Selon le texte, le taux de croissance du produit intérieur brut (PIB) réel s'est en effet élevé à 6,7 pour cent, en glissement annuel, après 6,5 pour cet un trimestre plus tôt. Le PIB de l'Union est attendu en hausse de 6,6 pour cent en 2018, comme en 2017, en lien principalement avec le dynamisme du secteur des services ainsi que des activités commerciales et industrielles.
Le Conseil a noté une légère accélération des prix, liée au renchérissement des produits alimentaires. En outre, les ajustements à la hausse des prix des carburants, en lien avec l'augmentation des cours du baril de pétrole sur les marchés internationaux, ont pesé sur l'orientation haussière de l'inflation. En glissement annuel, le taux d'inflation est ressorti à 0,9 pour cent au troisième trimestre 2018 après 0,7 pour cent le trimestre précédent.
D’après le communiqué, les ministres ont également relevé que l'exécution des budgets des Etats se solderait par une atténuation du déficit global, base engagements, dons compris, qui se situerait à 3,8 pour cent du PIB en 2018 après 4,3 pour cent en 2017.
Quant au déficit du solde des transactions courantes, il baisserait de 0,2 point de pourcentage, en passant de 6,6 pour cent du PIB en 2017 à 6,4 pour cent en 2018. «En outre, en raison de la consolidation des entrées nettes de capitaux, les échanges extérieurs des pays de l'UEMOA se solderaient par un excédent global de 909,5 milliards après 304,1 milliards en 2017», souligne le texte.
«Pour conforter les performances économiques de l'Union, dans un contexte mondial d'aggravation des tensions commerciales, les Etats devront poursuivre les mesures visant le renforcement durable des bases de la production et des moteurs de la croissance économique, la consolidation de l'espace budgétaire ainsi que le maintien d'un climat sociopolitique et sécuritaire apaisé», indique-t-il.
Par ailleurs, le communiqué informe de l’approbation par les ministres de la nomination du représentant de la République du Sénégal au sein du Comité de Stabilité Financière dans l'Union monétaire ouest africaine (UMOA).
Le Conseil a noté une légère accélération des prix, liée au renchérissement des produits alimentaires. En outre, les ajustements à la hausse des prix des carburants, en lien avec l'augmentation des cours du baril de pétrole sur les marchés internationaux, ont pesé sur l'orientation haussière de l'inflation. En glissement annuel, le taux d'inflation est ressorti à 0,9 pour cent au troisième trimestre 2018 après 0,7 pour cent le trimestre précédent.
D’après le communiqué, les ministres ont également relevé que l'exécution des budgets des Etats se solderait par une atténuation du déficit global, base engagements, dons compris, qui se situerait à 3,8 pour cent du PIB en 2018 après 4,3 pour cent en 2017.
Quant au déficit du solde des transactions courantes, il baisserait de 0,2 point de pourcentage, en passant de 6,6 pour cent du PIB en 2017 à 6,4 pour cent en 2018. «En outre, en raison de la consolidation des entrées nettes de capitaux, les échanges extérieurs des pays de l'UEMOA se solderaient par un excédent global de 909,5 milliards après 304,1 milliards en 2017», souligne le texte.
«Pour conforter les performances économiques de l'Union, dans un contexte mondial d'aggravation des tensions commerciales, les Etats devront poursuivre les mesures visant le renforcement durable des bases de la production et des moteurs de la croissance économique, la consolidation de l'espace budgétaire ainsi que le maintien d'un climat sociopolitique et sécuritaire apaisé», indique-t-il.
Par ailleurs, le communiqué informe de l’approbation par les ministres de la nomination du représentant de la République du Sénégal au sein du Comité de Stabilité Financière dans l'Union monétaire ouest africaine (UMOA).