Le projet de mis en place d’un hub aérien régional se concrétise au Sénégal. Après l’inauguration de l’Aéroport international Blaise Dakar (AIBD, première composante du projet), le 07 décembre 2017, et la mise en place d’une compagnie aérienne nationale, Air Sénégal S.A. (deuxième composante), c’est au tour de l’Aéroport international de Saint-Louis qui vient d’être inauguré le 15 juillet 2022.
La modernisation de cette infrastructure aéroportuaire marque le début de mise en œuvre du Programme de reconstruction des aéroports du Sénégal (PRAS), troisième composante du projet hub aérien lancé en 2018 par le chef de l’Etat sénégalais qui lui accorde une grande importance. En effet, sur la question de la modernisation des infrastructures aéroportuaires et la stratégie hub aérien, le chef de l’Etat a rappelé, lors du conseil des ministres du 13 juillet dernier, la priorité qu’il accorde à la mise en œuvre optimale du PRAS.
Par la même occasion, le président de la République s’est félicité de l’état d’avancement satisfaisant des travaux concernant les aéroports du Cap Skirring, de Ourossogui/Matam, de Kolda (qui vient de démarrer) tout en informant de l’inauguration de l’aéroport international de Saint Louis, qui a eu lieu, sous sa présidence, le jeudi 14 juillet 2022.
Le chef de l’Etat demande, dans cette dynamique, au ministre du Tourisme et des Transports aériens de poursuivre le suivi permanent des travaux programmés, en vue d’asseoir, dans les meilleures conditions, le renouveau des transports aériens avec, d’une part, des ressources humaines de qualité et, d’autre part, des infrastructures et équipements de dernière génération.
Abordant la question liée au renouveau des Transports aériens, lors Conseil des ministres du 12 janvier 2022, le président de la République avait rappelé au gouvernement, son ambition de faire du Sénégal, un hub aérien (multiservices et touristique) de référence au niveau international.
Cette volonté politique s’est matérialisée à travers, notamment, la création de la compagnie nationale AIR SENEGAL SA, dotée d’une flotte moderne, la réhabilitation des aéroports régionaux, l’élargissement des compétences de AIBD SA à tous les aéroports du Sénégal, la montée en puissance de l’Armée de l’Air, la création d’une Académie internationale des métiers de l’Aviation civile, ainsi que de nombreuses réformes juridiques et organiques, à l’image de la création Haute autorité des aéroports du Sénégal.
Le président de la République indiquait, dès lors, la nécessité de développer, dans la cohérence, l’optimisation des ressources et la complémentarité de la gestion des infrastructures, un pilotage dynamique du secteur des transports aériens avec la stratégie « hub aérien du Sénégal », dont il a présidé, le mardi 11 janvier 2022, une revue de la mise en oeuvre.
Le chef de l’Etat demandait, ainsi, au ministre du Tourisme et des Transports aériens, au ministre des Finances et du Budget et au ministre de l’Economie, du Plan et de la Coopération, de veiller à l’actualisation du Plan de financement des investissements prioritaires prévus (environs 100 milliards FCFA pour la phase d’urgence), en vue d’une exécution rapide, efficace et efficiente des projets et réformes validés.
Le président de la République demandait également au gouvernement de finaliser les études relatives au Plan d’urbanisme et d’aménagement (intégrant la desserte du TER) de l’Aéroville, sur le périmètre de AIBD, dont la sécurisation foncière, avec ses servitudes, est un impératif.
Le chef de l’Etat indiquait, en particulier, au ministre du Tourisme et des Transports aériens et au ministre des Finances et du Budget, l’urgence de renforcer les moyens et les ressources humaines (en personnels cadres) de l’Agence nationale de l’Aviation Civile et de la Météorologie (ANACIM), structure qui devra accentuer sa transformation et la digitalisation de ses procédures.
La modernisation de cette infrastructure aéroportuaire marque le début de mise en œuvre du Programme de reconstruction des aéroports du Sénégal (PRAS), troisième composante du projet hub aérien lancé en 2018 par le chef de l’Etat sénégalais qui lui accorde une grande importance. En effet, sur la question de la modernisation des infrastructures aéroportuaires et la stratégie hub aérien, le chef de l’Etat a rappelé, lors du conseil des ministres du 13 juillet dernier, la priorité qu’il accorde à la mise en œuvre optimale du PRAS.
