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Dakar sera le point de rencontre des experts de la cybersécurité de l’Afrique de l’Ouest, les 12 et 13 avril. Le ministère des Postes et des Télécommunications, l’ambassade des Pays Bas à Dakar et l’Onudc ont annoncé aujourd’hui à Dakar lors d’une conférence de presse, une rencontre régionale pour étudier une stratégie commune de lutte contre ce mal.
«Le cyberespace fournit de nombreuses opportunités de développement économique et social dans le monde entier et une opportunité de s’exprimer librement. Cependant, les technologies d’information et de communication (Tic) peuvent également être utilisés comme plateforme par des cybercriminels», a souligné l’ambassadeur des Pays Bas au Sénégal, Théo Peters.
Pour le représentant régional de l’Onudc, Pierre Lapaque, «il devient de plus en plus nécessaire de mettre en œuvre une approche compréhensive pouvant permettre l’adéquation des cadres juridiques et la prévention des abus à intentions criminelles sur internet».
Le Directeur de cabinet du ministre des Postes et des Télécommunications, Malick Ndiaye mise sur la collaboration entre les services compétents et la coopération internationale.
«Pour le Sénégal, le ministère des Postes et des Télécommunications et les Pays-Bas ont mené en janvier une évaluation des capacités de cybersécurité au Sénégal, en coopération avec l’université d’Oxford», a informé M Peters.
Les résultats de cette étude seront présentés à la réunion des experts. Toutefois, le diplomate a partagé une des recommandations les plus importantes : «la nécessité de la mise en place d’une stratégie nationale et inclusive en matière de cybersécurité, comme cadre pour de futures activités». Les Pays Bas vont fournir une assistance technique dans la réalisation de cet objectif.
Deux cent personnes sont attendues à cette réunion. Pour Malick Ndiaye, il s’agira de partager des pratiques nationales et régionales, du renforcement des capacités, de la sensibilisation et de l’intégration de la cybersécurité dans les politiques nationales.
Les trois intervenants sont en accord sur les objectifs à atteindre à savoir identifier les priorités dans cette lutte contre la cybercriminalité en Afrique de l’Ouest, examiner les enjeux et élaborer des politiques et programmes de sensibilisation.
«Le cyberespace fournit de nombreuses opportunités de développement économique et social dans le monde entier et une opportunité de s’exprimer librement. Cependant, les technologies d’information et de communication (Tic) peuvent également être utilisés comme plateforme par des cybercriminels», a souligné l’ambassadeur des Pays Bas au Sénégal, Théo Peters.
Pour le représentant régional de l’Onudc, Pierre Lapaque, «il devient de plus en plus nécessaire de mettre en œuvre une approche compréhensive pouvant permettre l’adéquation des cadres juridiques et la prévention des abus à intentions criminelles sur internet».
Le Directeur de cabinet du ministre des Postes et des Télécommunications, Malick Ndiaye mise sur la collaboration entre les services compétents et la coopération internationale.
«Pour le Sénégal, le ministère des Postes et des Télécommunications et les Pays-Bas ont mené en janvier une évaluation des capacités de cybersécurité au Sénégal, en coopération avec l’université d’Oxford», a informé M Peters.
Les résultats de cette étude seront présentés à la réunion des experts. Toutefois, le diplomate a partagé une des recommandations les plus importantes : «la nécessité de la mise en place d’une stratégie nationale et inclusive en matière de cybersécurité, comme cadre pour de futures activités». Les Pays Bas vont fournir une assistance technique dans la réalisation de cet objectif.
Deux cent personnes sont attendues à cette réunion. Pour Malick Ndiaye, il s’agira de partager des pratiques nationales et régionales, du renforcement des capacités, de la sensibilisation et de l’intégration de la cybersécurité dans les politiques nationales.
Les trois intervenants sont en accord sur les objectifs à atteindre à savoir identifier les priorités dans cette lutte contre la cybercriminalité en Afrique de l’Ouest, examiner les enjeux et élaborer des politiques et programmes de sensibilisation.
