La Can 2016 est désormais au coeur de tous les sujets dans la majorité des cités camerounaises. Pas un pas, pas une rue ou encore un quartier de la ville de Douala sans entendre des jeunes discuter de l’organisation de la Can féminine qui aura lieu cette année au pays des Lions Indomptables.
Les sujets tournent plus autour des enjeux tels que la disponibilité des stades et l’aménagement des routes. Personne ne semble porter une attention particulière au secteur hôtelier pourtant considéré comme un facteur clé de succès de cette compétition sportive.
Quelle place occupera l’hôtellerie dans l’organisation de cette énième compétition en terre africaine? Un coup de balai ne fera-t-il pas plaisir à ce secteur tant important pour un pays en développement comme le Cameroun?
Les experts affirment avec véhémence que la réussite de l’organisation de la Can féminine au Cameroun passe en grande partie par un réaménagement du secteur hôtelier. Et pour cause, ce sont ces dispositifs hôteliersqui accueilleront l’ensemble des délégations qui feront le déplacement.
“Nous avons l’obligation de regarder de très près ce secteur parce qu’il fait partie des secteurs qui joueront un rôle majeur dans cette fête sportive. Il y a d’énormes avancées déjà visibles mais il faudrait encore faire plus d’efforts afin que nous soyons définitivement prêts” déclarait un psychologue rencontré à Yaoundé.
Il est donc important de remettre un coup de pinceau dans ce secteur qui selon les dires sera au coeur de la réussite de cette première compétition en terre camerounaise. Les aménagements passent aussi bien au niveau de l’accueil des visiteurs, du confort des clients, que de la sécurité autour des établissements hôteliers.
Si on s’en tient à l’hospitality report, le document établi et présenté à la presse au début de l’année 2016 par les responsables de Jovago.com, le secteur hôtelier contribue encore peu au Pib national et par conséquent, nécessite un coup de pouce pour être davantage compétitif. Ce rapport souligne que c’est un secteur en plein essor et qui a déjà trouvé ses marques dans des pays moins touristiques que le Cameroun.
Les sujets tournent plus autour des enjeux tels que la disponibilité des stades et l’aménagement des routes. Personne ne semble porter une attention particulière au secteur hôtelier pourtant considéré comme un facteur clé de succès de cette compétition sportive.
Quelle place occupera l’hôtellerie dans l’organisation de cette énième compétition en terre africaine? Un coup de balai ne fera-t-il pas plaisir à ce secteur tant important pour un pays en développement comme le Cameroun?
Les experts affirment avec véhémence que la réussite de l’organisation de la Can féminine au Cameroun passe en grande partie par un réaménagement du secteur hôtelier. Et pour cause, ce sont ces dispositifs hôteliersqui accueilleront l’ensemble des délégations qui feront le déplacement.
“Nous avons l’obligation de regarder de très près ce secteur parce qu’il fait partie des secteurs qui joueront un rôle majeur dans cette fête sportive. Il y a d’énormes avancées déjà visibles mais il faudrait encore faire plus d’efforts afin que nous soyons définitivement prêts” déclarait un psychologue rencontré à Yaoundé.
Il est donc important de remettre un coup de pinceau dans ce secteur qui selon les dires sera au coeur de la réussite de cette première compétition en terre camerounaise. Les aménagements passent aussi bien au niveau de l’accueil des visiteurs, du confort des clients, que de la sécurité autour des établissements hôteliers.
Si on s’en tient à l’hospitality report, le document établi et présenté à la presse au début de l’année 2016 par les responsables de Jovago.com, le secteur hôtelier contribue encore peu au Pib national et par conséquent, nécessite un coup de pouce pour être davantage compétitif. Ce rapport souligne que c’est un secteur en plein essor et qui a déjà trouvé ses marques dans des pays moins touristiques que le Cameroun.