Selon le rapport de la Banque centrale, les cas de fraude se sont établis à 26 162 pour une valeur de 473,67 millions de francs CFA au premier semestre 2021 contre 29 3301 fraudes évaluées à 1,041 milliard de francs CFA à fin décembre 2020, soit une baisse de 10,80 pour cent et de 54,53 pour cent respectivement en volume et en valeur.
Le document explique cette situation notamment par les actions de sensibilisation menées par les émetteurs à l'endroit de leurs clients et les mesures de répression prises à l'égard des fraudeurs.
Les cas de fraude listés dans le rapport sont essentiellement liés à l’ingénierie sociale, en particulier :
● “l’arnaque” client via le P2P (transfert de particulier à particulier) ;
● “l’arnaque” client par le point de vente via le retrait à distance ;
● “l’arnaque” client via un dépôt pour tiers ;
● les rechargements de crédit téléphonique ;
● le fractionnement des paiements marchands ;
● la fraude sur les comptes de distributeurs.
Le rapport souligne que les émetteurs de monnaie électronique poursuivent les actions de sensibilisation et de lutte contre la fraude afin de préserver la confiance des usagers et renforcer la protection de leurs fonds.
Sur ce dernier point, il met en évidence les principales mesures prises que sont :
● la poursuite des campagnes de communication et de sensibilisation (diffusion de SMS, spots publicitaires, etc.) à l'endroit du grand public par rapport à la protection des comptes de monnaie électronique et aux différentes formes d'arnaques ;
● la mise en place d'un modèle de détection des fraudes ;
● la revue du parcours client afin de renforcer les contrôles ;
● les dépôts de plaintes auprès des autorités publiques compétentes ;
● la diffusion de notes d'information aux distributeurs en vue de les sensibiliser sur les dispositifs de maîtrise des risques ;
● la suspension ou l'avertissement des distributeurs impliqués dans les cas de fraude.
Le rapport signale que l’appréciation de la sécurisation des opérations repose généralement sur l’analyse des incidents, de la fraude et des dispositifs de prévention et de lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme. Au titre du premier semestre 2021, les seules données remontées concernent la fraude.
Le document explique cette situation notamment par les actions de sensibilisation menées par les émetteurs à l'endroit de leurs clients et les mesures de répression prises à l'égard des fraudeurs.
Les cas de fraude listés dans le rapport sont essentiellement liés à l’ingénierie sociale, en particulier :
● “l’arnaque” client via le P2P (transfert de particulier à particulier) ;
● “l’arnaque” client par le point de vente via le retrait à distance ;
● “l’arnaque” client via un dépôt pour tiers ;
● les rechargements de crédit téléphonique ;
● le fractionnement des paiements marchands ;
● la fraude sur les comptes de distributeurs.
Le rapport souligne que les émetteurs de monnaie électronique poursuivent les actions de sensibilisation et de lutte contre la fraude afin de préserver la confiance des usagers et renforcer la protection de leurs fonds.
Sur ce dernier point, il met en évidence les principales mesures prises que sont :
● la poursuite des campagnes de communication et de sensibilisation (diffusion de SMS, spots publicitaires, etc.) à l'endroit du grand public par rapport à la protection des comptes de monnaie électronique et aux différentes formes d'arnaques ;
● la mise en place d'un modèle de détection des fraudes ;
● la revue du parcours client afin de renforcer les contrôles ;
● les dépôts de plaintes auprès des autorités publiques compétentes ;
● la diffusion de notes d'information aux distributeurs en vue de les sensibiliser sur les dispositifs de maîtrise des risques ;
● la suspension ou l'avertissement des distributeurs impliqués dans les cas de fraude.
Le rapport signale que l’appréciation de la sécurisation des opérations repose généralement sur l’analyse des incidents, de la fraude et des dispositifs de prévention et de lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme. Au titre du premier semestre 2021, les seules données remontées concernent la fraude.