Par la même occasion, le président de la République s’est félicité de l’état d’avancement satisfaisant des travaux concernant les aéroports du Cap Skirring, de Ourossogui/Matam, de Kolda (qui vient de démarrer) tout en informant de l’inauguration de l’aéroport international de Saint Louis, qui a eu lieu, sous sa présidence, le jeudi 14 juillet 2022.
Le chef de l’Etat demande, dans cette dynamique, au ministre du Tourisme et des Transports aériens de poursuivre le suivi permanent des travaux programmés, en vue d’asseoir, dans les meilleures conditions, le renouveau des transports aériens avec, d’une part, des ressources humaines de qualité et, d’autre part, des infrastructures et équipements de dernière génération.
Abordant la question liée au renouveau des Transports aériens, lors Conseil des ministres du 12 janvier 2022, le président de la République avait rappelé au gouvernement, son ambition de faire du Sénégal, un hub aérien (multiservices et touristique) de référence au niveau international.
Cette volonté politique s’est matérialisée à travers, notamment, la création de la compagnie nationale AIR SENEGAL SA, dotée d’une flotte moderne, la réhabilitation des aéroports régionaux, l’élargissement des compétences de AIBD SA à tous les aéroports du Sénégal, la montée en puissance de l’Armée de l’Air, la création d’une Académie internationale des métiers de l’Aviation civile, ainsi que de nombreuses réformes juridiques et organiques, à l’image de la création Haute autorité des aéroports du Sénégal.
Le président de la République indiquait, dès lors, la nécessité de développer, dans la cohérence, l’optimisation des ressources et la complémentarité de la gestion des infrastructures, un pilotage dynamique du secteur des transports aériens avec la stratégie « hub aérien du Sénégal », dont il a présidé, le mardi 11 janvier 2022, une revue de la mise en oeuvre.
Le chef de l’Etat demandait, ainsi, au ministre du Tourisme et des Transports aériens, au ministre des Finances et du Budget et au ministre de l’Economie, du Plan et de la Coopération, de veiller à l’actualisation du Plan de financement des investissements prioritaires prévus (environs 100 milliards FCFA pour la phase d’urgence), en vue d’une exécution rapide, efficace et efficiente des projets et réformes validés.
Le président de la République demandait également au gouvernement de finaliser les études relatives au Plan d’urbanisme et d’aménagement (intégrant la desserte du TER) de l’Aéroville, sur le périmètre de AIBD, dont la sécurisation foncière, avec ses servitudes, est un impératif.
Le chef de l’Etat indiquait, en particulier, au ministre du Tourisme et des Transports aériens et au ministre des Finances et du Budget, l’urgence de renforcer les moyens et les ressources humaines (en personnels cadres) de l’Agence nationale de l’Aviation Civile et de la Météorologie (ANACIM), structure qui devra accentuer sa transformation et la digitalisation de ses procédures.
Un enjeu de taille
L’enjeu du projet phare « Hub Aérien Régional » est de positionner le Sénégal comme le premier hub aérien d’Afrique de l’Ouest, avec un trafic de 5 millions de voyageurs par an à l’horizon 2023 et 10 millions de voyageurs par an à l’horizon 2035. Cela repose sur trois composantes : la mise en service de l’Aéroport International Blaise Diagne (AIBD) et l’amélioration des installations annexes (hub de maintenance) ; la réhabilitation de sept (7) aérodromes régionaux (Kédougou, Tambacounda Saint-Louis, Matam/Ourossogui, Ziguinchor, Kolda et Kaolack) et développement d’une compagnie aérienne nationale.
La mise en service de l’AIBD, en décembre 2017, constitue la première avancée majeure enregistrée pour ce projet phare depuis le lancement du PSE. Un an après, l'AIBD a obtenu la certification OACI (Organisation Internationale de l’Aviation Civile) attestant du respect des normes internationales de sécurité, de sureté et de qualité.
