Ce sont des acteurs sociaux de la Direction générale des impôts et domaines (DGID) manifestement très remontés contre les «accusations graves et calomnieuses relayées par une certaine presse à l’encontre de leur directeur général, Bassirou Samba NIASSE».
Leur forte mobilisation et spontanée suite à cette attaque, partant de l’amicale des inspecteurs et contrôleurs à la mutuelle des agents, en passant par l’amicale des chauffeurs, de l’amicale des agents d’assiettes, de l’amicale des agents du cadastre, de l’amicale des femmes et de l’amicale informaticiens, atteste leur solidarité et attachement à leur patron.
«Toutes les amicales de la DGID, sans aucune exception, marquent leur solidarité au directeur général, démentent et condamnent fermement les accusations fallacieuses et dénuées de sens», déclarent-ils dans un communiqué de presse transmis à equonet.
«A cet égard, nous, Amicales de la DGID, rappelons que la DGID remplit convenablement sa mission de service public sous le leadership incontesté de Monsieur NIASSE et par le biais d’agents dévoués et rompus à la tâche qui s’attellent toujours à doter l’Etat du Sénégal d’importants moyens d’actions. Pour preuve, la DGID occupe aujourd’hui la première ligne du Tableau des opérations financières de l’Etat (TOFE) avec la mobilisation de 67% des recettes budgétaires», poursuivent-ils.
«Face aux attaques graves et répétées portant atteinte à l’honorabilité des agents de la DGID et, maintenant de son directeur général, les Amicales réunies expriment leur profonde indignation et se réservent le droit d’ester en justice contre les auteurs et les commanditaires de telles déclarations diffamatoires. Elles mettent en garde tout auteur d’une entreprise de diabolisation des honnêtes hommes et femmes de cette haute administration dont le seul crédo est de s’inscrire dans une logique de performance perpétuelle, conformément aux orientations des autorités dépositaires de la légitimité populaire», ajoutent-ils.
«Selon cette presse habituée à construire des montagnes avec de simples taupinières, Monsieur NIASSE mènerait une «bamboula» au moment où la Direction générale des Impôts et des Domaines (DGID) ferait face à un déficit de 200 milliards», constatent-ils tout en déplorant ce qu’ils qualifient «d’accusations graves et calomnieuses relayées par une certaine presse à l’encontre de ce dernier».
«Ces allégations fausses et regrettables, dont l’unique but est de ternir l’image de la plus haute autorité de la DGID et de jeter le discrédit sur son personnel, constituent une atteinte grave et dangereuse que nous, acteurs sociaux de l’institution, ne souhaitons laisser impunies», menacent-ils. «En effet, après de multiples attaques gratuites et mensongères contre des agents de la DGID, avec la complicité d’une certaine presse caractérisée par son défaut de professionnalisme et de vertu, ces spécialistes des contrevérités et des manigances viennent d’atteindre le paroxysme de la tentative de manipulation de l’opinion et des autorités publiques en commanditant, sans bonne manière, un article chimérique tendant à saper les nombreux efforts consentis par le directeur général, Bassirou Samba NIASSE au sein de l’Administration fiscale», avancent-ils.
«Qui mieux que nous, acteurs sociaux de la DGID, pourrait juger de la compétence, de la probité, de la bonne moralité et de la gestion transparente et inclusive du Directeur général ?», s’interrogent-ils. Pour ces acteurs sociaux, ce sont là les seuls torts de Monsieur NIASSE qui dérangent naturellement les adeptes du complot, de la conspiration, de la «bamboula».
«Il s’est toujours inscrit, notamment à travers le Programme YAATAL, dans une dynamique d’accroissement des recettes fiscales, en insufflant à tout son personnel le culte du résultat et les règles de déontologie, d’éthique et d’orthodoxie administrative», défendent-ils.
«Nous les mettons en garde, leurs efforts resteront vains. La lâcheté avec laquelle ils évoquent la vie privée du directeur général, la manipulation des chiffres relatifs aux recettes de la DGID dans le but de démontrer un supposé déficit avec des termes inexperts, le mensonge sur son absence du territoire national n’y feront rien. La volonté de nuire un honnête citoyen, fonctionnaire modèle de surcroit est manifeste», lancent-ils.
