Ecofinance.sn - (Dakar) - Les comptes insuffisamment alimentés pour payer les factures sont une mine d’or pour les banques. A chaque incident de paiement (chèque sans provision, prélèvement refusé, virement bloqué…), l’établissement charge la barque avec des frais, aggravant ainsi la situation des foyers déjà dans le rouge.
Intolérable pour 60 millions de consommateurs, qui ont estimé en octobre dernier que ces frais généraient 6,5 milliards d’euros de chiffre d’affaires chaque année pour les banques. Pas étonnant quand on sait que 25% des Français ont connu un incident de paiement en 2017.
C’est l’un des constats établis par le Comité consultatif du secteur financier (CCSF), un organisme regroupant les banques, administrations et associations de consommateurs. Suite à l’alerte de 60 millions de consommateurs en octobre, le ministère de l’Economie avait demandé un rapport au CCSF.
D’après ce document, remis au ministre le 4 juillet, et consulté par Le Parisien, ce nombre important d’incidents est dû en grande partie aux prélèvements automatiques. “En cas d’insuffisance de provision, un même compte peut avoir dans un même mois plusieurs rejets de (...) Cliquez ici pour voir la suite
Avec Capital.fr
Intolérable pour 60 millions de consommateurs, qui ont estimé en octobre dernier que ces frais généraient 6,5 milliards d’euros de chiffre d’affaires chaque année pour les banques. Pas étonnant quand on sait que 25% des Français ont connu un incident de paiement en 2017.
C’est l’un des constats établis par le Comité consultatif du secteur financier (CCSF), un organisme regroupant les banques, administrations et associations de consommateurs. Suite à l’alerte de 60 millions de consommateurs en octobre, le ministère de l’Economie avait demandé un rapport au CCSF.
D’après ce document, remis au ministre le 4 juillet, et consulté par Le Parisien, ce nombre important d’incidents est dû en grande partie aux prélèvements automatiques. “En cas d’insuffisance de provision, un même compte peut avoir dans un même mois plusieurs rejets de (...) Cliquez ici pour voir la suite
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