Concernant la mise en place d’une compagnie nationale aérienne, Air Sénégal SA a reçu son permis d’exploitation aérienne (PEA) en avril 2018 et a commencé ses activités commerciales avec le démarrage des vols domestiques en mai 2018 ; Entre janvier et décembre 2019, Air Sénégal a réceptionné deux avions A330 néo lui permettant de se positionner sur d’autres lignes comme Dakar – Paris et Dakar – Marseille – Barcelone, etc.
Pour la composante modernisation des aéroports régionaux, des avancées significatives ont été enregistrées avec la signature du contrat commercial pour la réhabilitation de 5 aéroports régionaux (Saint Louis, Ourossogui/Matam, Ziguinchor, Tambacounda et Kédougou ; A date, les travaux de construction de l’aéroport de Saint Louis sont en cours avec la réalisation du tarmac et de la piste ainsi que la réception des modulaires de l’aérogare et de la caserne ; S’agissant de l’aéroport de Ourossogui/Matam, les études sont déjà bouclées et les travaux ont été lancés officiellement par le chef de l’Etat en juin 2021.
Le PRAS est réalisé en vertu des négociations intergouvernementales et de l’intérêt manifesté par la partie sénégalaise pour sa réalisation sur la base du Programme modulaire d’aéroports unique au monde, développé en République tchèque par la société TRANSCON ELECTRONIC SYSTEMS, s.r.o.
Après de longues négociations, la société Transcon signe le contrat de construction de cinq aéroports régionaux au Sénégal. Il s’agit de Saint-Louis, Ourossogui-Matam, Ziguinchor, Tambacounda et Kédougou.
Le vendredi 22 novembre 2019 a été signé à Dakar le contrat de financement de la 1ère phase du projet de construction de cinq aéroports au Sénégal, entre les banques Česká exportní banka (ČEB), Komerční banka (KB) et le ministère de l’Economie, de la Planification et de la Collaboration.
Le projet de reconstruction du réseau d’aéroports fait partie des points clés de la stratégie de développement de longue durée du gouvernement du Sénégal (appelé « Plan Sénégal Émergent »). Le gouvernement du Sénégal met depuis longtemps l’accent sur la nécessité de développer le réseau d’aéroports régionaux, car il s’agit-là d’une condition préalable importante au développement économique des régions, notamment des régions géographiquement très isolées.
Grâce à la réalisation d’un nouvel aéroport international central Dakar Blaise Diagne (AIBD) en combinaison avec un réseau d’aéroports régionaux, le Sénégal deviendra un important nœud aérien de l’Afrique de l’Ouest.
La mise en service de l’AIBD, en décembre 2017, constitue la première avancée majeure enregistrée pour ce projet phare depuis le lancement du PSE. Un an après, l'AIBD a obtenu la certification OACI (Organisation Internationale de l’Aviation Civile) attestant du respect des normes internationales de sécurité, de sureté et de qualité.
Concernant la mise en place d’une compagnie nationale aérienne, Air Sénégal SA a reçu son permis d’exploitation aérienne (PEA) en avril 2018 et a commencé ses activités commerciales avec le démarrage des vols domestiques en mai 2018 ; Entre janvier et décembre 2019, Air Sénégal a réceptionné deux avions A330 néo lui permettant de se positionner sur d’autres lignes comme Dakar – Paris et Dakar – Marseille – Barcelone, etc.
Pour la composante modernisation des aéroports régionaux, des avancées significatives ont été enregistrées avec la signature du contrat commercial pour la réhabilitation de 5 aéroports régionaux (Saint Louis, Ourossogui/Matam, Ziguinchor, Tambacounda et Kédougou ; A date, les travaux de construction de l’aéroport de Saint Louis sont en cours avec la réalisation du tarmac et de la piste ainsi que la réception des modulaires de l’aérogare et de la caserne ; S’agissant de l’aéroport de Ourossogui/Matam, les études sont déjà bouclées et les travaux ont été lancés officiellement par le chef de l’Etat en juin 2021.
Le PRAS est réalisé en vertu des négociations intergouvernementales et de l’intérêt manifesté par la partie sénégalaise pour sa réalisation sur la base du Programme modulaire d’aéroports unique au monde, développé en République tchèque par la société TRANSCON ELECTRONIC SYSTEMS, s.r.o.