Quelle riposte musclée.
Leur forte mobilisation et spontanée suite à cette attaque, partant de l’amicale des inspecteurs et contrôleurs à la mutuelle des agents, en passant par l’amicale des chauffeurs, de l’amicale des agents d’assiettes, de l’amicale des agents du cadastre, de l’amicale des femmes et de l’amicale informaticiens, atteste leur solidarité et attachement à leur patron.
«Toutes les amicales de la DGID, sans aucune exception, marquent leur solidarité au directeur général, démentent et condamnent fermement les accusations fallacieuses et dénuées de sens», déclarent-ils dans un communiqué de presse transmis à equonet.
«A cet égard, nous, Amicales de la DGID, rappelons que la DGID remplit convenablement sa mission de service public sous le leadership incontesté de Monsieur NIASSE et par le biais d’agents dévoués et rompus à la tâche qui s’attellent toujours à doter l’Etat du Sénégal d’importants moyens d’actions. Pour preuve, la DGID occupe aujourd’hui la première ligne du Tableau des opérations financières de l’Etat (TOFE) avec la mobilisation de 67% des recettes budgétaires», poursuivent-ils.
«Face aux attaques graves et répétées portant atteinte à l’honorabilité des agents de la DGID et, maintenant de son directeur général, les Amicales réunies expriment leur profonde indignation et se réservent le droit d’ester en justice contre les auteurs et les commanditaires de telles déclarations diffamatoires. Elles mettent en garde tout auteur d’une entreprise de diabolisation des honnêtes hommes et femmes de cette haute administration dont le seul crédo est de s’inscrire dans une logique de performance perpétuelle, conformément aux orientations des autorités dépositaires de la légitimité populaire», ajoutent-ils.
«Selon cette presse habituée à construire des montagnes avec de simples taupinières, Monsieur NIASSE mènerait une «bamboula» au moment où la Direction générale des Impôts et des Domaines (DGID) ferait face à un déficit de 200 milliards», constatent-ils tout en déplorant ce qu’ils qualifient «d’accusations graves et calomnieuses relayées par une certaine presse à l’encontre de ce dernier».
«Ces allégations fausses et regrettables, dont l’unique but est de ternir l’image de la plus haute autorité de la DGID et de jeter le discrédit sur son personnel, constituent une atteinte grave et dangereuse que nous, acteurs sociaux de l’institution, ne souhaitons laisser impunies», menacent-ils. «En effet, après de multiples attaques gratuites et mensongères contre des agents de la DGID, avec la complicité d’une certaine presse caractérisée par son défaut de professionnalisme et de vertu, ces spécialistes des contrevérités et des manigances viennent d’atteindre le paroxysme de la tentative de manipulation de l’opinion et des autorités publiques en commanditant, sans bonne manière, un article chimérique tendant à saper les nombreux efforts consentis par le directeur général, Bassirou Samba NIASSE au sein de l’Administration fiscale», avancent-ils.
«Qui mieux que nous, acteurs sociaux de la DGID, pourrait juger de la compétence, de la probité, de la bonne moralité et de la gestion transparente et inclusive du Directeur général ?», s’interrogent-ils. Pour ces acteurs sociaux, ce sont là les seuls torts de Monsieur NIASSE qui dérangent naturellement les adeptes du complot, de la conspiration, de la «bamboula».
«Il s’est toujours inscrit, notamment à travers le Programme YAATAL, dans une dynamique d’accroissement des recettes fiscales, en insufflant à tout son personnel le culte du résultat et les règles de déontologie, d’éthique et d’orthodoxie administrative», défendent-ils.
«Nous les mettons en garde, leurs efforts resteront vains. La lâcheté avec laquelle ils évoquent la vie privée du directeur général, la manipulation des chiffres relatifs aux recettes de la DGID dans le but de démontrer un supposé déficit avec des termes inexperts, le mensonge sur son absence du territoire national n’y feront rien. La volonté de nuire un honnête citoyen, fonctionnaire modèle de surcroit est manifeste», lancent-ils.
Quelle riposte musclée.