Nouveau siège Sonatel
La Société nationale des télécommunications du Sénégal (Sonatel) rassure ses clients quant à la continuité de ses services. «Sonatel assure à ses clients qu’elle a pris toutes les dispositions pour limiter les désagréments éventuels qu’ils pourraient subir», souligne la direction générale dans un communiqué transmis hier à ecofinance.sn.
Cette assurance intervient à la suite d’une durée de 48 heures déclenchée jeudi par les partenaires sociaux. «Malgré l’ouverture de la direction générale, les partenaires sociaux ont décidé d’une rupture unilatérale du dialogue en déclenchant une grève d’une durée de 48 heures à compter de ce jeudi 18 février 2016», note-t-il.
Les grévistes protestent contre le projet de mutualisation des équipements de supervision. Une démarche que Sonatel explique par une exigence de mutation du secteur.
«La démarche de ce projet de transformation répond à une tendance lourde du secteur des télécommunications en Afrique, qui voit la plupart des opérateurs mutualisé la supervision de leur réseau», indique le communiqué.
Selon le texte, ce projet comporte des retombées intéressantes pour le Sénégal et pour le groupe Sonatel. Parmi celles-ci, le communiqué cite, entre autres, la création d’emplois, ma montée rapide en compétence, la compétitivité de Sonatel.
Sonatel rassure aussi quant à sa décision de ne céder aucune infrastructure dans la mise en œuvre de ce projet.
Elle annonce aussi des mesures complémentaires prises avec l’acceptation du partenaire Huawei qui leur accompagne dans le cadre du Bot pour une meilleure maitrise des outils et process.
Sonatel signale également qu’aucun plan social n’a été envisagé dans la mise en œuvre de ce projet.
Cette assurance intervient à la suite d’une durée de 48 heures déclenchée jeudi par les partenaires sociaux. «Malgré l’ouverture de la direction générale, les partenaires sociaux ont décidé d’une rupture unilatérale du dialogue en déclenchant une grève d’une durée de 48 heures à compter de ce jeudi 18 février 2016», note-t-il.
Les grévistes protestent contre le projet de mutualisation des équipements de supervision. Une démarche que Sonatel explique par une exigence de mutation du secteur.
«La démarche de ce projet de transformation répond à une tendance lourde du secteur des télécommunications en Afrique, qui voit la plupart des opérateurs mutualisé la supervision de leur réseau», indique le communiqué.
Selon le texte, ce projet comporte des retombées intéressantes pour le Sénégal et pour le groupe Sonatel. Parmi celles-ci, le communiqué cite, entre autres, la création d’emplois, ma montée rapide en compétence, la compétitivité de Sonatel.
Sonatel rassure aussi quant à sa décision de ne céder aucune infrastructure dans la mise en œuvre de ce projet.
Elle annonce aussi des mesures complémentaires prises avec l’acceptation du partenaire Huawei qui leur accompagne dans le cadre du Bot pour une meilleure maitrise des outils et process.
Sonatel signale également qu’aucun plan social n’a été envisagé dans la mise en œuvre de ce projet.