L’appui financier de la Banque africaine de développement (Bad) se compose d’un prêt de 2,74 millions de dollars du Fonds africain de développement et un don de 12 millions de dollars du Programme mondial pour l’agriculture et la sécurité alimentaire (GASFP).
Selon un communiqué de presse transmis à equonet, le Conseil d’administration de la Bad a approuvé, mardi 10 novembre 2020 à Abidjan, une enveloppe financière de 14,74 millions de dollars américains pour la mise en œuvre du projet.
Le PREMOPEF couvrira les trois départements de la région du N’zi, à savoir Dimbokro, Bocanda et Kouassi-Kouassikro et touchera directement 62 villages de la région. Le projet doit contribuer à réduire la vulnérabilité économique des ménages et à améliorer plus largement leur résilience aux chocs économiques. Pour ce faire, il facilitera l’accès des petits exploitants, notamment des femmes et des jeunes, aux biens et aux services, permettant d’accroître la productivité, la production et les revenus, tout en assurant leur inclusion dans les chaînes de valeur.
Le projet sera mis en œuvre dans les filières de production d’igname, de manioc, du maraîchage et de la volaille traditionnelle. Il prévoit notamment un aménagement de périmètres maraîchers en faveur de 1 350 petits exploitants sur cent hectares comprenant les travaux de réhabilitation de huit barrages, d’ouvrage de captage d’eau du fleuve N’zi et d’un lac, la réalisation de dix stations de pompage sur les barrages, la mise en place des systèmes d’irrigation (semi-californien sur 70 hectares et du système goutte-à-goutte sur 30 hectares). En terme d’appui, les petites entreprises agricoles portées par les jeunes et les femmes, au nombre d’une centaine, seront dotées d’équipements et de matériels pour le transport de produits, de prestations de services de mécanisation, y compris la promotion de technologies de récolte du manioc.
Le PREMOPEF touchera directement 60 000 personnes, représentant 25% de la population de la région du N’zi, dont 50% de femmes et 35% de jeunes. Avec les interventions du projet, la production additionnelle annuelle attendue est estimée à 522 tonnes de légumes, 4 500 tonnes de manioc, 3 750 tonnes d’igname et 1,5 million de têtes de volaille.
Selon un communiqué de presse transmis à equonet, le Conseil d’administration de la Bad a approuvé, mardi 10 novembre 2020 à Abidjan, une enveloppe financière de 14,74 millions de dollars américains pour la mise en œuvre du projet.
Le PREMOPEF couvrira les trois départements de la région du N’zi, à savoir Dimbokro, Bocanda et Kouassi-Kouassikro et touchera directement 62 villages de la région. Le projet doit contribuer à réduire la vulnérabilité économique des ménages et à améliorer plus largement leur résilience aux chocs économiques. Pour ce faire, il facilitera l’accès des petits exploitants, notamment des femmes et des jeunes, aux biens et aux services, permettant d’accroître la productivité, la production et les revenus, tout en assurant leur inclusion dans les chaînes de valeur.
Le projet sera mis en œuvre dans les filières de production d’igname, de manioc, du maraîchage et de la volaille traditionnelle. Il prévoit notamment un aménagement de périmètres maraîchers en faveur de 1 350 petits exploitants sur cent hectares comprenant les travaux de réhabilitation de huit barrages, d’ouvrage de captage d’eau du fleuve N’zi et d’un lac, la réalisation de dix stations de pompage sur les barrages, la mise en place des systèmes d’irrigation (semi-californien sur 70 hectares et du système goutte-à-goutte sur 30 hectares). En terme d’appui, les petites entreprises agricoles portées par les jeunes et les femmes, au nombre d’une centaine, seront dotées d’équipements et de matériels pour le transport de produits, de prestations de services de mécanisation, y compris la promotion de technologies de récolte du manioc.
Le PREMOPEF touchera directement 60 000 personnes, représentant 25% de la population de la région du N’zi, dont 50% de femmes et 35% de jeunes. Avec les interventions du projet, la production additionnelle annuelle attendue est estimée à 522 tonnes de légumes, 4 500 tonnes de manioc, 3 750 tonnes d’igname et 1,5 million de têtes de volaille.