beaucoup plus dans le «porter presse» que de bien ceindre les armures de leurs dossiers, ils ont été laminés par le Conseil constitutionnel qui n’en demandait pas tant pour mettre à nu, les tartufferies et la grandiloquence de bon nombre d’entre eux. Malgré les slogans tonitruants, genre « Guem sa bop », «Dundu» «Lenene» , «Tekki» « Luy Jott Jotna » et tant d’autres, ils n’ont même pas été capables de monter un dossier de candidature complet, convenable et crédible. Sur ce plan, ils auront tous été fautifs. Et dire qu’ils voulaient ETRE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE !!!. Non Messieurs/ Dames plutôt que de ruer dans les brancards et d’ameuter inutilement les gens, reconnaissez vos limites et insuffisances criardes et apprenez de vos erreurs pour mieux figurer dans les challenges à venir.
3/ La période des parrainages nous a aussi fait vivre –et en direct parfois- des situations incroyables de ralliements spectaculaires d’anciens adversaires irréductibles devenus subitement des alliés inconditionnels du candidat «choisi» sur fond de reniements, d’abjuration, d’apostasie, de trahisons éhontées sans vergogne ni état d’âme qui ont fini de convaincre les sénégalais que décidément les politiciens, c’est vraiment une race entièrement A PART. On aura vu des ex-amis « rappelés», des nombreux mouvements de soutien, soutenir avec fracas et tout et tout…Certes, « ventre affamé n’a point d’oreilles » mais tout de même, la faim peut-elle justifier tous les moyens et toutes les postures ? CQFD.
4/ L’étape du parrainage aura donc été un GRAND REVELATEUR de la félonie et de la férocité des uns, de la fourberie chevillée au corps des autres, de l’inconséquence et de l’ignorance crasse de certains ou encore et surtout des egos surdimensionnés de presque tout ce petit monde de grenouillards qui pensaient que seule la fonction Suprême seyait le mieux à leur Noble pedigree. Et surtout à chacun d’eux Seul. Incapables qu’ils ont été de s’entendre sur une candidature commune pour mieux ferrailler. On aura donc Tout Vu ou presque durant cette pré-campagne qui n’est pourtant qu’un petit tour de chauffe en attendant les vraies joutes qui vont commencer avec la campagne présidentielle – la vraie- qui sera bientôt ouverte aux vingt et un vrais compétiteurs qui auront su passer le sas du conseil constitutionnel.
5/ les épisodes tragi-comiques des séances du conseil constitutionnel pour l’examen des parrainages avec les omissions volontaires ou absences injustifiées et bizarroïdes de candidats ou de parrains dûment identifiés et régulièrement électeurs et élus, dépassent le ridicule et ont mis à nu l’omnipotence du système informatique sur la Raison Humaine.
Les manipulations grossières et les omissions volontaires de candidats et de parrains orchestrés de mains de maître par les affidés du « PADRE PADRONE » ont démontré s’il en était encore besoin toute la dangerosité de la machine informatique qui offre toutes formes de tricheries, de vols et autres indélicatesses pour éliminer les candidats ciblés et indésirables avec toute la maestria requise et sans en avoir l’air.
Pour dire simplement qu’avec ces micmacs orchestrés sur le fichier électoral, il ne fait plus de doute que le système informatique est devenu la forme la plus élaborée du mensonge, du vol, de la tricherie notamment en matière électorale. Et même en toutes choses au regard des arnaques multiformes via le NET qui pullulent de nos jours.
Le débat se doit donc d’être posé de redimensionner à hauteur d’homme ce « big eye » qui risque de devenir l’arme non conventionnelle de trucage des suffrages universels à travers le monde. Déjà qu’on assiste chez un grand pays africain, un score à la soviétique pour des élections présidentielles avec douze candidats !!! La manipulation et l’orientation des données informatiques n’y sont pas à exclure. Pour ne pas dire qu’elles y sont fortement indexées.
Aussi, au risque d’assister à des élections régulièrement biaisées et entachées d’irrégularités et de manipulations grossières de données, il devient donc plus que temps de procéder à un toilettage concerté et consensuel de fond en comble du fichier électoral national, de le corriger, le compléter, le mettre à jour , le sécuriser au maximum , le publier pour le rendre accessible à TOUT citoyen, toute entité et tout organisme public.
Dans cette perspective, tout détenteur de la carte nationale d’identité doit être AUTOMATIQUEMENT enregistré dans le fichier électoral pour éviter toute entourloupe. Un préalable incontournable pour qu’à l’avenir, lors des élections de toute nature, la parole puisse véritablement revenir au peuple souverain qui saura choisir en toute transparence ses élus et son ELU. VOX POPULI VOX DEI.
Sinon, on continuera toujours à se faire tourner en bourriques par des sbires d’un « CAPO DI TUTI CAPI » qui seront prêts à toutes les sales besognes informatiques pour le Maître des céans.
Pour l’heure… ALEA JACTA ES…. Et que le meilleur pour le SENEGAL…gagne…
DIEU nous garde et garde le Sénégal …
Dakar le 10/01/2024
Guimba KONATE
DAKAR
guimba.konate@gmail.com
2/ Il y’a eu aussi ceux qui, pour masquer au mieux leur «sponsorisation» par qui on sait ou faisant montre de prétentions démesurées ont tenu vaille que vaille à aller jusqu’au bout de leur logique en déposant leur dossier de candidature. Et là, sont apparues toutes les limites de leurs «compétences » que le conseil constitutionnel se chargea de leur notifier. Dossiers incomplets, parrains doublons, signatures non conformes etc..etc.. On me dira que les dés étaient pipés dès l’entame. Fort probable.
Mais qu’à cela ne tienne !!! Ils le savaient non ?
