L’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) et le Fonds du Qatar pour le développement (Qatar Fund for Development – QFFD), l’organisme public qatari chargé de cette question, s'associent pour combattre l'insécurité alimentaire au Somalie.
Ils entendent ainsi unir leurs forces dans le cadre d’un nouveau partenariat et donner un coup d’accélérateur aux efforts menés pour aider les communautés rurales vulnérables de la Somalie à parvenir à la sécurité alimentaire et à mieux s’adapter aux effets du changement climatique.
Selon un communiqué de presse transmis à equonet, le partenariat signé aujourd’hui démarrera avec une contribution de 1,7 million d’USD du QFFD. Les parties travailleront ensemble pour aider à améliorer la gestion de l’eau et l’accès à celle-ci et apprendre aux petits exploitants et éleveurs à affronter les difficultés qu’entraîne le changement climatique ainsi qu’à prévoir les conditions météorologiques extrêmes et y faire face. Ces efforts concertés devraient bénéficier à 78 050 ménages, soit environ 468 300 personnes, et l’on veillera particulièrement à ce que les populations pauvres, vulnérables ou marginalisées, notamment les femmes et les jeunes, soient pris en compte.
La Somalie est très exposée aux crises à répétition – notamment les sécheresses et inondations dévastatrices – et l’évolution du climat augmente la fréquence et l’intensité des phénomènes climatiques, situation que le fonctionnement et la gestion médiocres des infrastructures hydriques rendent encore plus alarmante. Ces bouleversements perturbent continuellement les moyens de subsistance et aggravent sans cesse la vulnérabilité et la pauvreté des populations, ce qui se traduit par une faim et une malnutrition aiguës.
Une multiplicité de crises – faibles précipitations, infestation acridienne, inondations localisées, conflits et pandémie de covid-19 – ont pesé sur la situation des exploitants et des communautés de pasteurs locaux et, du fait de leurs effets conjugués, environ 3,5 millions de personnes sont actuellement confrontées à des niveaux élevés d’insécurité alimentaire aiguë.
L’accord a été signé aujourd’hui par Beth Bechdol, directrice générale adjointe de la FAO, qui a déclaré que la FAO se félicitait que l’État du Qatar se soit engagé à venir en aide aux communautés agricoles somaliennes fragiles. Elle a ajouté que ce tout premier partenariat entre l’Organisation et le QFFD serait pour ces derniers l’occasion d’œuvrer ensemble afin de sauvegarder et de consolider les moyens de subsistance et d’aider les familles à prévoir les secousses, par exemple les sécheresses et les maladies animales, en augmentant et en diversifiant leur production de nourriture et en protégeant leurs animaux d’élevage, source essentielle d’aliments et de revenus.
Le directeur général adjoint chargé des projets au sein du QFFD, Misfer Al-Shahwani, évoquant l’accord en faveur d’une action préventive pressante que les parties s’étaient réunies pour signer, a déclaré que le QFFD ne doutait pas que l’initiative viendrait en aide aux communautés agricoles et pastorales menacées en amont des problèmes, en atténuant les risques au sein de ces groupes marginalisés. Il a également noté que l’action préventive faciliterait la mise à disposition de solutions efficaces qui devraient bénéficier à 1 850 petits exploitants et permettrait de prendre les devants pour maîtriser les situations d’urgence liées aux moyens de subsistance agricoles.
La FAO dispose d’un savoir-faire et d’une expérience considérables dans les domaines de l’aide humanitaire et du développement. Elle contribue à la pérennisation de la paix et s’occupe, dans le monde entier, de tous les aspects liés à l’alimentation et à l’agriculture, à la sécurité alimentaire et à la nutrition dans le souci de protéger les moyens de subsistance des populations les plus fragiles.
La FAO est présente depuis longtemps en Somalie. Grâce à son programme relatif aux interventions d’urgence et à la résilience, elle sauve des vies et préserve les moyens de subsistance en octroyant aux ménages ruraux vulnérables une aide en espèces qui leur permet de satisfaire leurs besoins alimentaires les plus pressants. Elle fournit également des aliments pour animaux, de l’eau et des traitements supplémentaires d’importance vitale aux communautés pastorales. Dans le cadre de son intervention d’urgence, la FAO distribue également des variétés de semences qui résistent à la sécheresse et fournit un complément d’irrigation pour protéger les activités qui font vivre les ménages agricoles ruraux.
La cérémonie de signature qui s’est déroulée aujourd’hui scelle un premier accord entre la FAO et l’État du Qatar par l’intermédiaire de son office chargé du développement et de l’action humanitaire, le Fonds du Qatar pour le développement. Le projet en Somalie est considéré comme un premier pas vers une collaboration plus approfondie entre la FAO et le QFFD dans les domaines de l’intervention d’urgence et de la résilience, et bien d’autres encore.
