Le nombre de points de service est évalué à 4.390, soit une progression de 5,1% par rapport à fin décembre 2017. L'examen des indicateurs d'intermédiation des SFD de l'Union laisse apparaître une évolution relativement opportun à l'inclusion financière, malgré un taux brut de dégradation du portefeuille qui s'est inscrit en hausse, ressortant à 7,2% contre 6,1% à fin décembre 2017, pour une norme généralement admise de 3% dans le secteur.
Sur la période sous revue, le montant des dépôts collectés s'est fixé à 1.301,4 milliards de FCFA contre 1.149,4 milliards de FCFA une année plus tôt, soit une augmentation de 13,2%. Cette progression est enregistrée au Togo (+24,8%), au Mali (+23,4%), au Niger (+20,5%), au Sénégal (+14,8%), au Burkina (+10,4%), au Bénin (+6,0%) et en Côte d'Ivoire (+5,9%).
Cependant, une baisse a été observée en Guinée-Bissau (-43,0%). Le montant moyen de l'épargne par client s'est établi à 91.069 FCFA à fin décembre 2018 contre 92.158 FCFA à fin décembre 2017. Pour l'ensemble des SFD de l'UMOA, l'épargne recueillie représente 5,3% de la totalité des dépôts détenus par les établissements de crédit3 de l'Union contre 5,1% un an plus tôt.
S'agissant de l'encours des crédits des SFD de l'Union, il s'est accru de 18,2% par rapport à son niveau à fin décembre 2017, pour ressortir à 1.414,7 milliards de FCFA. Cette hausse a été relevée au Bénin (+34,1%), au Togo (+24,8%), au Burkina (+21,1%), au Mali (+20,2%), en Côte d'Ivoire (+17,0%) et au Sénégal (+11,6%). En revanche, la Guinée-Bissau et le Niger ont connu respectivement des baisses de l'ordre de 26,2% et de 3,2%.
L'encours moyen des financements par bénéficiaire a augmenté, en ressortant à 98.994 FCFA à fin décembre 2018 contre 95.994 FCFA une année auparavant.
Pour l'ensemble du secteur, l'encours des crédits représente 6,8% des créances consenties par les établissements de crédit4 de l'Union contre 6,3% à fin décembre 2017.
Quant aux SFD en difficulté, neuf institutions de microfinance étaient sous administration provisoire dont deux au Bénin, deux au Niger, deux au Togo, une en Côte d'Ivoire, une au Mali et une au Sénégal à fin décembre 2018.
Sur la période sous revue, le montant des dépôts collectés s'est fixé à 1.301,4 milliards de FCFA contre 1.149,4 milliards de FCFA une année plus tôt, soit une augmentation de 13,2%. Cette progression est enregistrée au Togo (+24,8%), au Mali (+23,4%), au Niger (+20,5%), au Sénégal (+14,8%), au Burkina (+10,4%), au Bénin (+6,0%) et en Côte d'Ivoire (+5,9%).
Cependant, une baisse a été observée en Guinée-Bissau (-43,0%). Le montant moyen de l'épargne par client s'est établi à 91.069 FCFA à fin décembre 2018 contre 92.158 FCFA à fin décembre 2017. Pour l'ensemble des SFD de l'UMOA, l'épargne recueillie représente 5,3% de la totalité des dépôts détenus par les établissements de crédit3 de l'Union contre 5,1% un an plus tôt.
S'agissant de l'encours des crédits des SFD de l'Union, il s'est accru de 18,2% par rapport à son niveau à fin décembre 2017, pour ressortir à 1.414,7 milliards de FCFA. Cette hausse a été relevée au Bénin (+34,1%), au Togo (+24,8%), au Burkina (+21,1%), au Mali (+20,2%), en Côte d'Ivoire (+17,0%) et au Sénégal (+11,6%). En revanche, la Guinée-Bissau et le Niger ont connu respectivement des baisses de l'ordre de 26,2% et de 3,2%.
L'encours moyen des financements par bénéficiaire a augmenté, en ressortant à 98.994 FCFA à fin décembre 2018 contre 95.994 FCFA une année auparavant.
Pour l'ensemble du secteur, l'encours des crédits représente 6,8% des créances consenties par les établissements de crédit4 de l'Union contre 6,3% à fin décembre 2017.
Quant aux SFD en difficulté, neuf institutions de microfinance étaient sous administration provisoire dont deux au Bénin, deux au Niger, deux au Togo, une en Côte d'Ivoire, une au Mali et une au Sénégal à fin décembre 2018.