C’est un constat. Le Sénégal ne figure pas dans la liste des onze pays d’Afrique qui se sont engagés lors du sommet de Janvier 2015 pour l’établissement effectif du marché unique du transport aérien en Afrique (Mutaa) en 2017.
Selon nos informations, les onze pays volontaires pour l’effectivité d’un Mutaa sont composés du Bénin, du Cap-Vert, du Congo, de la Côte d’Ivoire, de l’Egypte, de l’Ethiopie, du Kenya, du Nigéria, du Rwanda, de l’Afrique du Sud et du Zimbabwe. Deux se sont ajoutés à cette liste cette année. Il s’agit du Ghana et de la Sierra Leone.
L’établissement d’un Mutaa entre dans le cadre de la décision de Yamoussoukro sur la libéralisation des marchés du transport aérien adoptée par les ministres africains des transports en 1999. Les chefs d’Etat et de gouvernement l’ont endossé lors du sommet de Lomé, en juillet 2000. La décision porte essentiellement sur la libéralisation du transport aérien en Afrique
La mise en œuvre totale de la décision de Yamoussoukro fait partie du Plan d’action prioritaire (Pap) du Programme de développement des infrastructures en Afrique (Pida).
L’Agenda 2063 de l’Union africaine (Ua) prend en compte cette importante décision de Yamoussoukro en perspective de l’établissement effectif d’un Marché unique du transport aérien en Afrique (Mutaa).
Les bénéfices substantiels de la décision de Yamoussoukro
En 2014, l’Association Internationale du transport aérien (Iata) a réalisé une étude d’impacts socioéconomiques de la décision de Yamoussoukro.
Cette étude a mis en relief les bénéfices substantiels. Les 12 pays de l’échantillon (Algérie, Angola, Egypte, Ethiopie, Ghana Kenya, Namibie, Nigeria, Sénégal, Afrique du Sud, Tunisie Ouganda) ont révélé les effets suivants:
Selon nos informations, les onze pays volontaires pour l’effectivité d’un Mutaa sont composés du Bénin, du Cap-Vert, du Congo, de la Côte d’Ivoire, de l’Egypte, de l’Ethiopie, du Kenya, du Nigéria, du Rwanda, de l’Afrique du Sud et du Zimbabwe. Deux se sont ajoutés à cette liste cette année. Il s’agit du Ghana et de la Sierra Leone.
L’établissement d’un Mutaa entre dans le cadre de la décision de Yamoussoukro sur la libéralisation des marchés du transport aérien adoptée par les ministres africains des transports en 1999. Les chefs d’Etat et de gouvernement l’ont endossé lors du sommet de Lomé, en juillet 2000. La décision porte essentiellement sur la libéralisation du transport aérien en Afrique
La mise en œuvre totale de la décision de Yamoussoukro fait partie du Plan d’action prioritaire (Pap) du Programme de développement des infrastructures en Afrique (Pida).
L’Agenda 2063 de l’Union africaine (Ua) prend en compte cette importante décision de Yamoussoukro en perspective de l’établissement effectif d’un Marché unique du transport aérien en Afrique (Mutaa).
Les bénéfices substantiels de la décision de Yamoussoukro
En 2014, l’Association Internationale du transport aérien (Iata) a réalisé une étude d’impacts socioéconomiques de la décision de Yamoussoukro.
Cette étude a mis en relief les bénéfices substantiels. Les 12 pays de l’échantillon (Algérie, Angola, Egypte, Ethiopie, Ghana Kenya, Namibie, Nigeria, Sénégal, Afrique du Sud, Tunisie Ouganda) ont révélé les effets suivants:
- les services additionnels générés par la libéralisation entre seulement ces 12 pays produiront 155.000 emplois supplémentaires et une création de richesses d’environ 1.300 milliards de dollars dans leur produit intérieur brut (Pib) ;
- un potentiel de cinq (5) millions de passagers par an voyagera par avion.