Après de longues négociations, la société Transcon signe le contrat de construction de cinq aéroports régionaux au Sénégal. Il s’agit de Saint-Louis, Ourossogui-Matam, Ziguinchor, Tambacounda et Kédougou.
Le vendredi 22 novembre 2019 a été signé à Dakar le contrat de financement de la 1ère phase du projet de construction de cinq aéroports au Sénégal, entre les banques Česká exportní banka (ČEB), Komerční banka (KB) et le ministère de l’Economie, de la Planification et de la Collaboration.
Le projet de reconstruction du réseau d’aéroports fait partie des points clés de la stratégie de développement de longue durée du gouvernement du Sénégal (appelé « Plan Sénégal Émergent »). Le gouvernement du Sénégal met depuis longtemps l’accent sur la nécessité de développer le réseau d’aéroports régionaux, car il s’agit-là d’une condition préalable importante au développement économique des régions, notamment des régions géographiquement très isolées.
Grâce à la réalisation d’un nouvel aéroport international central Dakar Blaise Diagne (AIBD) en combinaison avec un réseau d’aéroports régionaux, le Sénégal deviendra un important nœud aérien de l’Afrique de l’Ouest.
Connaître bien le PRAS pour mieux argumenter vos commentaires
Ils sont très nombreux les gens qui parlent beaucoup et discutent sur la construction des aéroports régionaux sans connaître le fondement. Ce rappel historique leur permettra d’en avoir une idée.
Les travaux du PRAS sont réalisés par la société tchèque Transcon Electronic Systems pour un coût global de près de 100 milliards de francs CFA financés à hauteur de 85 pour cent par la Czech Export Bank et à hauteur de 15 pour cent par le Budget consolidé d'investissement (BCI) du Sénégal. Ces travaux portent sur tous les aspects relatifs à la modernisation et la mise aux normes internationales de ces aéroports.
Les travaux de réhabilitation sont prévus sur une durée de 47 mois. Dans une première phase du premier volet du PRAS, les travaux porteront sur les aéroports de Ourossogui-Matam et de Saint-Louis. La deuxième phase concerne les aéroports de Ziguinchor, Tambacounda et Kédougou. « Les aéroports de Tambacounda et de Ziguinchor seront livrés d'ici à 2023 », a promis Macky Sall lui-même se félicitant du partenariat avec les entreprises tchèques, lequel va générer « un bon niveau de compétitivité pour la destination Sénégal ».
Ces travaux constituent une matérialisation de l'ambition du chef de l’Etat sénégalais de faire de son pays le principal hub aérien de l'Afrique de l'Ouest, « par le renforcement du maillage du territoire en terme d'infrastructures aéroportuaires qui participent au désenclavement des régions les plus reculées pour une exploitation optimale de leurs potentialités économiques », avait expliqué l’ancienne ministre sénégalaise du Tourisme et des Transports aériens, Maïmouna Ndoye Seck, présente à la cérémonie de lancement de ce grand chantier.
« Il s'agira notamment de reprendre les pistes qui seront allongées et élargies, avec un système de balisage adéquat, afin de pouvoir recevoir les avions de référence retenus. Les aérogares, intégrant des salons VIP, les tours de contrôle, les stations météorologiques ainsi que les bâtiments techniques seront reconstruits et dotés d'équipements répondant aux normes techniques de dernière génération », a indiqué Madame Ndoye Seck.
D’autres volets du PRAS avec Cap Skiring, Kolda et Sédhiou en priorité
Le premier volet du PRAS sera suivi notamment par la « moderniser de tous les aéroports du Sénégal, avec une priorité sur Cap Skirring, Kolda et Sédhiou ». Une enveloppe de 250 millions Fcfa avait été d'ailleurs inscrite dans le Budget consolidé d'investissement (BCI) 2019 afin de lancer les études pour identifier les travaux nécessaires à la mise en conformité de ces aéroports.