Ils entendent ainsi unir leurs forces dans le cadre d’un nouveau partenariat et donner un coup d’accélérateur aux efforts menés pour aider les communautés rurales vulnérables de la Somalie à parvenir à la sécurité alimentaire et à mieux s’adapter aux effets du changement climatique.
Selon un communiqué de presse transmis à equonet, le partenariat signé aujourd’hui démarrera avec une contribution de 1,7 million d’USD du QFFD. Les parties travailleront ensemble pour aider à améliorer la gestion de l’eau et l’accès à celle-ci et apprendre aux petits exploitants et éleveurs à affronter les difficultés qu’entraîne le changement climatique ainsi qu’à prévoir les conditions météorologiques extrêmes et y faire face. Ces efforts concertés devraient bénéficier à 78 050 ménages, soit environ 468 300 personnes, et l’on veillera particulièrement à ce que les populations pauvres, vulnérables ou marginalisées, notamment les femmes et les jeunes, soient pris en compte.
La Somalie est très exposée aux crises à répétition – notamment les sécheresses et inondations dévastatrices – et l’évolution du climat augmente la fréquence et l’intensité des phénomènes climatiques, situation que le fonctionnement et la gestion médiocres des infrastructures hydriques rendent encore plus alarmante. Ces bouleversements perturbent continuellement les moyens de subsistance et aggravent sans cesse la vulnérabilité et la pauvreté des populations, ce qui se traduit par une faim et une malnutrition aiguës.
Une multiplicité de crises – faibles précipitations, infestation acridienne, inondations localisées, conflits et pandémie de covid-19 – ont pesé sur la situation des exploitants et des communautés de pasteurs locaux et, du fait de leurs effets conjugués, environ 3,5 millions de personnes sont actuellement confrontées à des niveaux élevés d’insécurité alimentaire aiguë.
L’accord a été signé aujourd’hui par Beth Bechdol, directrice générale adjointe de la FAO, qui a déclaré que la FAO se félicitait que l’État du Qatar se soit engagé à venir en aide aux communautés agricoles somaliennes fragiles. Elle a ajouté que ce tout premier partenariat entre l’Organisation et le QFFD serait pour ces derniers l’occasion d’œuvrer ensemble afin de sauvegarder et de consolider les moyens de subsistance et d’aider les familles à prévoir les secousses, par exemple les sécheresses et les maladies animales, en augmentant et en diversifiant leur production de nourriture et en protégeant leurs animaux d’élevage, source essentielle d’aliments et de revenus.
Le directeur général adjoint chargé des projets au sein du QFFD, Misfer Al-Shahwani, évoquant l’accord en faveur d’une action préventive pressante que les parties s’étaient réunies pour signer, a déclaré que le QFFD ne doutait pas que l’initiative viendrait en aide aux communautés agricoles et pastorales menacées en amont des problèmes, en atténuant les risques au sein de ces groupes marginalisés. Il a également noté que l’action préventive faciliterait la mise à disposition de solutions efficaces qui devraient bénéficier à 1 850 petits exploitants et permettrait de prendre les devants pour maîtriser les situations d’urgence liées aux moyens de subsistance agricoles.
La FAO dispose d’un savoir-faire et d’une expérience considérables dans les domaines de l’aide humanitaire et du développement. Elle contribue à la pérennisation de la paix et s’occupe, dans le monde entier, de tous les aspects liés à l’alimentation et à l’agriculture, à la sécurité alimentaire et à la nutrition dans le souci de protéger les moyens de subsistance des populations les plus fragiles.
La FAO est présente depuis longtemps en Somalie. Grâce à son programme relatif aux interventions d’urgence et à la résilience, elle sauve des vies et préserve les moyens de subsistance en octroyant aux ménages ruraux vulnérables une aide en espèces qui leur permet de satisfaire leurs besoins alimentaires les plus pressants. Elle fournit également des aliments pour animaux, de l’eau et des traitements supplémentaires d’importance vitale aux communautés pastorales. Dans le cadre de son intervention d’urgence, la FAO distribue également des variétés de semences qui résistent à la sécheresse et fournit un complément d’irrigation pour protéger les activités qui font vivre les ménages agricoles ruraux.
La cérémonie de signature qui s’est déroulée aujourd’hui scelle un premier accord entre la FAO et l’État du Qatar par l’intermédiaire de son office chargé du développement et de l’action humanitaire, le Fonds du Qatar pour le développement. Le projet en Somalie est considéré comme un premier pas vers une collaboration plus approfondie entre la FAO et le QFFD dans les domaines de l’intervention d’urgence et de la résilience, et bien d’autres encore.