Et pour des gens qui aspiraient à devenir Président du Sénégal, il leur revenait de prendre leurs dispositions et TOUTES LEURS DISPOSITIONS pour passer entre les fourches caudines du Conseil Constitutionnel comme l’ont réussi les vingt et un admissibles validés. Quand on va à une compétition quelle qu’elle soit, dès lors qu’on connaît les règles du jeu aussi iniques soient elles et qu’on les accepte, on se prépare minutieusement par l’organisation, la méthode et les moyens pour gagner.
Pour ne l’avoir pas compris et se complaisant beaucoup plus dans le «porter presse» que de bien ceindre les armures de leurs dossiers, ils ont été laminés par le Conseil constitutionnel qui n’en demandait pas tant pour mettre à nu, les tartufferies et la grandiloquence de bon nombre d’entre eux. Malgré les slogans tonitruants, genre « Guem sa bop », «Dundu» «Lenene» , «Tekki» « Luy Jott Jotna » et tant d’autres, ils n’ont même pas été capables de monter un dossier de candidature complet, convenable et crédible. Sur ce plan, ils auront tous été fautifs. Et dire qu’ils voulaient ETRE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE !!!. Non Messieurs/ Dames plutôt que de ruer dans les brancards et d’ameuter inutilement les gens, reconnaissez vos limites et insuffisances criardes et apprenez de vos erreurs pour mieux figurer dans les challenges à venir.
3/ La période des parrainages nous a aussi fait vivre –et en direct parfois- des situations incroyables de ralliements spectaculaires d’anciens adversaires irréductibles devenus subitement des alliés inconditionnels du candidat «choisi» sur fond de reniements, d’abjuration, d’apostasie, de trahisons éhontées sans vergogne ni état d’âme qui ont fini de convaincre les sénégalais que décidément les politiciens, c’est vraiment une race entièrement A PART. On aura vu des ex-amis « rappelés», des nombreux mouvements de soutien, soutenir avec fracas et tout et tout…Certes, « ventre affamé n’a point d’oreilles » mais tout de même, la faim peut-elle justifier tous les moyens et toutes les postures ? CQFD.
4/ L’étape du parrainage aura donc été un GRAND REVELATEUR de la félonie et de la férocité des uns, de la fourberie chevillée au corps des autres, de l’inconséquence et de l’ignorance crasse de certains ou encore et surtout des egos surdimensionnés de presque tout ce petit monde de grenouillards qui pensaient que seule la fonction Suprême seyait le mieux à leur Noble pedigree. Et surtout à chacun d’eux Seul. Incapables qu’ils ont été de s’entendre sur une candidature commune pour mieux ferrailler. On aura donc Tout Vu ou presque durant cette pré-campagne qui n’est pourtant qu’un petit tour de chauffe en attendant les vraies joutes qui vont commencer avec la campagne présidentielle – la vraie- qui sera bientôt ouverte aux vingt et un vrais compétiteurs qui auront su passer le sas du conseil constitutionnel.
5/ les épisodes tragi-comiques des séances du conseil constitutionnel pour l’examen des parrainages avec les omissions volontaires ou absences injustifiées et bizarroïdes de candidats ou de parrains dûment identifiés et régulièrement électeurs et élus, dépassent le ridicule et ont mis à nu l’omnipotence du système informatique sur la Raison Humaine.
Les manipulations grossières et les omissions volontaires de candidats et de parrains orchestrés de mains de maître par les affidés du « PADRE PADRONE » ont démontré s’il en était encore besoin toute la dangerosité de la machine informatique qui offre toutes formes de tricheries, de vols et autres indélicatesses pour éliminer les candidats ciblés et indésirables avec toute la maestria requise et sans en avoir l’air.
Pour dire simplement qu’avec ces micmacs orchestrés sur le fichier électoral, il ne fait plus de doute que le système informatique est devenu la forme la plus élaborée du mensonge, du vol, de la tricherie notamment en matière électorale. Et même en toutes choses au regard des arnaques multiformes via le NET qui pullulent de nos jours.
Le débat se doit donc d’être posé de redimensionner à hauteur d’homme ce « big eye » qui risque de devenir l’arme non conventionnelle de trucage des suffrages universels à travers le monde. Déjà qu’on assiste chez un grand pays africain, un score à la soviétique pour des élections présidentielles avec douze candidats !!! La manipulation et l’orientation des données informatiques n’y sont pas à exclure. Pour ne pas dire qu’elles y sont fortement indexées.
Aussi, au risque d’assister à des élections régulièrement biaisées et entachées d’irrégularités et de manipulations grossières de données, il devient donc plus que temps de procéder à un toilettage concerté et consensuel de fond en comble du fichier électoral national, de le corriger, le compléter, le mettre à jour , le sécuriser au maximum , le publier pour le rendre accessible à TOUT citoyen, toute entité et tout organisme public.
Dans cette perspective, tout détenteur de la carte nationale d’identité doit être AUTOMATIQUEMENT enregistré dans le fichier électoral pour éviter toute entourloupe. Un préalable incontournable pour qu’à l’avenir, lors des élections de toute nature, la parole puisse véritablement revenir au peuple souverain qui saura choisir en toute transparence ses élus et son ELU. VOX POPULI VOX DEI.
Sinon, on continuera toujours à se faire tourner en bourriques par des sbires d’un « CAPO DI TUTI CAPI » qui seront prêts à toutes les sales besognes informatiques pour le Maître des céans.
Pour l’heure… ALEA JACTA ES…. Et que le meilleur pour le SENEGAL…gagne…
DIEU nous garde et garde le Sénégal …
Dakar le 10/01/2024
Guimba KONATE
DAKAR
guimba.konate@gmail.com