Les services compétents du ministère sénégalais des Finances et du Budget (MFB) travaillent à la mise en place d’un projet de loi pour réglementer le secteur de la microfinance.
Ce projet de loi vise à rééquilibrer la relation entre les IMF et leurs clients, à améliorer leur encadrement et à accroître leur contribution au développement économique, tout en répondant aux préoccupations des consommateurs.
En effet, les consommateurs et bénéficiaires des services de microfinance ont souvent exprimé des préoccupations relatives aux taux d’intérêt élevés rendant le crédit difficilement accessible aux petites et moyennes entreprises et aux ménages, un accès limité aux financements, un manque de transparence dans les conditions de prêt et les services financiers, une gestion parfois fragile des institutions exposant les épargnants à des risques et faillites.
C’est que le secteur de la microfinance présente plusieurs vulnérabilités, notamment en matière de gouvernance, de supervision et de gestion des risques.
Pour faire face à ces multiples défis, le projet de loi propose un ensemble de mesures qui devront participer à rendre la microfinance plus accessible, plus transparente et mieux encadrée, offrant aux usagers un environnement financier plus sûr et plus équitable au service du développement économique et social du Sénégal.
Ce projet de loi vise à rééquilibrer la relation entre les IMF et leurs clients, à améliorer leur encadrement et à accroître leur contribution au développement économique, tout en répondant aux préoccupations des consommateurs.
En effet, les consommateurs et bénéficiaires des services de microfinance ont souvent exprimé des préoccupations relatives aux taux d’intérêt élevés rendant le crédit difficilement accessible aux petites et moyennes entreprises et aux ménages, un accès limité aux financements, un manque de transparence dans les conditions de prêt et les services financiers, une gestion parfois fragile des institutions exposant les épargnants à des risques et faillites.
C’est que le secteur de la microfinance présente plusieurs vulnérabilités, notamment en matière de gouvernance, de supervision et de gestion des risques.
Pour faire face à ces multiples défis, le projet de loi propose un ensemble de mesures qui devront participer à rendre la microfinance plus accessible, plus transparente et mieux encadrée, offrant aux usagers un environnement financier plus sûr et plus équitable au service du développement économique et social du Sénégal.