Les travaux du PRAS sont réalisés par la société tchèque Transcon Electronic Systems pour un coût global de près de 100 milliards de francs CFA financés à hauteur de 85 pour cent par la Czech Export Bank et à hauteur de 15 pour cent par le Budget consolidé d'investissement (BCI) du Sénégal. Ces travaux portent sur tous les aspects relatifs à la modernisation et la mise aux normes internationales de ces aéroports.
Les travaux de réhabilitation sont prévus sur une durée de 47 mois. Dans une première phase du premier volet du PRAS, les travaux porteront sur les aéroports de Ourossogui-Matam et de Saint-Louis. La deuxième phase concerne les aéroports de Ziguinchor, Tambacounda et Kédougou. « Les aéroports de Tambacounda et de Ziguinchor seront livrés d'ici à 2023 », a promis Macky Sall lui-même se félicitant du partenariat avec les entreprises tchèques, lequel va générer « un bon niveau de compétitivité pour la destination Sénégal ».
Ces travaux constituent une matérialisation de l'ambition du chef de l’Etat sénégalais de faire de son pays le principal hub aérien de l'Afrique de l'Ouest, « par le renforcement du maillage du territoire en terme d'infrastructures aéroportuaires qui participent au désenclavement des régions les plus reculées pour une exploitation optimale de leurs potentialités économiques », avait expliqué l’ancienne ministre sénégalaise du Tourisme et des Transports aériens, Maïmouna Ndoye Seck, présente à la cérémonie de lancement de ce grand chantier.
« Il s'agira notamment de reprendre les pistes qui seront allongées et élargies, avec un système de balisage adéquat, afin de pouvoir recevoir les avions de référence retenus. Les aérogares, intégrant des salons VIP, les tours de contrôle, les stations météorologiques ainsi que les bâtiments techniques seront reconstruits et dotés d'équipements répondant aux normes techniques de dernière génération », a indiqué Madame Ndoye Seck.
D’autres volets du PRAS avec Cap Skiring, Kolda et Sédhiou en priorité
Le premier volet du PRAS sera suivi notamment par la « moderniser de tous les aéroports du Sénégal, avec une priorité sur Cap Skirring, Kolda et Sédhiou ». Une enveloppe de 250 millions Fcfa avait été d'ailleurs inscrite dans le Budget consolidé d'investissement (BCI) 2019 afin de lancer les études pour identifier les travaux nécessaires à la mise en conformité de ces aéroports.
Contribution au développement régional
Le projet favorise considérablement le développement du secteur d‘entrepreneuriat sur le site et la création de nouveaux emplois. Ainsi, les nouveaux aéroports contribueront non seulement à une meilleure exploitation du potentiel économique existant, mais soutiendront également l’activation de nouveaux processus et de projets économiques.
À la réalisation du Projet participeront de nombreuses sociétés sénégalaises spécialisées dans les domaines tels que la construction, les transports et divers types de services. Le projet prévoit d’employer de la main d’œuvre provenant des régions de construction des aéroports. De nombreux employés bénéficieront d’une formation professionnelle. Les employés sélectionnés seront formés aux travaux consécutifs en rapport avec l’entretien et le fonctionnement des installations de l’aéroport.
Le développement de l’infrastructure aéroportuaire est également étroitement lié au développement du tourisme, qui fait partie et continuera de faire partie d’importantes sources de revenus de l’économie sénégalaise. Grâce à son magnifique décor naturel et ses sept lieux inscrits sur la liste du Patrimoine mondial culturel et naturel UNESCO, Sénégal est doté d’un énorme potentiel dans le domaine du tourisme.
Dans la partie Nord (semi-désert) sont situés les aéroports de Saint Louis et d‘Ourossogui-Matam. Le centre historique de Saint-Louis et le Parc national des oiseaux du Djoudj (au Nord-Ouest de Saint Louis), sont inscrits sur la liste du Patrimoine mondial culturel ou naturel UNESCO. Ourossogui-Matam, à la frontière avec la Mauritanie, est situé dans une région désertique calme, mais difficile d’accès et limitant de ce fait son développement.
