Selon la note d'information publié aujourd'hui par Umoa-Titres, l’activité économique de l’Union économique et monétaire ouest africaine (Uemoa) a connu une reprise en 2021 avec un taux de croissance estimé à 6,0 pour cent, après 1,8 pour cent et 5,8 pour cent respectivement en 2020 et 2019, en rapport avec la reprise de l’activité dans l’ensemble des secteurs de l’économie. Le document souligne que les économies de l’Union ont profité de la poursuite de la mise en œuvre des plans de relance dans un contexte marqué par la maîtrise de la COVID-19 dans la zone et la hausse des prix des principaux produits exportés consécutive à la reprise de l’économie mondiale.
"L’économie de la zone UEMOA renoue ainsi avec ses performances d’avant la pandémie de la COVID-19 dans un contexte régional marqué ces dernières années par la persistance des risques sécuritaires dus à la menace terroriste et aux incertitudes entourant les perspectives économiques mondiales", note-t-il.
Il attribue ces performances à la poursuite de l’adoption par les Etats membres de l’Union de mesures visant à accélérer la mise en œuvre des réformes nécessaires à la stabilité macroéconomique et à l’amélioration du climat des affaires, afin d’attirer davantage d’investisseurs privés, notamment dans les industries agro-alimentaires et manufacturières.
Concernant l'exécution des opérations financières dans les Etats membres, le document signale que le déficit budgétaire global de l’Union s’est amélioré en 2021 en ressortant à 5,5 pour cent du produit intérieur brut (PIB) contre 5,6 pour cent du PIB en 2020.
S’agissant du taux d’inflation, il a atteint 3,6 pour cent en 2021, après 2,1 pour cent en 2020, en raison notamment de l’augmentation des prix des produits alimentaires.
Quant au taux d’endettement de l’Union, il serait de 53,3 pour cent en 2021 contre 50,1 pour cent un an plus tôt selon le rapport de la surveillance multilatérale de décembre 2021.
Les perspectives économiques de l’Union demeurent favorables. Selon la note d'information, la reprise de l’activité économique devrait se consolider en 2022 avec une croissance réelle du PIB projetée de 5,9 pour cent. Le taux d’endettement devrait baisser à partir de 2022 dans la perspective de la réduction progressive du déficit budgétaire.
"Le déficit budgétaire rapporté au PIB se situerait autour de la norme communautaire de 3,0 pour cent à l’horizon 2024. Les tensions inflationnistes devraient persister en 2022 avant de s’atténuer un an plus tard", projette le document.
Selon les projections de la BCEAO, le taux d’inflation ressortirait à 6,2 pour cent en 2022 avant de chuter à 3,2 pour cent en 2023 en rapport avec l’atténuation des tensions géopolitiques et la perspective d’une bonne campagne agricole 2022-2023.
"L’économie de la zone UEMOA renoue ainsi avec ses performances d’avant la pandémie de la COVID-19 dans un contexte régional marqué ces dernières années par la persistance des risques sécuritaires dus à la menace terroriste et aux incertitudes entourant les perspectives économiques mondiales", note-t-il.
Il attribue ces performances à la poursuite de l’adoption par les Etats membres de l’Union de mesures visant à accélérer la mise en œuvre des réformes nécessaires à la stabilité macroéconomique et à l’amélioration du climat des affaires, afin d’attirer davantage d’investisseurs privés, notamment dans les industries agro-alimentaires et manufacturières.
Concernant l'exécution des opérations financières dans les Etats membres, le document signale que le déficit budgétaire global de l’Union s’est amélioré en 2021 en ressortant à 5,5 pour cent du produit intérieur brut (PIB) contre 5,6 pour cent du PIB en 2020.
S’agissant du taux d’inflation, il a atteint 3,6 pour cent en 2021, après 2,1 pour cent en 2020, en raison notamment de l’augmentation des prix des produits alimentaires.
Quant au taux d’endettement de l’Union, il serait de 53,3 pour cent en 2021 contre 50,1 pour cent un an plus tôt selon le rapport de la surveillance multilatérale de décembre 2021.
Les perspectives économiques de l’Union demeurent favorables. Selon la note d'information, la reprise de l’activité économique devrait se consolider en 2022 avec une croissance réelle du PIB projetée de 5,9 pour cent. Le taux d’endettement devrait baisser à partir de 2022 dans la perspective de la réduction progressive du déficit budgétaire.
"Le déficit budgétaire rapporté au PIB se situerait autour de la norme communautaire de 3,0 pour cent à l’horizon 2024. Les tensions inflationnistes devraient persister en 2022 avant de s’atténuer un an plus tard", projette le document.
Selon les projections de la BCEAO, le taux d’inflation ressortirait à 6,2 pour cent en 2022 avant de chuter à 3,2 pour cent en 2023 en rapport avec l’atténuation des tensions géopolitiques et la perspective d’une bonne campagne agricole 2022-2023.