Les communautés de pêcheurs, en particulier les jeunes et les femmes, ont maintenant davantage d’arguments pour défendre leurs intérêts. Avec l’appui de la plateforme Citoyens Actifs pour la Justice Sociale (CAJUST), elles ont conçu aujourd’hui un plan de plaidoyer visant à interpeller l’Etat les compagnies sur leurs responsabilités en matière de gouvernance climatique.
Cet exercice était l’une des principales de l’atelier renforcement de capacité marqué par une forte participation des membres de la société civile saint-louisienne, ainsi que des représentants des communautés touchées par l’érosion côtière sur la Langue de Barbarie, et des élus locaux.
Ouvert hier par une formation sur les instruments de gouvernance climatique du Sénégal, y compris les engagements internationaux de l’Etat, il s’est suivi par un forum communautaire organisé dans l’après-midi sur le site de Khar Yalla (Cité Cheikh Bamba DIÈYE).
« L’objectif est de promouvoir une compréhension approfondie des instruments de gouvernance climatique auprès des parties prenantes », a expliqué Ibrahima MBACKÉ, chargé de projets au CAJUST, à l'ouverture des travaux. « Il vise à renforcer les capacités des communautés en matière de techniques de plaidoyer, et aboutira à l’élaboration d’un plan destiné à interpeller l’État et les entreprises sur leurs responsabilités face aux défis climatiques », a-t-il ajouté.
Pour sa part, l’adjointe au maire de Saint-Louis, Aida Mbaye DIENG, a souligné la pertinence de l’atelier tout en rappelant que « Saint-Louis est le laboratoire des changements climatiques ». « Ces travaux sont cruciaux pour l’élaboration de programmes adaptés aux changements climatiques, surtout dans le contexte où toutes les collectivités territoriales du Sénégal doivent initier la mise en place de programmes climatiques », a-t-elle dit.
La rencontre vise à sensibiliser les acteurs sur la crise climatique et à faire entendre les voix des communautés, dans le souci d'assurer un plan de transition énergétique juste, transparent et inclusif au Sénégal.
Cet exercice était l’une des principales de l’atelier renforcement de capacité marqué par une forte participation des membres de la société civile saint-louisienne, ainsi que des représentants des communautés touchées par l’érosion côtière sur la Langue de Barbarie, et des élus locaux.
Ouvert hier par une formation sur les instruments de gouvernance climatique du Sénégal, y compris les engagements internationaux de l’Etat, il s’est suivi par un forum communautaire organisé dans l’après-midi sur le site de Khar Yalla (Cité Cheikh Bamba DIÈYE).
« L’objectif est de promouvoir une compréhension approfondie des instruments de gouvernance climatique auprès des parties prenantes », a expliqué Ibrahima MBACKÉ, chargé de projets au CAJUST, à l'ouverture des travaux. « Il vise à renforcer les capacités des communautés en matière de techniques de plaidoyer, et aboutira à l’élaboration d’un plan destiné à interpeller l’État et les entreprises sur leurs responsabilités face aux défis climatiques », a-t-il ajouté.
Pour sa part, l’adjointe au maire de Saint-Louis, Aida Mbaye DIENG, a souligné la pertinence de l’atelier tout en rappelant que « Saint-Louis est le laboratoire des changements climatiques ». « Ces travaux sont cruciaux pour l’élaboration de programmes adaptés aux changements climatiques, surtout dans le contexte où toutes les collectivités territoriales du Sénégal doivent initier la mise en place de programmes climatiques », a-t-elle dit.
La rencontre vise à sensibiliser les acteurs sur la crise climatique et à faire entendre les voix des communautés, dans le souci d'assurer un plan de transition énergétique juste, transparent et inclusif au Sénégal.