Dans la partie Sud (tropique) du pays se trouvent les aéroports de Tambacounda, Kédougou et Ziguinchor. Tambacounda représente traditionnellement un important nœud de communication dans le cadre du Sénégal, permettant une liaison entre l’intérieur du Sénégal et Mali. Kédougou est le centre administratif de la région portant le même nom, la ville elle-même est officieusement désignée comme étant la capitale de l’industrie d‘extraction sénégalaise.
Elle se trouve à proximité de deux sites inscrits sur la liste du Patrimoine mondial culturel et naturel UNESCO, à savoir, le Parc national de Niokolo-Koba et la réserve culturelle de Bassari (habitée par les groupes ethniques de Bassari, Bedik et Fula).
Ziguinchor est le centre administratif de la région de Casamance qui se distingue par une terre agricole fertile et un magnifique décor naturel. Grâce à cela, un complexe littoral très populaire pour les visiteurs européens a été créé en 1973 à proximité de Ziguinchor, dans la ville de Cap Skirring.
Quant à l‘aéroport de Saint Louis, il a été fondé en 1927, il est de ce fait plus ancien que de nombreux aéroports européens. L’aéroport a vu le jour grâce à Pierre-Georges Latécoère et sa société Aéropostale, qui développait la liaison aérienne (en particulier postale) entre l’Europe, l’Afrique et l’Amérique latine. Parmi les pilotes de l’Aéropostale qui assuraient ces liaisons, figurait l’écrivain mondialement connu, Antoine de Saint Exupéry.
À la réalisation du Projet participeront de nombreuses sociétés sénégalaises spécialisées dans les domaines tels que la construction, les transports et divers types de services. Le projet prévoit d’employer de la main d’œuvre provenant des régions de construction des aéroports. De nombreux employés bénéficieront d’une formation professionnelle. Les employés sélectionnés seront formés aux travaux consécutifs en rapport avec l’entretien et le fonctionnement des installations de l’aéroport.
Le développement de l’infrastructure aéroportuaire est également étroitement lié au développement du tourisme, qui fait partie et continuera de faire partie d’importantes sources de revenus de l’économie sénégalaise. Grâce à son magnifique décor naturel et ses sept lieux inscrits sur la liste du Patrimoine mondial culturel et naturel UNESCO, Sénégal est doté d’un énorme potentiel dans le domaine du tourisme.
Dans la partie Nord (semi-désert) sont situés les aéroports de Saint Louis et d‘Ourossogui-Matam. Le centre historique de Saint-Louis et le Parc national des oiseaux du Djoudj (au Nord-Ouest de Saint Louis), sont inscrits sur la liste du Patrimoine mondial culturel ou naturel UNESCO. Ourossogui-Matam, à la frontière avec la Mauritanie, est situé dans une région désertique calme, mais difficile d’accès et limitant de ce fait son développement.
Dans la partie Sud (tropique) du pays se trouvent les aéroports de Tambacounda, Kédougou et Ziguinchor. Tambacounda représente traditionnellement un important nœud de communication dans le cadre du Sénégal, permettant une liaison entre l’intérieur du Sénégal et Mali. Kédougou est le centre administratif de la région portant le même nom, la ville elle-même est officieusement désignée comme étant la capitale de l’industrie d‘extraction sénégalaise.
Elle se trouve à proximité de deux sites inscrits sur la liste du Patrimoine mondial culturel et naturel UNESCO, à savoir, le Parc national de Niokolo-Koba et la réserve culturelle de Bassari (habitée par les groupes ethniques de Bassari, Bedik et Fula).
Ziguinchor est le centre administratif de la région de Casamance qui se distingue par une terre agricole fertile et un magnifique décor naturel. Grâce à cela, un complexe littoral très populaire pour les visiteurs européens a été créé en 1973 à proximité de Ziguinchor, dans la ville de Cap Skirring.
Quant à l‘aéroport de Saint Louis, il a été fondé en 1927, il est de ce fait plus ancien que de nombreux aéroports européens. L’aéroport a vu le jour grâce à Pierre-Georges Latécoère et sa société Aéropostale, qui développait la liaison aérienne (en particulier postale) entre l’Europe, l’Afrique et l’Amérique latine. Parmi les pilotes de l’Aéropostale qui assuraient ces liaisons, figurait l’écrivain mondialement connu, Antoine de Saint Exupéry.