Mi-juin, l’Autorité de régulation des télécommunications et des postes (ARTP) annoncait une sanction financière de 13 milliards 959 millions de francs CFA, contre la Société nationale des télécommunications (SONATEL).
Elle accuse l’opérateur historique de violation du décret n°2014-770 du 14 juin 2014 précisant certaines obligations quant aux droits à l’information des consommateurs, expliquait son directeur général de l’ARTP, Abdou Karim Sall.
Devant les attaques suscitées par cette décision, l’Amicale des cadres de l’ARTP (ACA) est montée au créneau pour en appeler à la retenue et au sens des responsabilités.
Dans un communiqué de presse, l’ACA explique que c’est «par voie de presse», que se font ces attaques «dirigées vers l’ARTP et ses autorités, par certaines associations corporatistes» de la Sonatel.
«A cet égard, l’ACA rappelle que le Sénégal est un pays de droit et que chaque citoyen a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal impartial établi par la loi, qui décidera du bien fondé de ses prétentions.»
Selon elle, «en vertu de l’article 149 de la loi n° 2011-01 du 24 février 2011 portant Code des Télécommunications, +les décisions de l’ARTP peuvent faire l’objet de recours devant la haute juridiction administrative nonobstant un recours gracieux préalable+».
«En conséquence, si argument il y a à faire prévaloir, voies ne sauraient être plus honorables et plus dignes de la citoyenneté proclamée que celles qui sont prévues par la réglementation en vigueur, dans le respect de la liberté et des prérogatives de chaque partie».
L’ACA invite ainsi les auteurs des attaques à s’inscrire dans cette démarche citoyenne.
Enfin, l’ACA estime qu’une amicale des cadres doit exclusivement s’inscrire dans le débat d’idées, a priori contradictoire, et la proposition de solutions.
Par conséquent, l’ACA en appelle à la retenue et au sens des responsabilités
Elle accuse l’opérateur historique de violation du décret n°2014-770 du 14 juin 2014 précisant certaines obligations quant aux droits à l’information des consommateurs, expliquait son directeur général de l’ARTP, Abdou Karim Sall.
Devant les attaques suscitées par cette décision, l’Amicale des cadres de l’ARTP (ACA) est montée au créneau pour en appeler à la retenue et au sens des responsabilités.
Dans un communiqué de presse, l’ACA explique que c’est «par voie de presse», que se font ces attaques «dirigées vers l’ARTP et ses autorités, par certaines associations corporatistes» de la Sonatel.
«A cet égard, l’ACA rappelle que le Sénégal est un pays de droit et que chaque citoyen a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal impartial établi par la loi, qui décidera du bien fondé de ses prétentions.»
Selon elle, «en vertu de l’article 149 de la loi n° 2011-01 du 24 février 2011 portant Code des Télécommunications, +les décisions de l’ARTP peuvent faire l’objet de recours devant la haute juridiction administrative nonobstant un recours gracieux préalable+».
«En conséquence, si argument il y a à faire prévaloir, voies ne sauraient être plus honorables et plus dignes de la citoyenneté proclamée que celles qui sont prévues par la réglementation en vigueur, dans le respect de la liberté et des prérogatives de chaque partie».
L’ACA invite ainsi les auteurs des attaques à s’inscrire dans cette démarche citoyenne.
Enfin, l’ACA estime qu’une amicale des cadres doit exclusivement s’inscrire dans le débat d’idées, a priori contradictoire, et la proposition de solutions.
Par conséquent, l’ACA en appelle à la retenue et au sens des responsabilités